Mondoi mon ami aux expériences multiples et variées !
Et j'en ai d'autres... Il faut dire que c'était le délire ambiant de l'époque (années 70-80), qui voulait ça...
Je n'étais pas le seul à être allumé, et toutes les occasions faisaient le larron...
Comme cette fois, dans une célèbre "Ambassade" de Bretagne à Paris, où j'avais mes habitudes...
J'avais arrêté de pratiquer mon métier quelques temps pour jouer de la musique dans le métro, guitare et harmonica...
L'endroit possédait un Pub en dessous du restaurant et les Breizhous s'y retrouvaient nombreux, avec quelques étrangers Français et nos Cousins de la Celtie...
L'ambiance y était joviale, parfois politique, fortement musicale, la Guinness y coulait à flots, accompagnée d'autres breuvages des tourbières et purs Malt...
Les couples s'y faisaient et s'y défaisaient, des belles filles et des beaux garçons, quelques anciens et anciennes aussi, qui nous montraient les bons chemins...
Tout ce beau monde s'entassait là, les places y étaient chers, et quand on avait une table ou une place au comptoir, on la gardait précieusement...
C'est ainsi qu'un soir, à la nuit bien entamée, comme beaucoup, je me retrouvais assis au bar à côté d'une joueuse de violon qui faisait aussi le métro...
Bières, bavardage , re-bières, re-bavardages, on sympathise comme jamais, on refait le monde à notre façon, bref, de l'amour, avec du poil autours...
Au bout de deux heures, j'ai la vessie qui crie au secours, mais je ne veux pas lâcher mon tabouret, de peur de le retrouver occupé en revenant des wc...
Je m'en ouvre plusieurs fois à ma violoniste, qui finie par me demander pourquoi j'insiste lourdement à lui parler de mon envie de pipi...
Elle ajoute même en rigolant que c'est peut-être par envie qu'elle vienne me la tenir aux wc, je reste un instant surpris puis lui dit qu'elle n'en est pas capable...
Elle me tend alors la paume de sa main en me disant "Chiche"...! Je lui claque la paume de la mienne, n'y croyant pas, mais elle se lève et file aux wc...
Je la suis une minute après, pour la discrétion, et en entrant aux toilettes, je l'aperçois dans la partie "Homme", qui m'attend en trépignant d'impatience...
En refermant la porte sur nous, elle m'informe en baissant rapidement son pantalon et sa culotte, qu'elle aussi a une envie pressante...
J'entend de suite son jet puissant percuter l'eau et le doux chuintement de sa vulve, tout en pissant, elle me débraguette et extrait ma verge pour me sucer...
Je suis aux anges, cela fait quelques temps que je n'ai pas rencontré une pisseuse, et de plus, elle semble très aimable et prête à me faire plaisir...
Mon envie d'uriner est trop forte, je le lui dis, elle s'écarte d'une fesse sur le siège pour me laisser de la place et nous pissons ensemble...
Elle me tripote les boules et la verge pendant que je finis puis me tend quelques feuilles de papier toilette en me demandant de l'essuyer, je l'essuie...
Par contre ma violoniste à d'autres gouts et une fois mon jet tarit, elle me secoue la verge et l'essuie de la bouche, réaction immédiate, je me met à rebander...
Quelqu'un frappe à la porte d'impatience, ma violoniste se relève, baisse le couvercle et me tend ses fesses appuyée sur ses mains, en me disant de me dépêcher...
Je l'enfile d'une traite car même essuyée, elle a continuée à mouiller de désir, elle pousse quand même un petit râle en recevant toute ma verge...
Je fais quelques vas et viens en elle en lui écartant les fesses pour voir son anus, l'orifice brunâtre et plissé est d'une beauté irrésistible appelant à être visité...
Je sort de son sexe et pose mon gland lubrifié de sa mouille sur son œillet, elle proteste en me disant que j'exagère en voulant "tout" d'elle...
Je lui rappelle qu'elle m'a dit de faire vite, et que l'amour par derrière accélère la venue du plaisir, elle me dit "vas y alors...!", je m'enfonce dans son anus...
On cogne à la porte, de plus en plus, et ça râle grave, je m'active en elle (pas la porte...ma violoniste...) et il ne m'en faut pas beaucoup pour arriver à l'orgasme...
Je me vide nerveusement dans son rectum, puis me retire honteusement, je viens de tirer un coup sans attentions pour cette femme généreuse...
Elle essuie rapidement le sperme qui s'écoule de son orifice, me demande si je suis content, je lui dis oui et merci, nous sortons du wc sous les quolibets...
Nous avons retrouvés une petite place au bar pour prendre encore quelques rafraîchissements...