Qui s'est masturbé après un examen médical, dans le vestiaire? Etes-vous fait surprendre?

Quand j'ai subi un examen excitant (me retrouver en caleçon devant de jeunes femmes du corps médical, voir l'avoir baissé pour la dermatologue qui manipule totalement mon sexe), je prends des notes sur le trajet du retour pour m'en souvenir (et parfois poster une description complète sur le forum) et maintenir l'excitation, mais c'est à la maison que la masturbation commence.

Depuis que je suis intervenu dans ce topic en 2014, j'ai eu ma visite dermatologique où je me suis retrouvé nu pour la première fois devant la dermato qui m'a provoqué quelques séances de masturbation une fois rentré chez moi.

Prochain contrôle dermato en avril, toujours avec une femme mais une autre. Peut être une future occasion de trouver un support de masturbation.

Je me suis masturbé à l'hôpital dans la douche après avoir été rasé du nombril au dessus du genou pour une coronarographie, j'en ai profité pour parfaire les testicules . C'était d'autant plus éprouvant qu'une jeune aide soignante me rasait pendants qu'une expérimenté observait .

Idem après un touché rectal ou une échographie Ando-rectal , même si le passage de la sonde n'est pas très agréable et plutôt douloureux ..

Mon ex m'avait raconté que lorsqu'elle a été opérée de sa hernie discale , elle n'a pas eu le droit de se lever pendant 48 heures et que le lendemain de l'opération , un aide soignant (de couleur) lui a fait une toilette complète y compris de son sexe avec un gant de toilette et quand il a eu fini et parti , elle s'est masturbé et en a été troublé un moment

Mon cas illustre l’inverse de la question :

qui s’est masturbé AVANT une visite médicale.

J’allais une à deux fois par an consulter une charmante dermato, maintenant à la retraite.

Coquette, sa tenue habituelle laissait voir le haut de beaux seins, elle portait jupe ou robe.

Quand je m’allongeais sur la table d’examen, j’étais nu, sans même mes chaussettes.

Elle examinait avec attention et rigueur, excellente professionnelle qu’elle était. Allongé sur le ventre, elle m’ouvrait doucement les fesses pour une attentive observation de cette région intime, anus y compris…

Me replaçant sur le dos, elle prévenait toujours qu’elle allait être obligée de me décalotter pour examiner mon gland.

J’étais alors entièrement décalotté, prépuce retourné pour l’examen de celui-ci; puis elle examinait mon gland nu, sur toutes les faces…

À chaque visite, elle adoptais toujours cette façon de faire.

Cette visite a été l’objet de certaines de mes masturbations, où j’imaginais que, pour ma plus grande gêne une érection impudique me venait soudain pendant le décalottage, et se maintenait pendant la manipulation de mon gland entre ses petits doigts aux gestes aussi précis qu’intimes.

J’imaginais alors l’entendre me dire : «c’est pas grave, ça arrive; bon, comme ça, après tout, je verrai mieux pour l’examen, ça rend plus visibles des taches suspectes »

Le problème est que je mouille vite et abondamment.

J’imaginais alors, pendant ma masturbation, qu’à la manipulation de mon gland une grosse goutte de précum vienne sur ses doigts, pour ma plus grande honte, me faisant bafouiller des excuses…et qu’elle me demande alors : «il y a longtemps que vous avez eu une éjaculation ? je suis médecin vous savez», et qu’à avoir répondre à cette question un faible «oui ! » provoque, justement, un début d’éjaculation me faisant supplier un «oh ! S’il vous plaît…j’ai besoin…j’ai besoin : il faut que je me vide ! s’il vous plaît !».

Je rêvais alors tout en me masturbant doucement pour me retenir plus longtemps, que, compréhensive et attentionnée elle se mettait à me masturber doucement et gentiment tout en me disant «c’est pas grave, ça arrive, je sais ce que c’est : videz-vous, vous serez mieux après, ça restera entre nous, mais ne refaites pas ça la prochaine fois » pendant que je cherchais à jouir bien fort sous ses yeux, en gémissant à chaque expulsion qu’elle obtenait, pour lui montrer tout ce que j’avais à faire sortir de moi avec la branlette de sa petite main.

À un moment, dans mon fantasme, elle disait : «ça y est ? vous êtes calmé ? Bon, comme ça, je vais pouvoir terminer votre examen », avant de me tendre du sopalin en disant «nettoyez-vous, vous en avez mis partout…vous en aviez besoin dites-moi ! en tout cas, pour ça, vous êtes en bonne santé ! »

Dans d’autres scénario, en me masturbant j’imaginais qu’après m’avoir écarté les fesses alors que j’étais sur le ventre sur la table d’examen, en me retournant pour me remette sur le dos, toujours entièrement nu évidement, pour ma plus grande honte aussi, une forte érection me venait insidieusement et soudainement, trahissant en le montrant à cette femme, que j’éprouvais le plaisir anal, après ce qu’elle venait juste de faire sur moi…

J’imaginais, juste après m’être remis sur le dos, qu’elle voyait une érection très forte se faire sur moi, me décalottant en faisant sortir mon gland en même temps que cette contraction intime qui me décalottait avec obscénité faisait sortir de moi et une grosse goutte de précum luisant. J’imaginais en me caressant, qu’en sentant couler sur mon gland ce precum de honte je me mordais une lèvre.

C’est pourquoi, dès le troisième rendez-vous avec cette mignonne dermatologue, dans les deux heures précédentes, je me faisais éjaculer pour être sûr de ne pas avoir de désir pendant la visite médicale proche.

Je prenais soin de bien me vider pour me retrouver sans sperme dans le ventre en présence de cette femme, tout en faisant attention de ne pas trop insister avec mes doigts pour ne pas laisser sur moi de rougeurs suspectes qu’elle aurait infailliblement détectées comme preuves qu’elle était en train d’examiner un homme très masturbateur, ce qui m’aurait gêné.

Même si c’était la vérité !