C'était il y a bien longtemps, j'avais quatorze ans et j'étais en vacances chez un oncle parce que mes parents étaient partis un mois à l'étranger pour le travail de mon père.
A peine mes parents partis, je déclare une rougeole carabinée avec de très grosses poussées de fièvre et le médecin me prescrit (j'ai su depuis que c'était pour lutter contre la déshydratation) un médicament qui se présentait sous la forme d'une petite poire en plastique prolongée par une canule rectale (j'ai oublié le nom de ce remède).
Comme j'étais vraiment mal, limite inconscient, c'est ma tante trois fois par jour qui m'administre le produit. Je lui tourne le dos et elle procède en soulevant le drap sur le coté. Je dois avouer que les deux premiers jours, je me sens très géné de m'exposer ainsi, en plus j'ai mal quand la canule force mon anus et je ne ressens que de l'appréhension et aucun plaisir à cette situation.
Le matin du troisième jour, je vais beaucoup mieux et je lui dis ce que je ressens. Elle me dit de me détendre et qu'elle a une solution. Elle file à la salle de bains et reviens avec une petite fiole, je crois que c'était de l'huile d'amande douce. Elle trempe son doigt dedans et me demande de me retourner à plat ventre et de ne penser à rien. Je sens son doigt qui me frotte très brièvement l'anus puis je sens la canule me pénétrer en douceur, le froid du produit dans mon ventre, tout se passe bien à un petit détail prés : j'ai une érection terrible et dans ma tête les pensées les plus folles se bousculent. A midi, rebelote, et ma tante ne se rend compte de rien. Le soir, au moment où elle me masse, je ne peux réprimer un gémissement de plaisir et c'est là que tout bascule.
Ma tante arrête son mouvement mais laisse sa main entre mes fesses. Nos regards se croisent, je n'oublierais jamais ce que j'ai pu lire dans ses yeux ce soir là.
Elle me dit "tu sais, tout cela doit rester un secret entre toi et moi!"
D'un signe de la tête, je lui dis oui. Je tremble de désir. De son autre main elle me caresse le visage puis me cache les yeux. Je sens son doigt appuyer plus fort sur mon anus qui ne tarde pas à s'ouvrir à cette caresse et elle me caresse ainsi quelques instants avec son doigt avant de m'administrer enfin le contenu de la canule. Celle ci vidée dans mon ventre, elle glisse la main sous mon ventre et prends mon sexe, j'éjacule sans qu'elle ai eu le temps de me caresser.
Je ne m'étalerais pas sur la suite des évènements, ils ont duré plus de cinq ans et ont fait de moi un jeune homme comblé.
Je pense qu'aujourd'hui encore, quand il m'arrive de chercher le plaisir dans les lavements ou l'introduction anale, la chose qui m'excite réellement, c'est de me rappeler le regard de ma tante et son trouble ce soir là ainsi que mes émotions d'alors.