Bonsoir à tous,
J'en reviens à certains de mes souvenirs évoqués il y a déjà quelques temps.
Marie-Anne 2
Marie-Anne vit chez sa sœur aînée, Lucette qui a trois enfants, Françoise, Nicole, Jean-Marie. Avant de partir, je lui parle de sa sœur, de ce que j’ai constaté et de ce que je lui ai fait.
Elle approuve, trouvant très intéressant que Marie-Anne ait accepté de recevoir le thermomètre dans son derrière…
- dès demain, je prends rendez-vous chez notre docteur et je ramènerais du labo où je travaille un thermomètre hypothermique. Tu verra, il est deux fois plus long que l’autre et aussi plus gros ; je me ferais un plaisir de lui prendre moi-même sa température, comme quand elle était plus jeune. Si tu peux, viens demain soir, je préfère que tu sois là.
Cette soirée, je l’attendis avec impatience…
J’arrive donc vers dix-neuf heures ; «Anita» comme l’ont surnommé ses nièces, est dans sa chambre et lorsque j’arrive, sa sœur descend tenant à la main un long tube cylindrique en carton vert. Nous entrons dans la chambre ensemble :
- regarde Marie-Anne, le joli thermomètre que j’ai ramené du labo ; si tu le veux bien je me charge de prendre ta température pendant les prochain jours. Le docteur a demandé que ta température soit prise trois fois par jour pendant la semaine avant la visite.
Dans le même temps Lucette à sorti l’instrument de son étui : il est trois fois plus long qu’un thermomètre ordinaire et deux fois plus épais.
- mais c’est pas possible, je vais avoir mal avec ça, c’est beaucoup trop gros !
- rassure-toi ; pense que tu fait des crottes beaucoup plus grosses. De toute façon on ne peut pas faire autrement.
Marie-Anne se lève de son bureau, soulève sa jupe, enlève sa culotte et s’étend sur son lit, tournée sur le coté.
Lucette lubrifie soigneusement le thermomètre, puis la corolle anale de sa sœur. Dans un premier temps, elle ne fait pénétrer que le bout argenté qui mesure environ cinq centimètres et, au bout d’une minute environ, elle agite le tube de verre d’un lent va et vient, puis avec douceur elle pousse le thermomètre plus loin dans le conduit qui s’ouvre en palpitant tandis que Marie-Anne à gémit sourdement,
- oh non, arrête c’est gros, trop gros, noon pas si loin aieee stop !
La moitié du thermomètre à disparu dans le derrière de mon amie ;
- je t’ai fait mal petite sœur ?
- Non mais la grosseur et la longueur m’ont surprise.
- Ca faisait longtemps que je ne m’était pas occupée de toi.
- oui, la dernière foi j’avais douze ans et depuis le thermomètre n’était plus entré dans mon derrière.
- c’est vrai que maman n’était pas très regardante ; moi, tant que les enfants seront à la maison, ça sera comme ça.
- bon tu en a la moitié, ça suffit pour cette fois ; ce genre de thermomètre doit être conservé un quart d’heure au moins.
Je me suis assis au bord du lit et j’ai posé ma main sur les jolis globes fessiers que je patine doucement.
Lucette à lâché le thermomètre qui est repoussé lentement ; lorsque il ressort trop, elle le renfonce arrachant chaque fois un gémissement à sa sœur.
La porte s’ouvre soudainement et Françoise et Nicole surgissent en riant, puis s’immobilisent :
- oh pardon, on te laisse tranquille !
- mais non, vous pouvez rester.
Marie-Anne adore ses deux nièces ; il faut reconnaître qu’elle sont gentilles comme tout :
Nicole a un peu plus de douze ans et Françoise va sur ses quinze ans. Elle s’approchent du lit et c’est Françoise qui, au bout d’un moment, s’étonne :
- c’est quoi ce thermomètre, je ne l’ai jamais vu ?
- Bien sur, je l’ai amené ce soir, c’est un thermomètre hypothermique, il indique des températures de trente-deux à quarante-quatre degré, il est donc plus long et plus gros que l’ordinaire.
Françoise s’est penchée vers l’instrument et observe que le tube de verre est introduit jusqu'au trente-neuf,
- mais maman, il est beaucoup trop enfoncé ! ça te fait pas mal Anita ?
- Bien non ; au début j’avais peur, puis l’enfoncement m’a fait bizarre, un peu désagréable quand ça arrive au fond, mais maintenant ça va. Même que quand il ressort, Lulu le renfonce, ça me fait frissonner. Finalement, ça fait comme la température normale.
- Au fait, vous tombez bien les filles ! Le docteur de Anita m’a demandé de faire un graphique de sa température et d’en faire un autre pour comparer ; alors ce sera l’une des deux, laquelle ?
- Mais maman …
C’est Nicole qui semble ne pas apprécier et Françoise ne réponds pas, mais ne parait pas contrariée…
Bien puisque vous n’avez rien à dire, ce sera toutes les deux ! Françoise monte chercher le thermomètre de la salle de bain, il y en a un autre ici.
Avant que Françoise ne redescende, Lucette a basculé Nicole sur ses genoux, relevé sa robe, descendu sa culotte, sorti le thermomètre de la table de nuit de sa sœur qu’elle a mouillé de salive, puis enfoncé doucement dans le derrière potelé de sa fille,
- aiee maman, tu le rentre trop loin !
Je jette un coup d’œil, le tube de verre à disparu au trois quart…
- tais-toi ! Ca fait longtemps que je te l’enfonce aussi profondément ; ça n’a jamais semblé te déplaire ? C’est peut-être parce qu’on te regarde…
En effet je dévore de tout mes yeux ! non seulement la mappemonde et son petit trou rose transpercé par le thermomètre, mais l’abricot encore chauve très proéminant, délicieusement fendu et entr’ouvert, sur lequel je distingue une brillance humide…
Françoise revient dans la chambre, Marie-Anne lui propose,
- je crois que ça ne te déplairai pas que Gérard te prennes ta température ?
Je détourne mon regard du derrière de Nicole, pour voir la réaction de Françoise ; elle a rougis un peu, puis a mi-voix, après un coup d’œil ver sa mère,
- pourquoi pas, après tout, puisque Anita le propose elle même…
Nicole s’approche de moi ; elle porte une sage jupe bleue de lycéenne, sous la quelle je passe mes deux mains, accrochant une culotte blanche de petite fille, que je descends jusqu’aux genoux. Elle me tend le thermomètre, puis s’allonge en travers de mes cuisses, posant sa tête sur le lit.
Je remonte la jupe au dessus des fesses tournées vers sa tante. Je trouve ce derrière d’adolescente superbe.
Regardant le thermomètre, je le secoue longuement avant de l’enduire de salive. J’écarte les jolis globes, débusquant un œillet rose foncé, sur lequel je glisse à plusieurs reprise le tube de verre pour le mouiller, puis stoppant le bout argenté sur l’orifice qui se détend docilement, je pousse doucement le thermomètre dans l’étui rectal en un doux va et vient jusqu’à ce qu’il me reste juste un bout de verre pour le tenir. Je n’ai aucun doute sur la satisfaction de ma patiente…
- mmmh tu l’a enfoncé loin…
Discrètement, j’incite les jolies cuisses à se séparer pour juger de l’effet du traitement. Françoise possède un coquillage longiligne encore dépourvu de poils, entrouvert, laissant passer un bouton minuscule. En haut de la fissure, une toison très légère décore le pubis ? Les lèvres son couvertes de rosée… Délicatement je glisse un doigt entre les babines pour sonder l’étui féminin et très vite, je suis stoppé par la capsule de garantie de la jeune fille, qui ne s’est pas opposé à mes caresses, loin de là… Marie-Anne met fin à mon exploration par un regard mi-amusé…
Tout en tenant le thermomètre dans les fesses de sa fille, au bout de dix minutes, Lucette retire le gros tube du derrière de sa sœur, puis un peu plus tard, celui de sa fille et enfin c’est mon amie qui débarrasse sa nièce du thermomètre.
Ce soir là, je suis resté avec Marie-anne… Elle m’a avoué qu’elle comptait bien prendre leur température à ses nièces…
- Surtout à Françoise… Elle m’a paru tellement aimer…