La Punition de Brian…Suite 2
Afin de savoir définitivement s'il allait se laisser soumettre jusqu'au bout, je lui demande de me montrer le doigt qu'il m'a introduit dans l'anus, il pointe timidement son index en l'air, je lui ordonne alors de le sucer, il fait non de la tête, j'insiste en élevant le ton, ce qu'il m'a fait au bureau est bien pire qu'un doigt dans le cul, il doit en assumer les conséquences, nettoyer le mal qu'il a fait, donc laver son doigt de la bouche, effacer toutes traces des dégâts collatéraux, une bonne salope se doit de le faire, il continue de remuer la tête négativement avec toujours son index en l'air, je lui explique qu'en France nous avons une phrase imagée pour décrire les mauvaises actions que certains et certaines portent en eux après les avoir commises, "Avoir les fesses sales", ce n'est pas mon cas, au propre comme au figuré, n'ayant rien à me reprocher dans mes attitudes relationnelles au travail et m'étant fais un lavement décontractant, évacuateur et hygiénique en début de soirée…
Par contre pour lui, la petite salope, l'analyse de sa trahison au bureau ainsi qu'un rapide examen digital de son conduis rectal apporterai le même résultat, " Sale des Fesses", alors il pouvait sucer le doigt qui sortait des miennes, une étape à franchir pour retrouver ma confiance qu'il a souillé avec sa mentalité sale comme un rectum pas lavé, Brian n'est pas idiot et ces quelques phrases empruntes de bon sens finissent par transpercer le peu d'armure qu'il lui reste, d'un geste rapide affichant une mimique dégouttée, il porte son index à ses lèvres et le gobe pour le sucer d'une traite…
- Voilà qui est fait… lui dis-je… Tu viens de me goutter deux fois… A ma crème testiculaire et à mon trou de balle… C'est bien petite salope…
- Maintenant… je dois regarder à quel point tu es sale des fesses… Ensuite je déciderai de ce qu'il te faut pour laver ta misère…
- Mais vous me pardonnez alors Monsieur…?
- Pas encore… J'attend l'offrande suprême de ta part… La preuve indéfectible de ton obéissance…
- Mais quelle est-elle Monsieur…? Vous m'avez fouetté…! Je vous ai fais jouir avec ma bouche…! J'ai sucé le doigt sortant de vos fesses…! Que vous donner de plus…?!
- Ta virginité Anale… Je la veux… Je veux que tu me l'offre… Ainsi je te sodomiserai physiquement comme tu m'as sodomisé moralement…
- Vous me demandez trop Monsieur… Je ne suis pas…Heu…Enfin… Je n'ai jamais fais cela… ça fait mal aussi Monsieur…
- Oui… ça fait mal quand on ne s'y attend pas… Comme avec toi… ce que tu m'as fais… Mais fait par moi, ce sera une révélation…
- Mais Monsieur…! C'est sale aussi de faire ça…! par ce trou qui sert à autre chose…!
- T'inquiète petite salope… Je te ferai ce qu'il faut avant… Maintenant, baisse ton caleçon et viens sur la table…
Il hésite, je le prend fermement par le bras, remet la table en position d'auscultation pour qu'il s'y allonge sur le dos, je déplie les étriers et l'installe en position gynéco, jambes relevées et écartées, les fesses bien exposées, une fois encore, je lui entrave poignets et chevilles afin qu'il ne cherche pas à échapper au touché rectal que je vais lui faire, j'en suis tout fébrile, une légère émotion me gagne, il en est toujours ainsi pour moi lors des phases préliminaires de préparation à une défloraison anale, que ce soit d'une femme ou d'un homme, sans doute le souvenir des émotions ressenties le jour de ma propre défloraison anale et du rituel qui l'avait précédé, comme là maintenant, le regard de Brian quand j'enfile mes gants latex et me place entre ses jambes avec mon tube de vaseline, la contraction réflexe de son anus quand je pose mon doigt dessus pour le lubrifier en le caressant, son regard inquiet quand à la douleur qu'il va ressentir ou pas, et les questions qu'il se pose sur l'homosexualité…
Devinant ses pensées, celles qui ont été les miennes lors de ma première fois dans les fesses, je le rassure sur ce point, il n'est pas question pour moi d'en faire un homo sodomite, mais de retrouver par cette relation anale très intime, la confiance mutuelle qui a été perdue, s'il m'offre son anus à dépuceler, cela sera la marque de son respect pour moi et cet acte restera un secret connu uniquement de nous deux, une fois la chose faite, nous recommencerons à travailler ensemble comme avant, avec en plus une meilleur connaissance de l'autre, je l'aiderai encore à grimper les échelons de la reconnaissance dans le travail puisqu'il m'aura tout donné de lui, j'en ferai autant que je pourrai pour lui, sans avoir à craindre une autre traîtrise, et cela sans exiger qu'il passe sous le bureau ou me donne son cul à fourrer de nouveau, Brian m'écoute pendant que je lui parle en lui massant doucement les plis annaux, sous mes doigts, je sens son orifice se détendre et s'entrouvrir à une phalange…
Pour agrémenter mon touché rectal, je pose mon autre main sur son sexe, resté mou au début de l'auscultation, le voilà qui se durcis et relève la tête sous mes attouchements, l'engin est de taille moyenne mais présente une belle épaisseur, non circoncis, son prépuce plissé mesure bien deux centimètres, je m'amuse à l'étirer, entre ses jambes pend une paire de testicules velues et bien pleines, je les prend en paume pour les soupeser et les masser, la verge s'allonge et durcie encore, je la branle un instant en lui massant le gland sans la décalotter, une deuxième phalange suit la première dans son anus, je lui masse le sphincter de quelques mouvements circulaires en conseillant à Brian de pousser sur son muscle anal comme aux wc, il rougit en me demandant pourquoi, oui je sais, parler de la fonction réelle de cet orifice peut être gênant, mais pour une meilleure adaptation sans douleur à ce que je fais entrer, c'est comme pour en faire sortir ce que l'on sait, il comprend l'allusion…
A la troisième phalange, je le décalotte de concert, j'aime que l'on me le fasse comme cela, je vois à sa réaction de contentement que lui aussi, tout en le manipulant, il me pose des questions sur mes pratiques sexuelles et particulièrement sur l'anal, je lui avoue avoir été dépucelé des fesses il y a longtemps, pas pour une punition comme pour lui, mais par l'envie d'y goutter initiée par une amante, il me demande si je l'ai refais ou le fais encore, je lui avoue que oui mais épisodiquement, il veut tout savoir alors que je branle son anus de quelques vat et viens lent mais plus profonds, je lui raconte ce qu'il veut entendre, les anus de femmes déflorés, ceux de trois puceaux comme lui dont je me suis occupé, il me dit qu'il a peur de ma verge, qu'elle est plus grosse que la sienne et que ça doit faire mal de la prendre dans le cul, je le rassure en mentant un peu, mais non, elle passe bien, pas si grosse que ça, elle est souple et s'adapte aux anus étroits et je sais préparer la sodomie d'un anus vierge…
Tout en discutant, trouvant que son œillet s'est bien assouplit, je tente un deuxième doigt vaseliné, le majeur, le posé sur l'index pour éviter une trop grosse largeur invasive, les premières phalanges passent mais Brian sent vite la différence et se contracte de nouveau me demandant ce que je lui met, je le lui dit en lui conseillant encore de pousser, elle est étroite ma petite salope, elle résiste de la rondelle, mais la caresse de la pulpe de mes doigts lubrifiés sur sa verge et son gland a vite raison de sa résistance, la poussée sur son sphincter faisant le reste, mes deux doigts s'enfoncent dans son cul jusqu'à la jointure de la main, je les bouge doucement en lui en le masturbant de plus belle, il gémit les yeux clos, son trou de balle semble s'ouvrir à la pénétration digitale augmentée, je lui fouille le rectum de plusieurs vat et viens et un râle plus fort m'annonce son orgasme en même temps que plusieurs jets de sperme puissants et fournis jaillissent à la verticale et retombent sur ma main…
En retirant mes doigts de son anus, je lui montre les souillures déposées dessus, je l'ai sentis encombré aux bouts de mes doigts pendant que je le fourrais et le lui dis, il m'avoue être constipé depuis quelques temps, effet sans doute dû à la mauvaise ambiance entre nous au travail et aussi à cause de ses remords, je ne l'accable pas pour la malpropreté de son rectum, il vient de reconnaître qu'il s'en veut et que sa mauvaise action envers moi le torture, je le félicite pour cette aveux, et lui impose un bon lavement libérateur, il ne le refuse pas, connaissant la douche rectale depuis son enfance, les lavements donnés par sa maman sont un souvenir devenu plaisant mais qu'il ne reçoit plus depuis qu'il a quitté l'Irlande, en préparant le matériel, je lui redemande s'il pense m'offrir le cadeau suprême du pardon, il me répond qu'il me le dira après le lavement, la taille de ma queue l'impressionne encore, le peur d'être déchiré pendant la pénétration ne le quitte pas mais il a aimé mon touché rectal…
J'installe mon bock deux litres suspendu au candélabre mural et lui présente la canule que je vais utiliser pour son lavement, c'est une Inoki Triple D vendue pour être fixée sur les flexibles de douche mais que j'ai adapté sur le tuyau de mon bock moins dangereux, dix centimètres d'inox munis de trois boules de différents diamètre décroissants et portant un socle anti intrusion à sa base, un vrai plaisir pour la rondelle, son anus dilaté par mes doigts avale la première boule de quatre centimètre vaselinée sans problème, les autres sont plus petites, j'ouvre le robinet et le liquide chaud lui arrose le conduit, il me dit aimer ce moment qui lui rappelle son enfance, et ajoute qu'en France ce n'est pas facile d'aborder le sujet du lavement avec les femmes, peu admettent s'en faire ou joue les choquées dédaigneuses prenant ce rituel pour une perversion scatologique, pourtant nombreuses sont les publicités télévisuelles parlant de constipation chez les femmes, le soir à l'heure du repas, nous en rions…
Pendant son lavement, Brian m'avoue avoir joué seul à se lavementer et aussi à avoir testé le plaisir anal pendant ses masturbations, avec un de ses doigts les premières fois puis avec des objets détournés et même une fois avec des légumes, mais la peur d'un glissement progressif vers l'homosexualité lui faisait honte et le freinait, c'était ainsi une obsession qui le hantait, en avoir envie mais réfréner ses désirs obscurs, il découvrait aujourd'hui avec moi que cela pouvait se faire entre hommes sans basculer dans l'irréversible, plus le bock se vidait en lui, plus il se sentait bien et l'envie de m'offrir ses fesses pour se faire dépuceler l'anus faisait son chemin vers une acceptation totale de l'acte sodomite hétéro, le bock était maintenant vide et pour qu'il le conserve en lui le temps qu'il fasse effet, sans se répandre sur la table, je lui introduisais un tampon périodique avec l'applicateur, dix minutes plus tard, il se vidait dans le dalot, j'avais quitté la pièce juste avant…
A mon retour, lui apportant de quoi se laver les fesses, j'attend avec impatience sa réponse quand à sa preuve de soumission totale et définitive, étrangement, il me demande de pouvoir se rhabiller et de manger quelque chose avant de me répondre, je vais lui chercher un plateau repas et il le déguste lentement sans dire un mot, ayant terminé par son verre de vin, il rejoint sa paillasse et s'y agenouille en baissant pantalon et caleçon et me tendant sa croupe, il me fait l'offrande d'une phrase…
- Venez Monsieur… Prenez-moi les fesses en réparation de mes erreurs…
La scène est fantastique d'érotisme, ma queue se redresse et je l'enduis de pommade glissante, m'accroupissant derrière lui, je le saisis d'une main aux hanches et dirige mon dard de l'autre sur son petit trou, j'effleure d'abord l'orifice de mon gland, regardant s'il l'ouvre pour moi, puis voyant son petit bourrelet palpiter et s'élargir, je commence à forcer son entrée, il gémit déjà mais en me demandant le pardon pour ce qu'il m'a fait, - Prenez-moi Monsieur… me dit-il… - Je suis votre salope et mon cul est pour vous… Enculez-moi Monsieur… Je le mérite…
Ses paroles me durcissent à l'extrême, de mon gland violacé je lui pourfend l'anus, me régalant d'abord de sa virginale étroitesse qui m'enserre la tige puis de la chaleur de son conduit rectale qui m'accepte en lui, il soupir, il gémit, dit que ça lui fait mal, que mon dard est trop gros, qu'il lui déchire le cul, cela me plait aussi comme sa croupe tendue qu'il laisse pénétrer pour la première fois…
Je connais sa douleur pour l'avoir ressentis lors de ma première fois, mais aussi parce qu'elle est identique quelque part, à celle que j'ai subit quand il m'a trahis, je sais bien qu'il en souffre mais en ajoute encore, lui entrant toute ma queue au plus profond possible, me servant de son cul comme d'un exutoire, je le fourre, je le baise, je lui casse son œillet, le maintenant aux hanches, je lui met une secouée, cherchant par mes ruades dans son orifice borgne, à bien lui faire comprendre les douleurs de la vie, et devenir ainsi plus ouvert pour les autres, savoir donner plaisir en étant accueillant, et se dire tous les jours que dans le cul ça fait mal de se la faire mettre profonde, surtout sans consentement, là ce n'est pas le cas, il s'est donné à moi pour effacer ses fautes, mais ce que je lui fais lui laissera un souvenir, élargissement du cercle des pensées positives et wifi du rectum, l'aiderons à réfléchir avant de reproduire les erreurs du passé, je me vide les couilles, soit, mais c'est pour son grand bien…
Je baise Brian profondément, je l'encule et le décule pour lui la remettre encore mieux, profitant au passage de la caresse des poils de son anus, gémissant tel un puceau, il se laisse ramoner comme une salope servile, je me sent bien dans son cul, son conduis rectal m'enserre chaleureusement la queue, je varie les vitesses, passant de l'enfilade modérée au besognage de soudard, plusieurs fois je sent monter l'orgasme mais je me calme séant pour faire durer l'instant, ce n'est qu'après une dizaine de minutes de vas et viens variés que je me laisse submerger par la brûlure de ma jouissance, je me vide dans ses fesses en râlant comme une bête… Voilà, la chose est faite, Brian s'écroule sur la paillasse, terrassé de douleur et de plaisir mêlé, sa rondelle défoncée ressemble à un choux fleur d'où perlent quelques gouttes du jus que j'y ai mis, je remonte chez moi et m'écroule comme une masse au fond de mon grand lit, apaisé et content du dénouement plaisant de cette mauvaise histoire…
Dans les jours qui ont suivit, les relations avec Brian sont redevenues plus que cordiales, je retrouvais mon collègue tel qu'il était avant, avec cette différence qu'étant devenus plus proche, la compréhension était de mise entre nous, ce qui facilitait le travail, Brian prenait conseil au lieu de se lancer seul dans des manœuvres hasardeuses, j'étais content de lui et le lui faisais comprendre, il l'était tout autant et pour me remercier m'invita aux wc pour une fellation à l'heure du déjeuné, j'acceptais volontiers, profitant du moment pour le former un peu à mieux faire la chose, il n'oubliait jamais de me doigter l'anus, me donnant du plaisir par devant et derrière, je ne fus pas en reste et pour le remercier de ses douces attentions, je l'invitais chez moi la veille du week end et une fois au salon à siroter un verre, j'enlevais mon pantalon et baissais ma culotte pour lui tendre ma croupe lui offrant ma rondelle, d'abord un peu surprit, il se reprit vite et m'enfila sa queue après une feuille de rose…
FIN…