Cela se passait dans les années 70'
J'avais été voir un film porno dans un cinéma rue du Dragon à Paris. J'étais jeune cadre dans une multinationale, beaucoup de travail, mais aussi une certaine libertée pour décompresser un peu... C'était la belle époque....
Pendant le film un monsieur qui avait 60 ans environ est venu s'assoir près de moi. Ce film comportait une scène ou il était administré un lavement à un autre homme attaché sur un fauteuil de gynéco....
Cette scène était trés exitante et me faisait bander comme un cerf ! Le monsieur qui était près de moi était dans le même état d'exitation. Il me dit " je vois que tu es aussi exité que moi par les lavements, tu viens en faire un chez moi ?"
Nous avons attendus la fin de la scène, et sommes partis.
Il habitait St-Germain des Prés, à deux pas du cinéma. Arrivé chez lui il m'a fait voir sa collection de matériel pour les lavements qui était impréssionnante !
Il avait une collection de bocks extraordinaire, de canules variées, de tubes cloniques, etc... Un vrai clystérophile, un vrai !
Il était musicien compositeur, et dans sa pièce dédiée à la musique entre le piano et l'orgue une serie de crochets au mur étaient disposés pour suspendre le bock.
Il m'avait expliqué qu'il s'administrait des lavements pendant qu'il composait, et que cela lui apportait certaines satisfactions que l'on retrouvait dans ses oeuvres, qui sont trés connues à ce jour.
Il était exité comme un fou... il m'a administré un lavement de 3 litres que j'ai pris avec une facilité deconcertante, me faisant jouir à deux reprises.
Je lui ai administré son lavement aussi, il avait un bock de 4 litres fait par un verrier sur mesure, ainsi qu'une canule en pyrex faite aussi par le même verrier. Cette canule était étudiée parfaitement. Il l'avait dessiné lui-même, elle était trés épaisse, avec trois renflements, dont le dernier devait faire 50mm de diamètre. Atant dire que lorsqu'elle était en place, elle assurait l'étanchéité, et un certain confort. Il a pris son lavement, trés exité, et a joui aussi fort que moi.
Nous nous sommes revus plusieurs fois, avant que je parte pour plusieurs années à New-York.
DORSAY