Une Tranche de BRI...
La semaine commençait bien, beau temps, mer calme, en formation perfectionnement informatique sur la côte, dans un centre à deux pas de la mer, de plus, il y avait là avec moi, une collègue de mon épouse, Brigitte, à qui j'avais envie de dire quelques mots gentils depuis que je l'avais rencontré pendant des manifs et des forums en tous genres, elle avait une ressemblance d'avec une copine de "dans le temps " et me rappelait des jeux amoureux et cochons que nous avions pratiqués ensemble...
Je savais par Mondoite que cette femme de dix ans de moins que moi était une pratiquante épisodique de la religion, ancienne Cheftaine de Jeannettes, (pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, c'est comme les Scouts mais en jupe), son côté réservée et un peu coincée (en apparence), me titillait la libido et je m'imaginais déjà en train de lui corrompre ses certitudes, aux sens propres comme au figuré, voir même plus, mais je ne me faisais pas d'illusions...
A la pause déjeuné, nous avons convenus d'aller déguster nos repas froids sur les rochers en bord de mer, tranquillement seuls en cette pleine semaine de Mai sans touristes et sans promeneurs, elle me surprit une première fois, me voyant décapsuler une bière, elle me demanda si je n'en avais pas une pour elle, cette sainte femme buvait de l'alcool, elle qui ne fumait pas et ne disait jamais de gros mots, je n'avais qu'une canette et elle m'a demandée si je voulais bien qu'elle la boive avec moi...
Il est de ces boissons que l'on partage avec l'autre et qui amène au même résultat pour les deux, l'envie de faire pipi, j'allais m'éloigner de quelques rochers pour me soulager la vessie quand elle me demanda où j'allais, je le lui expliquais poliment et là j'eus le droit à ma deuxième surprise, elle m'invita à le faire sur place car, me dit elle, l'endroit était discret et il n'y avait pas âme qui vive à passer sur la dune, d'ailleurs, elle aussi allait se soulager là, sans doute son côté "sans peur" de Jeannette...
Elégamment, je lui tournais quand même le dos en cherchant le sens du vent pour ne pas m'éclabousser, et surtout la voyant déboutonner son pantalon et le baisser, me dévoilant une culotte de coton blanche, ému par cette vision, je me disais que j'avais peut-être devant moi une "dame pipi", surnom que je donne parfois aux femmes qui aiment regarder un homme pendant sa miction mais aussi qui aiment se montrer dans cette intimité si particulière, le doux chuintement se fit entendre...
Me regardait-elle en faisant son pipi, je ne le savais, je pressais ma tige entre mes doigts pour donner plus de force à mon jet et asperger au plus loin les rochers, pris d'une vicieuse curiosité, je jetais un regard en arrière par dessus mon épaule pour savoir si le spectacle lui plaisait, et là, je la vit détourner le sien rapidement, comme prise en faute, elle m'avait regardée faire, j'attendais quelques secondes et son regard revint vers moi alors que je secouais les dernières gouttes...
Je rangeais mon outil et me rebraguettais face à elle, elle en eu les joues rosies mais ne me fit aucune remarque, pas plus qu'elle ne chercha à me cacher son derrière, restant accroupie et fesses relevées pour finir sa miction, j'en profitais pour lui offrir quelques feuilles d'essuie tout que j'avais pris pour le pique-nique, et lui demandais si elle voulait que je l'essuie, elle me répondit en me demandant si je savais bien le faire, je lui promis de m'appliquer...
Et c'est ainsi que je me retrouvais penché derrière elle, en semi-érection, profitant de l'instant pour me régaler du paysage de son postérieur à la raie légèrement duveteuse et de son petit trou plissé, lui passant une main délicate de papier sur toute la vulve et la remontant entre ses fesses, effleurant au passage son anus du papier humecté, elle eu une petite contraction et j'arrêtais là mon essuyage, allant jeter l'essuie tout dans une poubelle, non sans l'avoir humé discrètement avant...
Comme je la retrouvais en train de remonter son pantalon, elle me remerciait pour mon geste, me disant, que j'essuyais bien et me précisant, comme on fait une remarque sentencieuse, que le deuxième endroit que j'avais essuyé n'en avait pas besoin, je comprenais qu'elle parlait de son entre-fesse, j'avais le bâton dans mon pantalon, surtout qu'elle ajouta qu'elle avait trouvée mon geste très agréable et que mon épouse avait de la chance, ce que je pris comme une confidence intime...
Le lendemain, nous avons de nouveau étés pique-niquer sur les rochers, j'avais amené deux bières cette fois et de suite après m'avoir remerciée d'avoir pensé à elle, Bri me confia en riant qu'avec une bière entière, elle allait encore plus arroser les rochers que la veille, j'y comptais bien et surtout espérais avoir le droit au spectacle de plus près, mais je ne le lui disais pas, attendant la suite, en mangeant, elle m'avoua, honteuse, avoir eu le sexe et les fesses électrisées par mon essuyage...
Je lui répondais que j'avais fais pour le mieux, en précisant que je pouvais faire mieux encore, elle me traita de "sodomite" puis se fit plus douce en me demandant qu'elle était ce "mieux" que je pouvais lui faire, voyant une ouverture au sexe dans son timide questionnement, je lui répondais avec mesure qu'un essuyage avec la langue était en plus agréable, à quoi elle me répondit estomaquée que c'était "sale" de faire cela, je la calmais en lui disant qu'elle était certainement très propre...
Bri m'avoua affolée qu'elle n'oserait jamais demander une telle chose à son mari et que de toute façon il ne le lui avait jamais proposé, elle m'accusa même de la perturber fortement avec mes idées cochonnes, déjà que hier soir chez elle, elle avait ressentie son sexe s'humidifier en repensant à ce que je lui avais fais et même son entre-fesses était comme électrique, elle en avait été prendre deux douches rafraichissantes pour ce calmer mais le frottement de ses doigts avait empirés la chose…
Je profitais de ses confidences pour lui préciser que je l'avais vue me regarder pendant mon pipi et qu'elle y était pour quelque chose dans la suite des évènements, m'ayant aussi laissée la regarder faire le sien puis m'avoir donnée sa vulve à essuyer, je tentais le coup de lui dire qu'elle était "une pisseuse", elle écarquilla largement les yeux, comme outrée par cette révélation qu'elle seule connaissait, devant son silence réprobateur, j'ajoutais qu'elle faisait une belle "dame pipi" …
Une fois avalé son repas et sa bière, elle sortie de son silence pour me dire qu'elle avait honte de ses penchants mais qu'elle aimait regarder et le faire, je sautais sur l'occasion pour lui dire que j'avais ma bière qui faisait son effet et que j'aimerai une main secourable, elle comprit de suite ce que je voulais et après avoir jetée un regard alentour, Bri vint à mon côté pour m'ouvrir le devant du pantalon et m'en sortir la verge, bien qu'ayant déjà une demi-molle, j'urinais de suite…
Elle jouait avec mon gland et mon prépuce puis me décalotta à fond en dirigeant le jet au plus loin qu'elle pouvait, elle me confia que la bière lui faisait effet aussi, je lui demandais de se retenir mais aussi celle de la regarder faire son pipi après moi, à l'oreille je lui offrais mon fameux essuyage lingué de sa vulve…
- et des fesses aussi...? me demanda-t-elle…
- Oui… Si tu m'essuie les petites gouttes avec ta bouche… répondis-je
Elle ne se le fit pas dire deux fois et s'agenouilla pour me téter la verge, à sa façon de me prendre en bouche, je compris qu'elle était dans un état de très forte excitation, ce n'était pas que les gouttes qu'elle venait chercher mais une érection forte et dure, elle était en train de me faire une fellation au milieu des rochers, une fellation acharnée comme si elle voulait l'éjaculation de suite, je la laissais faire un instant puis lui réclamais sa miction devant moi, elle baissa pantalon et culotte…
Accroupie et fesses relevées, elle tendait impudiquement sa croupe à mon regard, je lui glissais une main entre les cuisses pour lui sensualiser des doigts une vulve déjà trempée, de mon pouce, j'effleurais son petit volcan boursoufflé, elle n'eu pas de contraction car je pense qu'elle poussait sur son sphincter pour s'ouvrir aux caresses anales, le jet de son pipi vint m'arroser fortement la main, chaud et puissant, j'enfonçais mon pouce humide de sa mouille dans son anus étroit…
Surprise par cette glissade digitale dans son fondement, elle eu un hoquet crispé et pleurnicha qu'elle ne faisait jamais rien par là, mais elle passa très vite à d'autres gémissements sous mes caresses vulvaires et stimulations clitoridiennes, mon pouce allait et venait doucement dans son trou de balle et son conduit serré, je me demandais si après cette petite dégustation, elle aimerait goutter à la sodomie avec moi, son trou plissé me donnait une envie folle de l'enculer sur place…
Elle a jouit en finissant de pisser à moins qu'elle soit une Fontaine qui s'ignore, j'ai retiré mon pouce, elle avait besoin d'un lavement, mais je lui ai quand même léché la fente pour l'essuyer et j'ai finit par une feuille de rose sur son bourrelet, elle m'a remerciée plusieurs fois, me disant qu'elle n'avait jamais vécue une telle chose, puis elle s'est rappelée ne pas avoir finie sa fellation, nous devions rejoindre la formation, alors je lui ai dis de me mettre un doigt comme pour elle et je me suis masturbé…
En quittant le stage le soir, elle m'a dit encore merci et que demain elle me ferai une surprise pour le dernier jour, le lendemain matin à la pose café, elle m'a prit à part pour me parler, ce que nous avions fait la veille était une révélation, sexuellement avec son mari et à cause de son éducation, c'était le calme plat, jamais un homme ne l'avait fait jouir avec un doigt dans l'anus, elle n'avait jamais été sodomisée, mais qu'en plus je lui ai fait mettre un doigt dans le mien, elle n'en revenait pas…
Je la sentais bouillante, prête à tout faire, elle savait que l'on se voyaient librement sans doute pour la dernière fois avant longtemps, elle attendait l'heure du déjeuné avec une impatience sans mesure, au point que discrètement aux toilettes, elle a enlevée sa culotte pour me l'offrir et constater digitalement à quel point elle était trempée, sur de moi, je lui ai demandé de m'offrir son anus vierge à la pose déjeuné, elle m'avoua s'être fait un lavement au cas où je le lui demande…
Nous n'avons pas mangés à la pause déjeuné, nous sommes allés entre les rochers chercher l'endroit le mieux isolé pour cacher nos ébats sodomites, elle m'a sortie la queue de suite pour me pomper, elle regardait le morceau, disait qu'il était gros et qu'elle allait souffrir, mais qu'elle le voulait, pas souffrir non, mais en elle, dans son intimité sacrée jamais visitée par un homme, je lui ai baissé son pantalon pour lui manger les fesses tout en la masturbant, ma langue dans son anus la fait déjà gémir.
Puis j'ai pointé mon gland saliveux contre son ouverture, lui disant de pousser comme elle fait aux toilettes et je l'ai enculé avec précaution et sachant bien quand même qu'elle sentirait passer le manche dans sa rosette, elle s'est mordue la main pour ne point trop crier, elle a pleurée aussi pendant que j'enfonçais la longueur de ma verge, puis je l'ai besogné, tout doucement au départ puis variant les coups de reins, lui écartant les fesses de mes doigts crispés et lui griffant les chairs…
Elle gémissait, gémissait, mais j'étais si bien dans son cul étroit que je n'en avais cure, la branlant d'une main pour un autre plaisir, je m'astiquais en elle, égoïste monstrueux, lui cassant son derrière et sa petite entrée d'où laquelle je sortais pour mieux m'y renfoncer, elle se cambra encore en me disant merci de lui faire tant de bien, qu'elle était ma putain, son cul était à moi et qu'elle se sentait chienne, alors j'ai pris mon pied en me vidant en elle, éjaculant mon sperme dans son étroit conduis
Je suis resté un moment couché sur elle, et elle affalée sur la pierre contre laquelle est avait prit appuie, je sentais son rectum palpiter sur ma queue rétrécissante, elle en fut expulsée comme un suppo gluant, Brigitte titubais, le regard dans le vague, j'essuyais son derrière avec l'arrière de sa culotte, et sa vulve avec le gousset, celle qu'elle m'avait offerte aux wc ce matin, elle pissa une dernière fois, moi, mains en coupe entre ses cuisses, je m'abreuvais à la source….
FIN…