Premières érections et lavement
C'est à l'âge de 12 ans environ que je découvris que, lorsque j'étais dans mon lit, bien au chaud, je sentais comme une sorte de fourmillement au niveau des testicules.
Je me mis à les caresser, afin de les soulager, mais sans effet notable, pour le moment. Cela me permettait tout juste de m’endormir relativement apaisé
Il se trouvait que j'avais des petites copines de jeu, qui habitaient non loin de chez moi et avec lesquelles j’avais bien du plaisir à jouer, courir et rigoler. Un jour, elles m'invitèrent à un anniversaire et à savourer un délicieux goûter, que nous prîmes ensemble sur la terrasse de leur jolie maison de campagne.
Dans l'après-midi, leurs parents nous dirent qu’ils allaient s’absenter et reviendraient avant la nuit. Cela nous donna un curieux sentiment de liberté qui nous permettait de laisser libre cours à notre imagination …
Les filles proposèrent d’aller jouer dans leur cabanon de jardin, qui était équipé d’une cuisinette, d’une table, d'un lit et d’un WC –lavabo.
La chaleur de l'été faisait que nous étions habillés légèrement, en short et T shirts.
A court d'idées de jeux, la fille la plus âgée, Sonia, qui devait avoir prochainement ses 13 ans, nous proposa de jouer « au docteur ».
Cela me surprit et je me demandais comment on allait procéder. Voyant mon étonnement, elle expliqua qu’elles faisaient cela souvent et que c’était très amusant.
Adèle, la plus jeune, âgée de 12 ans, voulait jouer le rôle du médecin et je serais l’infirmière… Bon, les rôles étaient attribués. Adèle demanda à sa sœur de se coucher sur le lit, de s’allonger sur le dos et d’ôter son petit pull. Elle lui prodigua un massage au niveau du cou, des épaules et caressa très doucement ses seins. Elle se mit à suçer ses tétons, et j’entendis Sonia respirer plus vite . Adèle lui caressa le ventre et posa son oreille dessus, au niveau du nombril. Elle dit alors qu’elle entendait de drôles de bruits et qu’il était nécessaire de faire quelque chose…
Elle me demanda de continuer à lui masser le ventre, pendant qu’elle allait chercher ce qu’il fallait au WC. Je me sentais tout drôle, de me retrouver seul avec cette jeune fille et de lui faire un massage au ventre.
Adèle revint en portant une cuvette remplie d’eau chaude, qu’elle posa sur la table. Sur l’eau flottait un objet que je n'avais encore jamais vu : une énorme poire rouge en caoutchouc, munie d'un embout souple, comme on en faisait encore en ce temps là.
Ensuite, elle demanda à sa sœur de baisser son pantalon, et de se coucher sur le dos. Elle me demanda de lui baisser le joli slip rose qui lui allait si bien et je vis ses fesses bien dodues devant moi, ce qui provoqua chez moi une étrange excitation. Adèle lui demanda d’écarter les jambes et lui caressa les cuisses et les fesses. Je me souviens d’avoir observé cela avec une certaine émotion.
Enfin, la jeune sœur saisit la poire rouge, la pressa pour la vider de son air et aspira l’eau chaude de la cuvette. Elle enduisit soigneusement de sa salive l’anus de Sonia, qui était brun-rose et bordé d’un fin duvet de poils châtains. Comme son sexe d’ailleurs, que j’aperçus discrètement. Alors, la jeune doctoresse me demanda d’écarter un peu les fesses de Sonia et elle introduisit lentement la canule de la poire. Elle fit quelques mouvements de va et viens, pour enfin presser l’engin, ce qui provoqua de drôles de gargouillis.
Elle répéta l’opération une nouvelle fois, suite à quoi Sonia demanda d’arrêter, car elle devait aller aux WC pour se soulager.
Ensuite, ce fut mon tour de jouer le patient ! J'étais très hésitant à me mettre à nu, car je sentais que mon sexe fourmillait et s'était gonflé, à la vue de ce spectacle insolite !
Les filles insistèrent et m’assurèrent que j’aurais du plaisir. Elles me baissèrent le pantalon et le slip, me demandèrent de me coucher d’abord sur le dos.
A la vue de mon sexe qui se dressait, Sonia me caressa le ventre, les cuisses et effleura délicatement mon pénis, en le massant doucement. Je n'avais pas l'habitude de cela et éprouvais une certaine gêne, bien sûr. Je sentis que mes joues rougissaient et que mon cœur se mettait à battre plus vite.
Sonia me demanda ensuite de replier les jambes en chien de fusil et me rassura en me promettant de faire doucement.
Elle enduisit soigneusement mon anus de sa salive, avec son doigt, ce que je trouvai plutôt excitant.
Elle remplit à nouveau la grosse poire rouge et introduisit lentement la canule dans mon anus.
Cela me sembla assez agréable, de même que les mouvements de va-et-vient . Lorsqu'elle se mit à presser la poire, je sentis le liquide chaud pénétrer en moi et mon excitation augmenta encore.
Sonia me demanda si cela me plaisait et je ne savais que répondre, car j'étais confus. Voyant mon sexe en érection, les filles trémoussaient de joie et de surprise.
Ce fut le tour de la plus jeune de me remettre une poire pleine et, lorsqu'elle la pressa, je sentis comme une énorme contraction au ventre et mon sexe, qui avait atteint une taille plutôt impressionnante, se mit à se contracter en rythme, plusieurs fois de suite, tout en projetant un liquide blanchâtre et visqueux, que j’aperçus pour la première fois de ma vie.
Ce fut ma première éjaculation...
Les filles me caressèrent et m’embrassèrent, pour me remercier du beau spectacle que je leur avais offert .
Depuis ce jour, nous nous rencontrâmes souvent, afin de poursuivre nos investigations et découvertes sexuelles.
Je vous les raconterai prochainement, car il y a une suite !
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