Après la jouissance obtenue par masturbation, je ressens un apaisement serein, bienvenu.
Petit moment amusant de pensée sage, alors qu'on va parler de masturbation :
Pour un homme comme pour une femme, ce moment d'apaisement devrait être naturellement ressenti ainsi, parce que nous sommes faits ainsi, dans l'envie régulière du plaisir sexuel naturel. Mais curieusement, paradoxalement, on est bien obligé de constater que cette idée ne semble pas aller de soi historiquement parlant, à voir à quel point, à quels excès la société se méfie de cela et en entrave l'accomplissement, au-delà de la simple nécessité de ne pas laisser faire n'importe quoi au détriment des personnes vulnérables.
La masturbation n'est qu'un des plaisirs sexuels, aussi riche en plaisirs, en émotions, que les autres aspects de l'érotisme duquel elle ne peut être détachée.
Les plaisirs ne peuvent être répertoriés je pense tellement ils sont dépendants de ce qui préside aux actes qui les réalisent, c'est à dire de ce que chaque personne a dans la tête pour vivre le plaisir sexuel considéré seul, c'est à dire sans sa part d'affectif, qui vient encore complexifier à l'infini les choses.
Ces considérations générales faites, je reviendrai plus précisément sur les plaisirs -si riches ! - de la masturbation, ou plutôt des masturbations.