Commentaires du personnel médical sur votre physique

J'ai eu l'occasion de raconter la visite médicale de terminale que j'ai passée dans un lycée de la région parisienne en 1970.

Alors que la doctoresse me prenait la température rectale, debout, l'infirmière du lycée s'est permis ce commentaire: "ce garçon a un joli petit cul". Ce à quoi la psychologue a répondu: "Je trouve qu'il manque un peu de muscle". Ces propos, plutôt anodins sur le fond et plutôt flatteurs, m'avaient alors profondément choqué et avaient ajouté pour moi à l'humiliation de me faire prendre la température "comme un bébé" et avaient peut-être même contribué à faire monter ma température, qui était en effet anormalement élevée (38,2, je m'en souviens encore).

D'autres membres de ce site ont-ils fait l'objet de commentaires du même type, sur leur physique, lors de visites médicales scolaires, universitaires, militaires, ou du travail ou lors de consultations ? Il me semble que les commentaires du personnel médical sur le physique des patients sont interdits par toutes les règles de déontologie.et peut-être même par des textes.

Bonsoir svensson

Un médecin peur faire un commentaire sur votre physique en relation avec un conseil médical. Dans votre cas, dire que vous manquiez de muscle pouvait être une incitation à faire plus de sport.

Comment un médecin va-t-il dire à son patient qu'il devrait maigrir ? J'ai vécu deux expériences différentes. Mon médecin habituel m'a dit diplomatiquement de "perdre 1-2 kg", ce qui signifiait certainement qu'il serait souhaitable d'en perdre un peu plus.

Je suis allé aussi chez un urologue qui a été beaucoup plus direct. Je ne m'attendais d'ailleurs pas du tout à recevoir ce genre de conseils de sa part. La première chose qu'il a fait c'est de me mesurer le tour du ventre. Par la suite, lorsque j'étais couché, la chemise relevée et les pantalons baissés, il a pincé mon ventre entre ses doigts et a dit qu'il faudrait absolument faire disparaître ce ventre ou quelque chose de ce genre.

Si quelqu'un veut participer à la discussion, je pose deux questions :

Que pensez-vous de l'attitude de ce médecin ?

Comment auriez-vous réagi ?

Bonsoir Jules, je trouve toujours intéressant d'avoir des échanges avec vous.

Dans le cas de ma visite médicale, je ne pense pas que c'était le rôle de la psychologue de me dire éventuellement de faire du sport. Quant à la remarque "flatteuse" de l'infirmière, elle me parait tout à fait déplacée vis-à-vis d'un adolescent visiblement mal à l'aise et qui vient d'avouer qu'il n'a jamais eu de relations sexuelles. Par ailleurs, ces remarques émanaient non pas de la doctoresse elle-même, mais des deux femmes présentes en plus lors de la visite et pose clairement la question du bien fondé de leur présence en cette circonstance.

Concernant votre propre expérience, je comprends que votre médecin puisse vous suggérer de perdre un ou deux kilos dans une conversation générale, mais je trouve l'attitude de l'urologue tout-à-fait déplacée. D'une part, je ne pense pas que l'objet de la consultation chez ce spécialiste portait sur votre poids, donc il n'était pas dans le domaine de sa compétence, d'autre part, vous pincer le ventre me paraît une familiarité tout-à-fait excessive.

Enfin, la différence entre la visite médicale que j'ai évoquée et votre consultation chez l'urologue est que, alors que la visite médicale m'était imposée, vous pouvez décider que la familiarité de cet urologue ne vous convient pas et changer de médecin.

Il existe une méthode qui consiste à mesurer l'épaisseur des plis cutanés pour déterminer la masse grasse, ce qui permet ensuite de déterminer le poids à perdre. Cette mesure se fait avec une pince spéciale mais avec de l'habitude certains médecins arrivent à l'évaluer à la main. Ce pincement ne me semble donc pas déplacé s'il est expliqué.

Le conseil de cet urologue est que la perte de poids et la pratique d'un sport sont un moyen d'améliorer la santé, également sur le plan sexuel ("pour réparer des ans l'irréparable outrage").

Cette familiarité m'a surpris, mais je dois avouer qu'il a réussi à me motiver. J'ai commencé à faire du sport alors qu'avant j'avais plutôt les mêmes idées que Churchill à ce sujet ("no sport", je note au passage qu'il a vécu très âgé.) Maigrir est plus difficile.

Jules,

J'aime également me référer à Winston Churchill pour refuser avec détermination toute invitation à faire du sport. Je me souviens aussi d'un médecin français très médiatique, le Dr Escande, qui avait dit dans une interview dans les années 80 quelque chose comme: "Si vous n"aimez pas le sport et que vous en faites contraint et forcé, vous serez stressé et cela ne vous apportera rien de bon, faites plutôt les choses que vous avez envie de faire".

Le mieux n'est-il pas comme les fromages un peu de tout ?

Je fréquente régulièrement des sportifs de niveau supérieur,

escalade et forces de l'ordre ayant un entrainement obligatoire journalier,

course à pied, natation, gymnastique en salle, vélo et autres ... ,

l'entrainement qu'ils ont leur permet d'avoir un corps sans surpoids,

mais ils ont tous des bobos ici et là, nous devons bouger et nous dépenser c'est certain,

sans oublier que

L’extrême est une limite judicieuse dépassée.

et que le résultat s'en fera ressentir plus tôt que souhaité.

Sur les remarques possibles du personnel médical ou de personnes assistant à une visite médicale comme dans le cas de svensson pour une visite médicale en terminale, il m'est arrivé plusieurs fois la même chose mais ce qui m'étonne c'est l'emploi du mot "cul" qui à mon avis était déplacé et n'aurait pas été approuvé par la direction du lycée si cela s'était su.

En revanche ce type de réflexion sur les fesses n'a rien d'extraordinaire en tout cas à l'époque ( pour moi première moitié des années 60 pour des visites médicales scolaires annuelles obligatoires pour les élèves.

Que ce soit au collège ou au lycée, j'y ai eu droit mais de façon plus polie.

En fait j'avais un poids insuffisant par rapport à ma taille et j'étais peu musclé étant peu sportif ( après, adulte je le suis devenu), l'infirmière et le médecin scolaire le plus souvent une doctoresse le remarquaient évidemment d'autant que j'avais aussi le dos creusé par une petite lordose dans le creux lombaire juste au-dessus de la raie des fesses.

Il fallait au collège baisser son slip pour permettre un examen de la colonne vertébrale et à partir du moment où une petite lordose était décelée, il fallait l'enlever complètement pour permettre un examen plus complet et minutieux par la doctoresse en se tenant de dos et de profil, droit ( la doctoresse faisait alors glisser son doigt le long de la colonne vertébrale jusqu'à la raie des fesses) puis penché en avant ( elle tapotait le dos) puis je me relevais lentement (avec son doigt appuyé juste sur le coccyx) et enfin faire quelques pas nus dans la salle d'examen avant de s'arrêter et de se tenir à nouveau dos face au médecin et à l'infirmière droit puis penché à une petite distance pour le même type d'examen.

C'est dire qu'elles avaient toutes deux ( et parfois aussi le professeur de gym quand il rentrait un moment dans la salle d'examen, car s'il apprenait qu'une lordose était détectée il restait pour regarder l'examen par le docteur) le temps d'admirer ma paire de fesses. Je dis admirer car en dépit de mon insuffisance de poids, j'avais une belle paire de fesses bien dessinées, fermes et arrondies, c'est du moins ce que j'ai toujours entendu dire.

Là l'infirmière disait à chaque fois à la doctoresse quand c'était une nouvelle " regardez ce garçon, il est trop mince et il a le dos un peu creusé mais c'est dommage parce qu'il a une belle paire de fesses bien arrondies et fermes " et pour le démontrer elle me pinçait les fesses en m'ordonnant de les serrer très fort et incitait la doctoresse et le professeur de gymnastique pris à témoin à vérifier par eux- mêmes la fermeté de mon postérieur. Le tout se terminait le plus souvent par une petite claque sans méchanceté.

J'ai eu aussi des commentaires sur leur douceur au lycée: après m'avoir tapoté les fesses l'infirmière a constaté une petite marque rouge et a déclaré : " il a de belles fesses bien rondes et en plus elles sont encore aussi douces que des fesses de bébé, regardez la marque rouge à l'endroit où je les ai tapotées" .

Inutile de préciser que si mes fesses n'étaient pas très rouges, mon visage l'était et pour un bon moment.

Et cela m'a poursuivi tout au long de ma scolarité jusqu'en terminale ( j'ai eu droit au même examen, aux mêmes commentaires, au pincement des fesses et à la petite claque) et cela a été pire après au centre de sélection. Je le raconterai la prochaine fois.

Je confirme l'emploi du mot "cul" à mon égard par l'infirmière du lycée lors de cette visite médicale mémorable. L'infirmière et la psychologue qui assistaient à toutes les visites médicales étaient connues pour leur langage et leurs réflexions déplacées.

Questionné par la psychologue pendant que la doctoresse lui palpait les testicules, un garçon de ma classe finit par "avouer" qu'il avait couché avec sa correspondante allemande. Elle lui fit le commentaire suivant: "Mais y a pas assez de jolies filles en France, tu veux faire l'Europe avec ta queue ?"

L'infirmière fit encore mieux (ou pire) la mème année, me révéla sous le sceau du secret le plus absolu (je pense qu'il y a prescription, plus de 40 ans après) une amie très proche (pas petite amie malheureusement). Une fille un peu nunuche, et très probablement vierge malgré ses 18 ans, renaclait à se laisser mettre le thermomètre dans son rectum pour la prise de température. L'infirmière eut cette parole subtile: " tu préférerais sans doute la queue de ton petit copain". La fille, traumatisée par la grossièreté de ces propos, éclata en sanglots en gémissant: "Mais j'ai pas de petit copain". La doctoresse, jugeant inutile de lui prendre la température alors qu'elle était dans cet état, remonta la culotte de la fille et l'envoya dans la salle d'attente pour qu'elle se calme. Là, à bout de nerfs, abandonnant toute pudeur, la fille raconta l'incident à ses copines présentes. Une demi-heure plus tard, la doctoresse vint rechercher la fille ,qui pleurait encore doucement. Pour lui prendre plus calmement sa température, elle avait chassé de son cabinet ses deux acolytes.

Vous comprendrez pourquoi nous appelions ces deux femmes les "deux connasses".

Oui, interdit mais ça arrive.ma femme a eu ce genre de réaction de la part du médian ,elle avait des mycoses.

Il était avec une stagiaire ,à sa surprise et lui as demandé de se deculotter ,après un questionnaire.il lui a dit de s installer sur la table et elle a entendu alors qu' ils parlaient de son cul ...

-Elle a un sacré cul

Moi je maintiens que le cas de la visite médicale de svensson, surtout en classe de terminale, est très rare.

Avec des adolescents de 17-18 ans, normalement même si les personnels médicaux peuvent faire des commentaires sur l'anatomie comme je l'ai dit, ils n'utilisent pas ce type de vocabulaire réservé éventuellement à leurs conversations privées après les examens ou à des remarques entre deux examens pas devant l'élève.

En plus dans la visite médicale de svensson, il y a la présence de la psychologue en plus de l'infirmière, ce qui devait être très rare même à l'époque où le souci de la pudeur pour des garçons n'était pas la première préoccupation lors d'une visite médicale scolaire.

J'ai passé une visite tous les ans, de 5-6 ans à 21-22 ans , parfois même trois par an avec une au début de chaque trimestre au collège et je n'ai jamais vu une psychologue assister à une visite scolaire ou universitaire, ni entendu par des récits d'autres élèves dans d'autres établissements que cela arrivait, surtout quand les élèves devaient se dénuder complètement ( si encore la visite était passée en slip, cela aurait été moins choquant) c'était vraiment une anomalie et sans doute très rare.

De même à 17-18 ans, on a du mal à croire que des lycéens étaient soumis à une prise de température rectale .

C'est sûr qu'à l'époque tous les adultes considéraient que la température rectale était plus précise et plus fiable que la température orale mais je n'ai jamais eu de prise de température pendant une visite médicale scolaire, ni orale ni bien sûr rectale, ça ne m'est arrivé qu' à l'armée.

En revanche si on allait à l'infirmerie pour obtenir une dispense de sport parce qu'on disait être enrhumés ou avoir mal à la gorge, l'infirmière procédait toujours à une prise de température et c'était rectal sans discussions possibles puisqu'elle affirmait que ce serait plus précis. C'était aussi un moyen mis au point avec le prof de gym comme on l'a découvert en cours d'année par certaines remarques d'essayer de dissuader les élèves de se faire dispenser sans raison. Mais ce n'était pas dans le cadre d'une visite médicale scolaire.

Le plus surprenant dans cette histoire, c'est qu'on se demande pourquoi c'est justement en terminale avec les élèves les plus grands, 17-18 ans, qu'il y avait pour la première fois une prise de température rectale.

Pourquoi pas les années précédentes avec des élèves plus jeunes si c'était le protocole des visites scolaires établi par le médecin dans cette école ?

Ou alors je crois me souvenir que la doctoresse était nouvelle, bon ça pouvait expliquer un protocole de visite différent mais cette doctoresse allait quand même un peu loin à mon avis même si je sais qu'à l'époque en principe des adolescents même âgés ne discutaient pas du bien fondé des instructions données par des adultes ayant une autorité sur eux en raison de leurs fonctions, c'était très exceptionnel.

Le déroulement assez spécial de ces visites médicales était certainement une initiative de la doctoresse et de ses acolytes, dans le but d'humilier les élèves et à la limite de la perversité. svennson a eu la (mal)chance de tomber sur ce trio.

Je confirme une nouvelle fois les termes du récit de ma visite médicale de terminale que j'ai raconté plusieurs fois dans différents posts.

Il est exact que c'est la seule fois où l'on m'a pris la température à une visite médicale scolaire et que, les années précédentes dans le même lycée, la doctoresse plus agée ne nous a jamais pris la température. Je ne sais pas si la nouvelle doctoresse, a priori plus "sympa" que la "vieille chouette" des années précédentes, a continué les années suivantes à prendre la température des élèves. Certains récits sur ce site font, me semble-t-il, également état de prise de température (rectale) dans les lycées dans les années 1960-70.

Je confirme également que l'infirmière et la psychologue du lycée assistaient à ces visites médicales. Les filles avaient également "droit" à leur prof de gym, qui n'était pas la dernière à s'associer au bavardage des "deux connasses". Heureusement pour les garçons, le prof de gym masculin avait refusé l'invitation, ne voyant pas l'intérêt de participer à ce "papotage entres nanas".

Jules,

Personnellement, j'aurais tendance à exonérer la doctoresse de mes critiques, même si c'est elle qui a pris l'initiative de nous prendre la température, peut-être parce qu'elle a alimenté mes fantasmes pendant une bonne partie de ma vie,mais surtout parce que je ne l'ai vue qu'une fois, le jour de cette mémorable visite médicale de terminale et qu'il m'avait semblé qu'elle se comportait de manière humaine avec nous. En revanche, j'ai eu à subir l'infirmière et la psychologue lors des visites médicales des six années précédentes et pendant cette période, je les voyais fréquemment déambuler dans les couloirs du lycée.

La seconde fois où j'ai eu droit à des commentaires sur la forme de mes fesses, c'est au centre de sélection.

Les sous-officiers qui nous encadraient alignés en rang à poil dans le couloir nous avaient passés en revue et avaient fait quelques réflexions amusées à ceux qui étaient bronzés ce qui faisait encore plus ressortir la blancheur des fesses du genre " alors mon gars tu n'as pas pratiqué le naturisme cet été apparemment," ou "félicitations mon gars, tu as une belle paire de fesses et elles sont mises en valeur par ton bronzage".

Après pendant la visite c'était le médecin qui faisait des remarques après m'avoir palpé et pincé les fesses: "tu n'as pas un poids suffisant mais je ne peux pas réformer un garçon qui a une aussi belle paire de fesses, elles sont fermes, rondes et bien dessinées, alors je vais proposer qu'on t'ajourne et tu reviendras l'année prochaine ", le tout suivi d'une petite claque sur chaque fesse.

Ayant été ajourné, j'ai eu droit quasiment aux mêmes remarques au conseil de révision qu'on passait 15 jours ou un mois après : on ne peut pas réformer un garçon qui a une aussi belle paire de fesses..

Lors de ma coloscopie fin janvier, alors que l'infirmière anesthésiste demandait à la gastroentérologue si je devais rester sur le dos ou me mettre sur le côté et qu'elle a répondu “sur le dos ça me va très bien, surtout que monsieur ne me semble pas très lourd”, j'ai eu droit à un “oui, monsieur est mannequin” de l'infirmière anesthésiste juste à côté de moi 😄

Je lui ai dit que non pas franchement, mais elle m'a répondu immédiatement “oh monsieur Runner up, par rapport à ce qu'on voit tous les jours, si, vous avez la taille mannequin !”. J'ai fait un “Ah” et on a rigolé tous les deux.

Pour info je pèse 87kgs pour 1m88.

Au moins sa remarque n'avait rien de dégradant ni honteux, c'était même plutôt sympa 😃

Oui c'est même un compliment à côté de mon 113 kg pour 1m84 !

Nous sommes tous différents et nous n'avons pas la même génétique non plus 😉

J'avoue faire quand même particulièrement attention. J'approche la cinquantaine, je ne fume plus depuis 15 ans, je bois très peu et je fais du sport autant que je peux. Ca aide à conserver la barre sous un certain poids.

Mon poids max il y a 12-13 ans a été de 95kgs, moi qui ai toujours été plutôt mince. J'étais dans une période de laisser-aller. Mais la perspective d'atteindre les 3 chiffres sur la balance m'a fait prendre des mesures drastiques, et depuis je fais tout pour rester sous les 90kgs.

Merci donc à cette infirmière de m'avoir fait cette petite remarque sympathique 😃

Nous sommes tous différents et nous n'avons pas la même génétique non plus 😉

J'avoue faire quand même particulièrement attention. J'approche la cinquantaine, je ne fume plus depuis 15 ans, je bois très peu et je fais du sport autant que je peux. Ca aide à conserver la barre sous un certain poids.

Mon poids max il y a 12-13 ans a été de 95kgs, moi qui ai toujours été plutôt mince. J'étais dans une période de laisser-aller. Mais la perspective d'atteindre les 3 chiffres sur la balance m'a fait prendre des mesures drastiques, et depuis je fais tout pour rester sous les 90kgs.

Merci donc à cette infirmière de m'avoir fait cette petite remarque sympathique 😃

Le surpoids (ou l'obésité) sont la pathologie des pays riches! Pour réagir on trouve la motivation ou l'on peut mais le personnel médical en général donne de bons conseils. On se laisse bien souvent aller à la sédentarité et au bien manger (trop manger). Il est plus difficile de perdre ensuite ce qu'on a accumulé en masse grasse. La génétique joue également un rôle certainement.

Mais comme pour le sexe, l'organe qui fait tout est notre cerveau!

Génétique, hygiène de vie, moral, médicaments…

Tant d'éléments qui peuvent influer sur notre santé, et sur notre poids.

Là dans ce cas précis, elle ne m'a même pas donné de conseil, c'était juste une façon déguisée de me faire un compliment. Pourtant on ne peut pas dire que j'étais à mon meilleur allongé en blouse d'hôpital, masque, charlotte et surchaussures 😄