Examen des organes génitaux, palpation des testicules

Vos organes génitaux sont-ils vérifiés régulièrement lors des visites médicales annuelles ?

Pendant la puberté, le médecin vérifiait très régulièrement le développement de mes organes génitaux. Il palpait les testicules, les soupesait, il décalottait le gland et faisait glisser le prépuce à plusieurs reprises.

Vers la soixantaine c'est la prostate que l'on commence à surveiller sérieusement, chez les messieurs !

Moi pendant la puberté, le pédiatre regardait systématiquement mes organes génitaux et la poussée de la poitrine.

Je me souviens d'un médecin qui m'avait expliqué (j'avais 14 ans) qu'on mesurait le développement sexuel des garçons selon une échelle allant de R1 à R7 (? Je ne suis pas bien sûr du chiffre).Et pour les filles ça commençait à S1 ce qui me faisait sourire.

@ Clyso

J'ai eu mon premier examen rectal pour la prostate lors d'un bilan de santé à 35 ans et c'était à l'hôpital public.

Je vais moins souvent qu'une fois par année chez le médecin. Vu mon âge c'est un contrôle de la prostate qui m'attend mais la dernière fois comme j'étais nu il a également vérifié mes testicules.

Moi j'ai une tumeur bénigne à la prostate et mon dernier contrôle a été effectué par un médecin femme. Il s'agissait d'une échographie. J’étais en slip elle me palpait le ventre avec sa sonde puis , et là j'ai été surpris.Elle m'a fait mettre en chien de fusil et m'a demandé de baisser mon slip...J’étais les fesses à l'air devant elle sans savoir ce qui allait se passer. Puis j'ai senti qu'elle passait du gel sur mon anus . Elle a ensuite présenté une autre sonde à l’entrée mais elle devait être de taille car ça me faisait mal et ça ne rentrait pas.... Elle m'a demandé de me détendre en disant que ça allait aller et tout à coup c'est rentré..J'ai sursauté, mais c’était plus agréable. ça a duré 5 minutes pendant lesquelles elle remuait sa sonde dans mon ventre en regardant son écran. Puis elle a ressorti le truc avec autant de difficulté que pour le rentrer. Je suis resté 5 minutes à reprendre mon souffle.J’étais toujours nu devant elle. Expérience très excitante en fait.

Pour l'instant je n'y suis encore pas passé par là, malgré quelques soucis lors de la fin de la miction.C'est un vrai calvaire de sortir son pénis pour uriner debout.J'en ai parlé à ma mon médecin-traitant qui m'avait demandé une analyse d'urine pour regarder où j'en étais niveau prostate.Mais n'ai encore pas fait pareil pour l'hémocult pour la recherche de sang dans les selles.Mais avec ma constipation que j'ai et le souci d'éxonérer ce n'est pas facile surtout sur une semaine.La prochaine fois quand je le reverrai pour renouveler mon traitement contre le cholestérol je lui dirai que cela est très difficile .Et mon poids aussi donne quelques fils à retordre.J'ai pris l'engagement de perdre du poids et je vais m'y tenir car là vraiment cela est trop haut.

Bonjour.

Plusieurs occasions pour cela en ce qui me concerne :

irritations de la peau à la trentaine : slip baissé, doigts de la femme médecin généraliste sur les testicules

plusieurs échographies testicules (douleur intermittente) : en slip en cabine puis sur la table et slip enlevé (opérateur masculin) à partir de la quarantaine

à nouveau des irritations des testicules et des boutons sur le gland : slip enlevé, nu sur la table et doigts de la femme médecin pour observer les endroits concernés (gland décalotté par mes soins)

observation du gland irrité présentant des points rougeâtres :slip enlevé, la dermato, gantée, prend le gland entre ses doigts pour cela et demande si j'ai eu des rapports homosexuels ou anaux ; elle conclut qu'il n'y a rien de bien grave, juste uns savon dermatologique à appliquer

à suivre. examed

Pour un examen de la prostate, l'analyse d'urine n'est qu'un élément de diagnostic.S' il est positif il y a obligatoirement un toucher rectal ...ou plusieurs.... pour un examen poussé de la prostate. Cela peut être très désagréable comme très agréable.....

J'ai subi une fois un examen des testicules. Le contexte : une personne qui n'avait pas de ticket dans le métro, m'a poussé dans les tourniquets. Sous la violence du resquilleur, l'un des bras du tourniquet est venu heurter mes bourses très fortement. J'ai hurlé, mais le mec ne s'est même pas excusé et il est parti en courant. J'ai eu très mal sur le moment, mais en rentrant à la maison, j'ai pris des antalgiques et j'ai passé une bonne nuit.

Le matin, très tôt, vers 5 h, j'ai atrocement mal et ça me réveille. Je me tords de douleur. Je décide d'aller travailler, malgré tout et je verrai après. Je prends des cachets pour estomper la douleur.

En fin de matinée, je ne tiens plus, j'ai trop mal. Je me rends dans un dispensaire, près de mon lieu de travail : là, on peut être reçu par un généraliste sans rendez-vous.

Le médecin qui me reçoit est une femme ! J'ai été géné terriblement, sur le moment, de lui expliquer pourquoi je venais. Et puis, j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai tout dit.

Evidemment, j'ai du me mettre à poil. Cela n'a pas suffi au médedin de ne m'examiner que les bourses : elle a tout ausculté. Et les bourses en particulier et en prenant son temps. Elle a jugé bon de me faire entièrement déshabiller !

J'ai adoré le doux toucher de ses mains en cet endroit. Je suis resté les parties à l'air 20 minutes, parce qu'au cours de ma consultation, elle a été dérangée au téléphone, et elle a dû interrompre son examen. Mais moi, je me trouvais bien.

Je me rhabillé, elle m'a demandé de faire une échographie pour voir si rien n'était endommagé et de revenir après la voir. Quelques jours plus tard, je passais à l'échographie. Là, l'opérateur était un homme. Je n'ai pas tout enlevé pour cet examen : j'ai dégagé le ventre et retiré mon pantalon et mon slip. J'ai apprécié l'application du gel sur les bourses. Mais le passage de la sonde ne m'a pas fait le même effet que celui des mains de la doctoresse.

Je retourne avec les résultats au dispensaire. Malheureusement, et c'est comme ça dans les centres de santé, on ne sait pas forcément quel est le médecin de permanence. Ce jour-là, je suis reçu par un autre médecin, un Asiatique, mais qui parle très bien français, sans accent. Je m'attendais à un banal commentaire sur mon échographie, je pensai qu'il allait seulement m'expliquer ce qu'il fallait faire, un traitement à envisager...

Mais non ! il me fait mettre tout nu. Là, je ne comprends pas. Je lui explique que sa collègue m'a déjà examiné... Il ne veut rien savoir,que je ne veux pas être examiné. Mais il insiste. Il presse. Il referme à clé la porte de son cabinet : je n'ai plus d'autre choix que de me soumettre à sa volonté.

Bah ! après tout, une autre visite, me dis-je, pourquoi pas ?

Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, je me déshabille. Et à chaque pièce de vêtement que je retire, il me dit de continuer (à me déshabiller).

Finalement, j'enlève tout : même ma gourmette, montre et... les chaussettes aussi. Je me retrouve entièrement nu.

Je m'allonge sur la table et le médecin s'approche de moi. Il saisit brutalement, c'est le mot, mon appareil génital et l'observe sous tous les angles. Je crie, il me fait mal. Je tente d'arrêter son geste en retenant son bras. Il me bloque, me disant qu'il sait ce qu'il a à faire. Je suis crispé, je n'arrive pas à me détendre. Il serre très fortement mes bourses et là, je crie encore plus fort. Il me fait taire. Je cède et je ravale mes plaintes, attendant la fin de l'examen.

J'ai été torturé pendant 10 longues minutes. Ce médecin n'a rien examiné d'autres que mes parties : pourquoi m'a-t'il mis à poil ? Il n'a même pas pris connaissance du compte-rendu de l'échographie, il y a à peine jeté un coup d'oeil.

L'examen fini, j'avais encore mal. Il m'a ordonné de ne pas bouger. Lui, est retourné à son bureau mettre à jour mon dossier. Ce n'est qu'à ce moment qu'il a pris le temps de lire le PV de l'échographie.

Quand il m'a permis de descendre de la table et de me rhabiller, il m'a dit qu'il n'y avait rien dans l'échographie, que tout était normal. Il ne m'a même pas donné un traitement ou un antalgique...

Il est vrai que mes douleurs se sont estompées quelques jours plus tard.

Je n'ai jamais compris le comportement de ce médecin.

À mon tour de répondre. Je n'ai jamais eu d'examen des organes génitaux durant mes visites annuelles. En revanche, quelques rares occasions qui se sont présentées en dehors des visites de contrôle :

- la première fois aux trois jours de l'armée, slip baissé et verge tenue vers le haut par moi-même, contrôle visuel des bourses

- suite à une sensation de brûlure dans l'urètre, examen par mon généraliste femme, allongé sur le dos, pantalon et slip baissé, palpation des testicules et de la verge, décalottage et inspection du méat.

- toujours suite aux brûlures, prélèvement urétral par le médecin du Labo, debout avec pantalon et slip baissé.

- problèmes de fertilité, échographie des voies urinaires, par le radiologue, allongé sur le dos, jambes fléchies, en chaussettes et slip baissé jusqu'aux chevilles. L'un de mes meilleurs examens, je regrette d'avoir gardé mes chaussettes.

- problèmes de fertilité, examen externe par une femme médecin biologiste et son interne, debout avec pantalon et slip baissé. Un moment inoubliable, avec la pauvre interne toute rouge ne sachant plus où se mettre.

C'est tout !

Pour les examens à l'école primaire pas de souvenir particulier.

Par contre ce fut très différent au collège. Ma libido était déjà bien développée ( la faute à un bouquin de Reiser, "fantasmes" caché dans la chambre de mes parents trouvé à 10 ans ).

J'appréhendais comme tout le monde chaque visite mais mon appréhension personnelle était de savoir si ce serait un homme ou femme qui m'examinerait. En 6ème ce fut un homme, donc rien de particulier.

En 4ème, une femme, enfin. Avec des mamelles lourdes que je distinguais sous sa blouse blanche.

Je baisse mon pantalon, je reste debout et elle vérifie que les bourses sont bien descendues, les palpe avec professionnalisme mais fit une chose qui me fit perdre mes moyens : elle approcha son visage de mon sexe et arrêta de palper mes bourses pour me décalotter. C'est à ce moment précis que je commence à avoir une érection, la plus forte depuis mes premières masturbations et que je ne sais plus où me mettre. Une honte indicible m'envahit et elle observe ce corps se gonfler sans bouger sa main pour aider le prépuce à libérer le gland car il se libère de lui même.

Elle l'observe, assise sur sa chaise roulante, retire sa main et me dit de ne pas avoir honte, que cette réaction est normale mais qu'il faut me rhabiller désormais.

Cet épisode ne dura que 3 minutes voire peut-être moins mais cela me sembla une éternité de plaisir coupable.

Mais quelle nourriture libidinale pour la suite de mes fantasmes en construction !

Voilà pour moi.

Quand j'étais jeune, oui, les médecins regardaient systématiquement les organes génitaux, soit le slip devait être baissé, soit il était enlevé.En général il y avait palpation des testicules et décalottage du pénis.

La palpations des testicules pour voir s'ils étaient bien en place, parfois ils ne sont pas descendus donc cela demande une petite opération que j'ai eue quand j'ai reçu mon premier lavement et mon premier passage sur le bidet et le bassin de lit. Mais, merci ! Cela fait très mal lorsque l'on doit vous retirer les agrafes des testicules et du ventre. Waouhh ! Cela fait un mal de chien et pour le décalottage je ne l'ai pas eu.

J'ai dit par ailleurs mon angoise vis-à-vis des visites médicales en général, mais je ne crois pas que l'examen de mes organes génitaux en soit la raison principale.

Je me souviens qu'au lycée, chaque année, le médecin scolaire nous baissait le slip, nous décallotait la verge et nous palpait longuement les testicules.Selon un ami médecin, cete palpation systhématique des testicules viserait à dépister les cancers du testicule, maladie de plus en plus fréquente et qui touche surtout les jeunes. Je ne me souviens pas d'avoir eu de test d'hernie où l'on m'aurait faIt tousser.

J'ai raconté par ailleurs que le medecin scolaire, pendant l'essentiel de ma scolarité, était une vieille chouette revêche, mais que pour la visite médicale de terminale, j'ai eu droit à une jeune femme sympa, qui non seulement nous traitait comme des êtres humains, mais qui en plus était véritablement jolie. Elle nous a taté les couilles tout antant que sa consoeur, mais le jour de l'examen, elle portait une minijupe et un corsage largement ouvert, ce qui nous apportait une petite compensation pendant qu'elle nous examinait, asise sur son tabouret, face à nous debouts.

Au cours de ma vie d'adulte, la seule fois où un médecin m'a baissé le slip fut une visie médicale dans le cadre d'un coucours assez désagréable, que j'ai également raconté, pour entrer dans une grande banque.

La palpation des testicules sont là pour décelé si une des bourses n'est pas descendus dans sont logement habituel appeler cryphorchidie, c'est un petit inconvénient que parfois cela arrive, durant la migration durant la grossesse les deux testicules descendes dans les bourses et parfois l'une d'elle est resté coincé ou n'a pas descendu, c'est pour cela que l'ont tate voir si les deux sont bien à leurs places respective, ensuite ont réalise une opération soit en clinique privé ou à l'hôpital pour y remédier, un petit lavement est réaliser pour que la région soit propre de toute selle qui pourrait y avoir si besoin un rasage est réaliser si de trop long poil ont poussé une petite incision dans la partie droite du corps pas loin du pubis, et ensuite ont ouvre le sac des bourses et ont la remet en place tous cela ne prend que quelques jours, c'est une opération qui se passe sous anesthésie générale et quand ont ce réveille cela fait un peu mal, interdit de rigoler ou de bouger, car des fils et des agrafes sont là pour fermer la plaie, comme je l'ai dit le plus dure étant d'ôter tous ses fils et agrafes et cela fait assez mal, parfois ont demande de l'aide pour que l'enfant ne bouge pas, j'avais alors 8 ou 9 ans à cette époque là, les progrès de la médecine étant changer ceci n'est que mon vécu de cette époque là. En rentrant j'avais une pommade cicatrisante à mettre deux fois par jour après une toilette intime bien comme il faut.

On m'a beaucoup examiné le sexe quand j'étais enfant et adolescent,

mais depuis mes 18 ans, je n'ai jamais eu d'examen des organes génitaux, exception faite de la visite médicale des "3 jours" à l'armée, quand j'avais 19 ou 20 ans.

Surtout lors des visites medicales universitaires et pour le service militaire.

Phil 28

Au collège, lors de la visite médicale annuelle, l'examen des organes génitaux était systématique et parfois fort détaillé pour certains d'entre nous.

La visite médicale en 6e avait été la 1ère qui m'avait marqué, car je m'étais retrouvé pour la 1ère fois tout nu devant un médecin, et les quelques manipulations effectuées sur mon sexe m'avait provoqué une érection qui m'avait gêné. Mais la pire que j'ai subie était l'année suivante, en 5e. Car si en 6e le médecin a je pense simplement fait son boulot, en revanche le médecin que j'ai vu en 5e a profité de ma timidité et de celle de quelques autres élèves de mon collège.

Quand j'étais entré dans son bureau, il m'avait demandé d'emblée d'enlever mon slip. Même si j'étais un peu pudique, cela me paraissait normal d'autant qu'1 an avant je m'étais retrouvé nu également. Le début de l'examen se passait normalement, allongé sur la table d'examen il a écouté mon cœur, regardé mes oreilles, palpé mon ventre. C'est ensuite que les choses se sont corsées. Après un rapide examen de mes testicules, il a décalotté mon prépuce, ce qui n'a posé aucune difficulté. Mais ça n'a pas semblé lui suffire, il m'a demandé si quand j'avais des érections mon prépuce pouvait se décalotter également sans problème. Moi j'avais jamais trop fait attention, aussi je n'ai pas su lui répondre. Il m'a dit que c'était très important de vérifier cela, car sinon cela pourrait me poser des problèmes plus tard. Et c'est là que c'est allé trop loin (mais à l'époque je savais pas, je pensais qu'un médecin avait le droit d'exiger cela) : il m'a dit qu'il fallait qu'il vérifie mon prépuce en érection, et m'a demandé de me masturber un peu pour cela. Moi je savais pas encore ce que ça voulait dire (même si je commençais à avoir des poils je ne me tripotais pas encore, j'étais pas très informé à ce sujet dans une famille où on ne parlait pas de ces choses-là, et entre copains on n'en parlait pas non plus). Comme je lui ai demandé ce que ça voulait dire "se masturber", il m'a dit qu'il allait me montrer, et donc il a pris mon sexe et a fait des mouvements de va-et-vient qui m'ont mis assez rapidement en érection, ce qui a eu l'air de le satisfaire puisqu'il m'a dit "très bien" et il a pu constater que je n'avais aucun problème de phimosis dans cette situation. Il a fini l'examen en me mesurant mon sexe en érection (je me souviens qu'il m'a dit que j'étais pile dans la moyenne puisque selon lui à 12 ans c'était 12 cm). Il m'a ensuite dit de me rhabiller.

Je m'étais quand même senti un peu bizarre à la fin de cet examen et j'avais demandé à un copain si lui aussi avait eu un examen de son sexe, il m'avait répondu que le médecin lui avait lui aussi demandé de bander, et trouvé un phimosis et qu'il devrait se faire opérer. Ça m'avait rassuré à l'époque de voir que je n'étais pas le seul à qui il avait fait cela, et du coup je pensais que c'était normal.

Heureusement cette visite ne m'a pas vraiment traumatisé dans ma vie, mais j'en garde comme "séquelle" un besoin de parler de ces visites médicales "subies" au cours de mon adolescence, et, peut-être pour tenter de me rassurer encore, de voir les expériences des autres sur les visites qu'ils ont eu eux aussi à cet âge.

Bravo vous avez été courageaux de le dire, ne vous inquité pas nous sommes dans un forum ou chacun ne connaît pas l'autre sauf sous sont noms de pseudonyme et d'avatar, si cela vous a fais du bien d'en parler tant mieux et n'hésitez pas à y revenir nous seront toujours là à votre écoute et si besoin de répondre à votre attente. Soez le bienvenue chez vous vous y serez entre amis et sans discrimination culturelle ou autres, pour nous c'est la joie de converser entre nous sur divers sujet. Vous voici dans le grand bain alors bonne nage et exprimez vous librement.

Je n'ai connu les examens génitaux que durant ma petite enfance, que ce soit lors de la visite médicale scolaire ou chez le médecin de famille, et c'était toujours bref, genre slip à peine écarté.

Plus tard vers 16 ans, je me souviens avoir dû aller consulter un spécialiste pour un problème de scoliose lombaire.J'ai passé l'examen en slip, et en fin de visite, il m'a demandé de le baisser pour "vérifier si tout était normal".Son regard s'est porté sur mes organes génitaux, il m'a fait tousser plusieurs fois et a palpé mes bourses lentement. Je n'ai pas eu d'autres occasions, et j'ai aujourd'hui plus de 50 ans.Il me semble que les médecins sont devenus négligents d'une manière générale lors de l'auscultation......

Bonjour xav

"Les médecins sont devenus négligents" écrivez-vous . Mais dans ce cas pourquoi ne pas leur demander d'effectuer certains examens qui vous semblent importants et qu'ils auraient omis ?

A vous lire ....

Bonsoir omega

je pensais surtout à certains généralistes qui bâclent l'examen, on voit bien qu'il est plus aisé d'obtenir une longue prescription de médicaments que de se faire examiner correctement.

soyez assuré qu'en cas de besoin, je m'exprime auprès du praticien, et demande un examen plus approfondi. La réponse n'est pas toujours au rendez vous, et je note chez certains une sorte de réticence. C'est un peu une loterie.

Je vais vous répondre et si omega44 le fait après qu'il me dira le contraire ou l'affirmative, moi quand j'y vais à un rendez-vous chez mon médecin je sais pourquoi je viens, mais quand je demande certains actes parfois ont me le refuse selon les données qui ont été faite antérieurement, les médicaments sont parfois donné plus facilement mais les actes qui pourrais donné un meilleurs diagnostique sont là pour dire se que vous avez déjà eu, refaire le même examen ou autres dans un court délai ce n'est pas raisonnable parfois des fois utile et inutiles et cela coûte des sous à la sécu et qui ensuite dit que cela devient de plus en plus cher, il ont aussi des comptes a rendre à la sécu et se font sanctionner si trop d'acte médicaux inutiles ou utile sont fait. C'est vrai que pour vous, vous emblez délaissé par rapport à d'autres parfois vous avez totalement raisons et parfois d'autres fois tort soyez des deux cotés du couperet. Ceci n'est rien quand c'est le SAMU et les pompiers qui doivent secourir des vicimes et parfois, c'est le régulateur qui doit en quelques secondes choisir qui envoyez les deux ou un. Parfois il y a des abus de ce coté qui demanderais des sanctions comme faire payer le déplacement pour des choses qui n'ont rien à faire d'eux, mais vous savez le devise tous le monde sur le même pied d'égalité et parfois cela demande réflexion, il font plus souvent de la "bobologie" qui devraît pris en charge par un médecin de ville ou de campagne au lieu d'eux là parfois c'est très dure de décider.

Etant plus jeune notre médecin de famille nous auscultait toujours tout nus. J'ai bien essayé avec le temps de conserver mon slip, mais systématiquement, notre médecin nous le baissait jusqu'aux chevilles, et nous faisait nous tourner pour un examen complet du dos. Au bout d'un moment j'ai laissé tomber et j'ai passé l'ensemble de mes visites nu.

Le décalotage était systématique, et il ne recalottait jamais, pour une raison qui m'échappe. Au niveau des testicules, l'examen était très superficiel...

Au collège, le rituel était quasiment le même.La doctoresse nous baissant le slip toujours par surprise, mais le pire souvenir était en CM2, quand nous avons été examinés à 2 au même moment, en slip, puis avec le slip aux chevilles...

Bonjour,

à 18 ans j'ai du subir une échographie des testicules. J'avais remarqué une grosseur au niveau de l'épidydime et mon médecin m'a envoyé passer cet examen. Le médecin, une femme, m'a donc demandé de retirer mon pantalon et mon slip, m'a fait allonger sur la table et m'a tendu un sopalin pour que je tienne mon pénis vers le haut, le temps de l'examen. J'étais super angoissé à l'idée d'avoir une érection mais j'étais aussi tellement stressé avant de connaître le résultat, que ça n'est pas arrivé. Elle m'a ensuite laissé debout pendant 10 minutes et quand elle est revenue elle a repassé l'appareil sur mes testicules me confirmant que j'avais des varicocèles. J'étais très soulagé et même si j'avais été très gêné, j'aurais même accepté d'être nu sur la place du marché pour apprendre qu'il n'y avait rien de grave!

Comme je l'ai déjà dit par ailleurs, à part une fois lors d'une consultation privée quand j'avais 7 ou 8 ans, je n'ai jamais eu à baisser mon slip et à être décaloté lors d'une visite médicale. Je n'en ai en tout cas aucun souvenir. Et vu que je me souviens de celle pratiquée par le médecin cité précédemment, je pense que je me souviendrais des autres, surtout si elles avaient eu lieu en milieu scolaire !

Donc ni en primaire, ni au collège-lycée, ni lors des visites de la médecine du travail. Une fois, dans ce dernier cas, les palpations ont été un peu plus intimes, mais pour une détection de hernie je pense (doigts sur l'aine) et toujours avec le caleçon sur moi (baissé jusqu'à la naissance des poils pubiens).

Ma primaire a commencé en septembre 78. Les baissages de slip et décalotages forcés étaient peut-être déjà passés de mode. Ou alors j'ai eu de la chance ! 😃

Bonjour,,

Contrôle régulier des organes génitaux, de l'enfance à l'adolescence :

- deux fois par an chez un (ou une) pédiatre, de la naissance à la puberté, examen minutieux,

- une fois par an de l'école primaire au collège, par la visite médicale scolaire, examen rapide,

- plusieurs contrôles lors de visite chez un (ou une) généraliste, lors de problèmes divers (certificat sportif, bobos, maladie bénigne),

- contrôle rapide lors des "3 jours" et examen très complet lors d'un bilan médical en hôpital militaire.

Après le service militaire, adulte, juste deux contrôles lors d'un problème dermatologique ponctuel.

De plus à l'âge de six ou sept ans, plusieurs visites liées à un phimosis et à la circoncision, entre détection, décision d'opération, opération et suivi de la cicatrisation.