1992... Rolannda... Moi 34-35 ans... Elle 50…
La Première fois de Rolannda…
Elle était l'épouse de mon employeur, s'occupant de la partie comptable de l'entreprise et de la gestion du personnel, jolie de visage, poitrine moyenne, mais dotée d'une croupe disproportionnée par rapport au reste du corps, bien que sympathique et cultivée, elle ne m'attirait pas particulièrement pour le sexe, d'ailleurs elle semblait un peu "coincée", rétive dans ses propos dès que l'on abordait la question libidinale, mais elle semblait plutôt friande des secrets des aventures extra conjugales des autres, je la soupçonnais d'être une curieuse invétérée et une onaniste discrète…
Un jour, où comme à son habitude elle traînait dans les ateliers à l'heure de la pause, elle vient vers moi et s'arrête pour discuter famille, enfants, patrie, puis elle essaye de savoir si ça va chez moi et si la femme avec qui elle m'a vue l'autre jour est une amante, je reste évasif, ne lui parlant que d'une possible relation amicale et sans sexe, et c'est là que sans raison elle me dit qu'il n'y a plus rien entre elle et son mari, je crois mal comprendre et lui demande si c'est des sentiments dont elle me parle, gênée, elle me dit que non, c'est du sexe dont elle parle, plus rien entre eux, il ne l'honore plus du tout…
Je m'interroge de suite sur le pourquoi d'une telle confidence sur sa vie privée, elle me sait coureur de jupon mais quand même…
Et bien si, c'est pour ça, elle me cherche, je la vois détacher ses cheveux mi-longs et les éventer, puis elle s'appuie lascivement contre une table de travail, posant un pied sur une chaise en ouvrant légèrement les jambes, ce qui a pour effet de lui remonter la jupe, Rolannda est vieille France, jupe plissée bleu marine, collant beiges, chemisier col Claudine, j'imagine qu'elle porte des grandes culottes blanche en coton et qu'elle fait l'amour uniquement à la missionnaire et en éteignant la lumière, tout ça pour vous dire comment elle se lâche à cet instant…
Même si elle ne m'attire pas physiquement, le gros vicieux qui sommeil en moi se réveille en m'envoyant une image dégoutante d'incitation à la débauche, mais aussi une suggestion réellement bandante, ma patronne en levrette dans l'atelier, culotte à mies-cuisses lui glissant sur les mocassins vernis, et moi derrière elle en train de la prendre vaginalement puis rectalement, cette image payarde et furtive que m'envoie mon cerveau reptilien a pour effet de me durcir, chose que semble ignorer ma patronne, elle continue de me provoquer en me parlant des amantes qu'elle me connait et même du sexe que je pratique avec mon épouse, elle me dit avec une larme que j'ai de la chance…
Inconsciemment, ma décision est déjà prise, j'ai le bâton et je suis prêt à me substituer à son mari pour lui faire plaisir, et à moi aussi, en lui prenant le petit trou après qu'elle m'ai un peu sucée pour voir si elle le fait bien, je lui dit que si je peux l'aider, je le ferai pour son bien être, elle écarquille les yeux de surprise, n'en croyant pas ses oreilles, son employé plus jeune qu'elle est d'accord pour avoir une relation sexuelle avec elle et le lui dit, je lui précise quand même que l'on a pas beaucoup de temps, les autres vont revenir de la pause midi…
Tout en parlant, j'ai passé une main sur le devant de mon bleu de travail afin qu'elle voit bien que je suis prêt de suite, elle cherche de l'air, elle ne s'attendait sans doute pas à ce que je le veuille maintenant, elle panique un peu, essaye de reporter la chose à ce soir dans les ateliers, je lui dis que je suis pris ce soir, et demain soir aussi, elle réfléchie quelques secondes puis m'entraîne brusquement au sous sol dans les réserves, elle en a les clefs et ouvre une porte rapidement, nous entrons, j'allume, elle referme et éteint pour me sauter au cou, cherchant ma bouche, je rallume, elle en est surprise, je lui dis que je fais comme ça, en pleine lumière, elle l'accepte ou c'est rien…
Elle accepte, j'en profite pendant qu'elle m'ouvre mon bleu, pour lui annoncer la couleur, c'est moi qui décide comment, elle fait ce que je demande, elle s'applique à bien le faire, elle me dit oui mais que je soit pas un salaud avec elle, que je ne lui fasse pas mal, comme elle vient de m'ouvrir entièrement mon bleu et qu'elle farfouille dans mon slip pour me peloter le queue, je lui intime de la sortir et de me montrer ce qu'elle sait faire avec sa bouche, elle veut me rouler une pelle, je la lui refuse, c'est pour ma femme ça, alors elle se penche pour me suçoter le dard, de suite je comprend qu'elle ne sait pas faire une pipe, je comprend son mari qui la délaisse, elle me branle sèchement, nulle…
Alors je la fais se relever, je pourrai lui manger la moule, pour sentir son parfum intime, mais nous n'avons pas le temps pour les câlins, je lui fais prendre appuie sur une étagère et lui trousse la jupe, "Gagné…!" , elle porte une grande culotte blanche, façon Sloggi, je la lui baisse d'un geste sur les cuisses, ses fesses sont blanches et énormes, je lui dit d'écarter les cuisses pendant que je lui inspecte la raie, son anus est petitement plissé et propre, en dessous, ses grandes lèvres gonflées par le désir encadrent une vulve rose entourée de poils folâtres…
Je passe mes doigts dessus et dedans, le parfum léger de mouille et de pipi confirme la propreté du gousset de sa culotte, Rolannda est une femme propre et soignée, je la masturbe d'une main en lui caressant l'anus de l'autre, elle me dégouline entre les doigts, au moment où je tente de lui flatter la rondelle d'une phalange pour qu'elle s'élargisse, elle me dit, "Non…! Pas ça…! Je l'ai jamais fais…!"…
- Moi je le fais… Ce sera ta première fois…Tu me l'offre…?
- Je sais pas…! Ça fait mal… C'est dégoutant…! me répond-elle sans être convaincue…
- Ca va aller… Lui dis-je en présentant mon gland à l'orée de sa chatte pour me lubrifier de sa mouille
Pour la rassurer, je la prends vaginalement, elle est serrée de là, ce qui augure que l'autre orifice risque d'être hermétique à toute pénétration, mais elle est mouillée et mon sexe entre en elle sans difficultés, elle pousse un râle quand je m'enfonce en elle d'un coup de rein, je lui déboutonne le chemisier pour lui toucher les seins en lui remontant le soutient gorge, ils sont fermes, je lui en pince les pointes, elle pousse un crie de sourie, ses tétons deviennent turgessant, je ramène une main entre ses fesses et commence à lui préparer l'anus, salive, mouillement, j'utilise ce que j'ai sous la main à défaut de lubrifiant, je bouge en sa chatte…
Sa rondelle peine à se détendre, je lui conseille de pousser comme au wc pour l'ouvrir et ne pas avoir mal, je lui masse les plis de la pulpe d'un doigt circulaire, je sais que si je le lui rentre de suite, elle risque de se contracter fortement et de rendre toute pénétration impossible, j'hésite un instant puis décide de lui mettre ma queue dans les fesses sans touché rectal préliminaire, je me retire de son vagin et pose rapidement mon gland contre sa rosette, en même temps que je lui redis de pousser, je pousse aussi, mais c'est pour lui enfoncer mon dard dans le sphincter, elle pousse un cri rauque, je la maintient fermement et m'enfonce en elle…
Elle râle en pleurnichant et en me traitant de salaud, elle dit que ça lui fait mal, je lui répond que je le sais et lui dis et redis de pousser pour que tout rentre, qu'il en reste encore la moitié dehors, je lui masturbe doucement la vulve et le clito pour apaiser sa douleur par une autre sensation plus plaisante, elle mouille encore plus qu'au début, j'en prélève pour me lubrifier la tige pendant un retrait, je la laisse souffler un peu puis lui replante ma queue dans le rectum, elle pousse encore un râle, je l'encule complètement en lui demandant si son mari lui fait comme ça aussi, elle me redit qu'elle ne l'a jamais fait par les fesses, j'en ris…
Je vais lui mettre sa secouée pendant dix minutes, tous les rythmes, toutes les profondeurs, pimenté de plusieurs déculades et réenculades, au passage, je vois qu'elle m'a légèrement souillée la bite et baguée le cigare, ce sont les risques des sodomie sauvages, je suis bien dans son rectum étroit et sent ma jouissance monter, je ralentis un peu sur mes derniers vas et viens et la masturbe encore, elle gémit de plus en plus fortement et me gicle dans la main, je la ramone encore un peu et elle pisse sous elle en fléchissant les jambes, je lui dis que je viens et que je vais lui faire dedans, son cul serré me fait jouir et éjaculer en elle, ses fesses sont agitées de soubresauts, je m'accroche à elles pour me vider les couilles, son trou de balle a comme un bruit de clapotis pendant que je me finis dedans…
On s'essuie comme on peut avec des mouchoirs en papier sortis de son sac, elle dit juste, "Ho la vaaache…! Qu'est-ce que tu m'a fais…!"
- Je t'ai sodomisé… Enculé… Poussé la crotte… Ramoné le conduis… Tu n'as pas aimé…?
- J'ai eu mal…! Au début…
- Ah oui…!? Après ça allait mieux…?
- Hum… Disons que ça ne faisait plus mal…
- Ecoutez Rollannda… Je sais que vous avez pris votre pied à vous faire prendre par derrière… Je l'ai vu… Vous étiez pucelle des fesses… Vous ne l'êtes plus…
- Salaud…! Tu m'as cassé mon petit trou… Regarde j'ai un saignement… On se reverra…
- Oui… Pour la paye… Et si tu en veux encore dans le derrière, fais-moi signe…
Effectivement, on s'est revus, comme tous les jours mais sans aucune allusion, par contre elle m'a invitée discrètement plusieurs fois, à rester plus tard pour finir du travail, elle avait achetée un tube de vaseline et quand elle le posait sur mon bureau sans un mot, je savais ce que j'avais à faire, je descendais la retrouver à la réserve de notre premier coït anal, elle était souvent déjà en position, troussée et culotte baissée, je lui lubrifiait l'œillet et moi le gland et hop, dans l'anneau…
Je lui ai fais me laver avec la bouche une fois pour qu'elle comprenne qu'elle devait s'acheter au moins une poire à lavement pour être propre, ensuite je l'ai présenté à un ami qui s'est bien occupé d'elle…
FIN…