On ne peut appeler ça un examens des parties, mais dans ce domaine, au cours de ma scolarité, plus d'une fois une fille me fit des avances. Elevé comme je le fus, j'ai refusé, j'ai fais semblant de rien, je faisais le mort.
Cette gente demoiselle s'en prit alors à mes parties. Et chaque fois qu'elle en eut l'occasion, elle me tâtait mes testicules !
Par devant, par derrière...
Et elle ne s'excusait pas du geste.
Ses tatations se faisaient de plus en plus lourdes, de plus en plus insistantes. Moi, je n'osais pas lui rendre la pareille, lui mettre la main au panier, comme on dit poliment.
Ses efforts redoublèrent : elle ne géna pas pour se faire de plus en plus remarquer, allant jusqu'à me tâter en plein cours.
A la fin, j'en eu assez. Je l'ai coincé dans un couloir, un jour où un prof absent nous obligea à aller en permanence lui demander des explications.
Elle ne se justifia nullement, n'eut aucune honte de ses actions.
Je l'ai alors supplié d'arrêter ses gestes, que je ne voulais pas d'une relation de ce type.
Sa réponse fut cinglante : elle cesserait de me les tâter le jour où je lui mettrais la main au panier.
Je n'osais pas le faire. Or, il le fallait pour que cette jeune fille arrêtât ses provocations.
Un jour, j'ai pris mon courage à deux mains. Profitant d'une affluence dans un couloir, j'ai serré cette personne contre moi et hop ! J'ai placé ma main où il fallait... Un bon moment...
Outré, elle s'apprêtait à mettre une giffle sur celui qui la saisissait de la sorte. Quand elle se rendit compte que c'était moi, je l'aie vue tomber en pamoison...
Elle a tenu parole : elle ne m'a plus jamais tâté.
Je ne l'ai plus jamais touchée !