" Les plaisirs du lavement POINT com ” est un site qui n'est plus actif en 2021
ATTENTION en tapant le nom exact vous serez redirigé vers des sites frauduleux
En voila un titre accrocheur pour un vieux clystérophile comme moi...
Je me suis connecté sur la pointe des pieds, et toujours pas de piège à pognon, pas de porno crade, quelques gens un peu décalés (comme moi !), des gens qui cherche un équilibre dans un plaisir différant. Des gens qui cherche à comprendre leur décalage et qui aimeraient partager leurs bons moments.
Donc, j'aime bien ! Moi ce que je recherche, c'est aussi à comprendre pourquoi je me traîne cette casserole... je suis prêt à partager mon expérience, à guider ceux qui se trouve un peu perdu dans cet imbroglio de sensations ‘'Différentes''. Les aider à prendre leur plaisir, à partager leur passion et à respecter leur corps.
Ce que j'attends des autres membres ? Qu'ils me racontent leur première fois !
Alors je montre l'exemple, et je vais vous raconter une histoire commencée il y a un demi siècle, et si elle trouve un écho favorable, il peut y avoir une suite...
Cinquante ans !
Cinquante ans bientôt de clystérophilie ! Un demi siècle à user et abuser des lavements. En chiffre ça donne autour de vingt milles litres... Oui, c'est le contenu d'une petite piscine qui petit à petit a lavé mes intestins. Aujourd'hui, c'est plusieurs dizaines d'instruments en plastique, en caoutchouc, en étain, en tôle émaillée, en porcelaine, en silicone... Et surtout, beaucoup d'incompréhension dans mon entourage...
Ça commence à onze ans un jour de désœuvrement par un petit lavement pris en solitaire alors que j'ai toujours détesté les quelques fois où j'en ai reçu un de mes parents. Tout comme je détestais les suppositoires ou le thermomètre (bien sûr rectal, nous sommes dans les années cinquante). Mais ce jour là, je suis tombé sur le pot de suppositoires à la glycérine, et je ne comprends pas pourquoi ça fait si mal lorsqu'on vous en enfonce un dans le derrière alors que c'est tout mou ? Donc, pour comprendre j'en prend un, je le mouille, et délicatement je le pousse dans mon anus. Il glisse tout seul et sans douleur. Bon, dix minutes plus tard, je cours au cabinet, mais rien de surprenant à cela... Mais si cela fait mal lorsque quelqu'un d'autre me l'enfile, c'est que l'autre s'y prend mal. Et si c'était pareil pour les lavements ?
Je vais chaparder la petite poire à lavement dans la pharmacie familiale, pour des raisons de discrétion, je ne peux m'en servir sur place, alors je m'enfuis dans le jardin. Mais là, pas de robinet. Je me résous donc à la remplir avec l'eau du basin des poisons rouges, après tout elle est claire, et même si elle est froide, quelle importance, il m'arrive bien de boire de l'eau froide... Et puis si elle n'est pas tout à fais propre, de toute façon, elle sera rejetée.
Sitôt dit, sitôt fait, je vais me cacher avec ma poire pleine, baisse mon short, applique la fine canule d'os contre mon anus, mais sans lubrifiant, l'affaire n'est pas simple. Pourtant, comme je contrôle moi-même l'introduction, je parviens plutôt facilement à mes fins. Ne reste plus qu'à presser la poire... C'est assez énergiquement que je m'injecte les deux cent cinquante grammes d'eau froide. Par cette chaude journée de juillet, c'est plutôt agréable. Le temps de retirer la canule, l'eau se met à gargouiller dans mes boyaux et fait mille petits bruits. C'est rigollot, ça chatouille... Bien évidement, cela se termine en course effrénée vers les toilettes. Puis je range la poire à sa place. Mais je sais que bientôt je recommencerais !
A cette époque, l'on me donne un lavement lorsque je suis constipé et que tous les autres systèmes ont échoués. Donc la prochaine fois que j'ai deux jours de retard dans mes selles, je ne dis rien à personne, et je me fais un lavement, mais là je choisirais la grosse poire de quatre cent cinquante grammes. Après tout c'est celle là que ma grand-mère m'a infligée la dernière fois !
Ma grand-mère lorsqu'elle doit me faire un lavement me demande toujours si je le préfère au sel ou à la glycérine ? (Disons que dans les six ou sept dernières années cela a bien dû arriver cinq fois !) Qu'est-ce que je m'en moque, de toute façons cela se termine chaque fois par du sel et de la glycérine. Et puis la canule me blesse l'anus. C'est souvent accompagné d'une fessée par-ce que je ne me laisse pas faire. En suite arrive une méchante colique qu'il faut retenir le plus longtemps possible.
Je sais aussi que â €˜' chez les pauvres'' ont fait les lavements avec de l'eau savonneuse, par-ce que ça coûte moins chère. Donc lorsque je m'estime suffisamment constipé, je me débrouille pour me faire un lavement avec l'eau de ma toilette, à la fois tiède et savonneuse... C'était très agréable, et bientôt cela me vaut mes premières érections reconnues.
Rapidement, je me rends compte que lorsque j'ai envie de prendre un lavement, deux ou trois jours plus tard je suis constipé... Donc je commence à me poser la question de savoir s'il ne serait pas plus simple de prendre directement un lavement quand j'en ressens l'envie ? Mais je me demande aussi si ce n'est pas mal de jouer ainsi avec son trou du cul ? Je sais que c'était très mal de se masturber, quoique je n'ai qu'une idée très vague de la chose. C'est peu de temps après que je découvre la masturbation avec éjaculation au court d'un lavement. C'est sûrement très mal, mais assurément très agréable.
Il est sûr que si je pouvais discuter de la chose avec quelqu'un d'objectif à ce moment là, cela me simplifierait bien la vie. Je m'enferme de plus en plus dans mon coupable secret, en conflit permanent entre mon corps qui réclame sa part de jouissance et mon esprit qui la lui refuse. De plus je ne peux pas ‘'emprunter'' la poire aussi souvent que je le souhaite et je doit faire marcher mon imagination pour parvenir à faire rentrer de l'eau dans mon intestin.
Par exemple, je me dis qu'il est plus facile de faire entrer de l'air dans mon derrière que de l'eau. Ensuite, il est possible de faire l'échange air/ eau avec une bouteille plein d'eau donc le goulot est délicatement introduit dans l'anus. L'eau ne va pas remonter, mais si je me place la tête en bas et le cul en l'air, l'eau va descendre dans mon ventre et l'air remonter dans la bouteille. Une fois la bouteille vide, là retirer tout doucement pour laisser à l'anus le temps de se refermer d'une telle dilatation. Et, me direz vous, comment est ce que je fais entrer de l'air dans mon ventre ? Enfantin, je gonfle à bloc ma roue de vélo, je coiffe la valve avec un petit tube de plastique dont l'autre extrémité est introduite dans mon cul, et je dégonfle le pneu en poussant l'extrémité de la valve sur le côté (c'était possible avec les valves de l'époque) (je vous déconseille fortement de tenter l'expérience, il est très dangereux de s'introduire de l'air comprimé dans l'intestin, cela n'a rien à voir avec le fait de se pomper de l'air progressivement). C'est très mal commode, mais on peut faire tiédir la bouteille au soleil avant de commencer, ce qui est plus agréable que l'eau froide.
Non finalement, j'utilise le petit tube de plastique (précédemment employé pour l'air), en le branchant sur le robinet de purge du compteur d'eau, d'ans le font de la cave. C'est beaucoup plus pratique ! Mais froid !
A cette époque, mon principal souci, c'est de prendre un lavement avec un bock ! Instrument qui n'existe pas à la maison. Je dois préciser que j'habite à la campagne. Au tour du village d'une centaine d'âmes, il existe plusieurs décharges. Ce sont des dépôts d'ordures destinés à combler la cavité laissée par l'exploitation d'une roche dans le but d'obtenir de la pierre à bâtir ou à remblayer les chemins. On y trouve toutes sortes de vieilleries comme de vieux sommiers, des bouteilles cassées, de la vieille vaisselle, des pommes de terre pourries... Et assez souvent de vieux bock en tôle émaillée, parfois complet, dans un état plus ou moins pitoyable.
Après des mois de repérage, je parviens à localiser le moins mauvais matériel de la région, mais je ne peux prendre le risque de le rapporter à la maison, surtout pas en plein jour... Donc, un soir en rentrant du cinéma, je remplie deux bouteilles d'eau à la borne fontaine du village d'à coté, et sans lumière, par une nuit sans lune, je vais rejoindre le bock sélectionné comme étant le meilleur, quoique fuyard, et j’entreprends de me faire un lavement dans ces conditions démentes. Bien peu d'eau parviendra jusque dans mon ventre, et je reste sur un constat d'échec.
Mon premier lavement au bock, je me le ferais vers seize ans, mais entre temps, j’essaie désespérément de me faire une poire à lavement, toujours à partir de récupération dans mes chères décharges. L'idée consistait à faire fondre le caoutchouc d'une vielle paire de bottes dans une boite de conserve et de le couler dans une bouteille de chianti. Le répartir uniformément en tournant la bouteille pendant le refroidissement, puis casser le verre pour libérer mon œuvre. Je n'y suis jamais parvenu... Mais cela m'a occupé nombre de jeudis après midi, et valut quelques sévères brûlures...
Donc vers seize ans, je retrouve en apprentissage dans un élevage d'animaux à fourrure. Je suis logé dans une fermette qui sert de débarras à la ferme principale. Je dispose d'une grande chambre, seulement chauffée par une cheminée qui me sert aussi à cuisiner, je dois aller chercher l'eau au puits derrière le bâtiment, et les toilettes sont de l'autre côté de la coure. Nous sommes au mois de janvier... En fouinant dans les autres pièces, au milieu d'un bric à braque indescriptible, j'ai le bonheur de trouver un bock, en parfait état. Jouissant d'un isolement et d'une tranquillité royale, je vais enfin pouvoir faire sérieusement l'essai de cet instrument qui me fait rêver depuis si longtemps. D'abord, un fagot complet dans la cheminé pour réchauffer l'atmosphère sibérienne de la pièce. Pendant que la température s'élève je vais puiser un seau d'eau au puits. Je fais tiédir une grande casserole d'eau avec un peu de sel (je n'ai pas de glycérine), et en attendant, je cherche le bon endroit près de mon lit pour accrocher le bock. Je suis décidé à le remplir complètement, il sera toujours temps de refermer le robinet si j'ai quelques difficultés avec la quantité. Je choisi la grosse et longue canule en ébonite noire. Tant pis si elle est destinée aux femmes, elle est plus ronde et avec un peu de beurre elle entrera très bien. Je me déshabille, prépare le lavement, m'allonge sur le lit, installe délicatement la canule dans mon anus... il ne reste plus que le robinet à ouvrir... Quelques instants d'appréhension, j'ai entendu tellement d'histoires horribles sur des canules qui perforaient le rectum, ou sur des intestins qui éclataient à cause de lavement donnés trop vite... mais je n'en suis pas arrivé là pour renoncer ! J'ouvre le robinet !
L'eau est bien chaude, pour moi qui ai eu froid toute la journée à travailler dans l'élevage, c'est une bénédiction. La vague tiède envahit tout mon ventre, c'est le bonheur total. Je flotte sur un petit nuage... je ne ressent toujours aucune colique. Soudain, pour la première fois de ma vie j'entends le petit gargouillis caractéristique annonçant que le bock est vide... je suis bien, je fais durer le plaisir... Pourtant rapidement une forte envie me rappelle que je dois aller rapidement aux toilettes si je ne veux pas connaître de catastrophe... je jette une couverture sur mes épaules et prestement je traverse la coure, sans lumière, pour ne pas attirer l'attention d'un éventuel passant : Dehors il gèle !
Cet essai serra souvent renouvelé durant les trois mois où je suis resté dans la place. Je prends soin simplement chaque fois d'essuyer le matériel, et de le ranger soigneusement à sa place. La seule chose qui pourrait me trahir, c'est que ce bock est beaucoup trop propre dans son environnement poussiéreux.
A suivre...