Pour complèter mon récit de la vision inoppinée d'un lavement en préparation, il faut savoir que ce n'est que des années plus tard que cette vision m'est revenue à l'esprit et à animé mon érotisme naissant.
Quand je m'imaginais, en m'endormant, caliné par une femme, il y
avait très fréquemment une scène avec lavement donné par une femme; ce n'était pas douloureux, juste un geste très intime, induisant un plaisir inconscient.
Mais quand j'ai commencé à me masturber régulièrement, le soir le plus souvent, la scène que j'ai décrite du lavement dans la cuisine est revenue animer mes plaisirs masturbatoires !...je m'imaginais au même endroit, un peu plus âgé, venant pour le même motif d'une revue à remettre, et découvrant la vision du pot et de la poire à lavement posée sur le carrelage, par terre...
J'imaginais que la femme avait installé les instruments destinés à une séance de lavement avant d'appeler son fils pour qu'il vienne dans la cuisine; j'arrivais à ce moment-là, et cette femme imposante pour moi, grande, forte, brune, remarquait le trouble inquiet que cette vision provoquait chez moi...Elle me disait alors qu'elle savait que je devais passer, sans savoir à quel moment de la matinée, et qu'elle faisait simplement ce qu'une mère a à faire, affectant alors de plaisanter pour me rassurer...
C'est à ce moment-là du récit que je me faisais, que le plaisir de mes caresses se renforçait nettement...
" Tu n'as pas besoin de lavement, toi !" me disait-elle, enjouée, pour me rassurer. Mais je devenais tout rouge de gêne; elle le remarquait et ajoutait : " De toute façon, un lavement, ce n'est rien du tout...et ça fait du bien !"...je savais bien qu'il n'en était rien, et qu'un lavement, c'était gênant de le recevoir, que ça faisait mal, mais qu'en même temps, j'aimerais beaucoup qu'une femme comme elle m'en donne un...
Elle me demandait alors si j'étais allé aux toilettes aujourd'hui; je remuais doucement la tête pour dire non...hier alors ?...je remuais toujours la tête pour dire non...elle me disait alors que je ne devais pas rester comme ça et que puisque j'étais là, puisque je voyais que tout était prêt pour un lavement, elle allait m'en donner un!... je n'osais pas protester, et sur son ordre, je quittais mes chaussures, mon short - c'était l'été - mon slip pendant qu'elle saisissait la poire à lavement posée sur le carrelage de la cuisine et allait au-dessus de l'évier pour la remplir d'eau à bonne température; elle posait la poire à côté d'elle sur la table, s'asseyait, et me disait de venir près d'elle ...elle me faisait alors passer entre ses genoux qu'elle écartait après avoir remonté sa large jupe à mi-cuisses, me serrait fortement entre ses cuisses pour que je ne m'échappe pas, et me disait : " Je dois voir quelquechose..."... elle passait alors son doigt dans un pot que je savais être de la vaseline; je m'imaginais, en me masturbant, nu avec juste un maillot, pris entre les cuisse chaudes de cette femme qui avait remonté sa jupe large à mi-cuisses pour mieux me tenir...elle me faisait alors une chose que ma mère ne me faisait pas: elle me mettait son doigt enduit de vaseline entre les fesses, bien vite rentrait doucement son doigt dans mon petit trou, et me disait après quelques secondes de cet examen : " Ooh : tu as vraiment besoin d'un lavement, toi !...je vais te donner une poire complète, ça devrait suffire pour te faire du bien !".
Et pendant que cette femme plantureuse et autoritaire devant laquelle je n'osais pas protester me faisait et me disait cela, en sentant son doigt tout chaud glisser dans mon petit trou, je sentais bien, avec honte, qu'au-dessus de sa cuisse toute chaude aussi, mon zizi grandissait, devenait tout dur et tout tendu; elle le remarquait...saisissait ma petite verge, me décalottait crûment pour mieux voir, puis palpait d'une main la longueur de ma dureté, tandis que je sentais le doigt de son autre main remuer doucement, enfoncé dans mon derrière...elle me disait, après quelques instant de ce sort: " Mais tu es un petit vicieux toi !"; elle me libèrait de ses mains, de ses cuisses... et à ce moment-là, tandis que je continuais mes masturbations fréquentes avec une volupté accomplie, j'imaginais que cette femme me disait alors : " Tu vas voir ce que je leur fais aux petits vicieux comme toi ! va contre la table, et pose les épaules dessus, que je te donne un lavement!...c'est deux poires que je vais te donner, oui! petit vicieux! "...
Quand je me masturbais, j'imaginais souvent cette scène, avec cette femme, dans cette cuisine, avec la chaleur de l'été. L'idée de cette situation me procurait beaucoup de plaisir...que je prolongeais bien sûr par le lavement que je recevais, et toutes ses conséquences plus intimes et excitantes les unes que les autres...