Bonjour à tous,
Je prends la liberté de transférer cette courte histoire dans cette section.
C'était pendant mes premières années universitaires que j'eus l'expérience d'administrer un lavement à une jeune domestique indisposée par ses règles.
Bref, Monique, qui travaillait au service de mes parents depuis plusieurs années, se sentait souvent mal au point avant ses règles de façon que ça ne me passait pas inaperçu. Ce jour critique je me trouvais donc seul avec elle dans notre grande demeure et, après l'avoir interpellé, elle m'avoua qu'elle fut constipée depuis plusieurs jours. Je réussis à l'apprivoiser en lui convainquant de me laisser lui faire un bon lavement curatif. Évidemment, elle fut craintive de me laisser lui tripoter ses parties intimes mais après un certain gain de confiance, elle fut tellement reconnaissante et soulagée de connaître cette cure magique.
Tous d'abords, laissez-moi vous dire comment ce fut tout un spectacle.
Enfin, gagner la confiance de cette domestique dans notre grande demeure fut tout un défit en lui-même car, pour surmonter sa méfiance, je du faire appel à connaître toutes les nuances que causait son malaise.
En effet, c'était bien la veille de ses règles et elle se sentait pas mal gonflée et indisposée par divers crampes.
Heureusement je lui avais déjà donné des massages auparavant et, à ce point, étendue à plat ventre sur la table de massage, elle me laissait lui soulager de cette façon, bien entendu, toujours en petite tenue.
Mais cette fois-ci, ses mamelons semblaient être particulièrement enflés et sensibles et ce pris peu pour la faire tourner sur les dos et, en retirant son soutiens-gorge, j'ai bien pu lui masser ses bobos là.
Se sentant un peu emportée par le soulagement ressenti par cette stimulation de tendresse, elle me permet de lui faire des frottis sur son bas-ventre et, en glissant mes doigts sous son slip, de lui tâter de part et d'autre du pubis. Enfin, par la dureté de ce dernier, je voyais bien qu'elle était déjà victime de la constipation assez avancée merci.
Je continuais à lui masser entre les cuisses et, en remarquant que son slip mouillait davantage, je sus que j'avais bien atteint le gain de sa confiance pour réussir à abaisser ce dernier et de bien lui frotter sa petite touffe au sommet de son mont de Venus
Elle s'écarta les cuisses et en remontant son capuchon, je vis bien que son clitoris fut maintenant debout, dur et érectile, un peu comme un soldat faisant la garde d'un objet sacré.
Je voyais bien que sa chatte fut maintenant toute trempe et juteuse et donc, sans aucune hésitation, je lui fais un de ces cunnulingus inoubliable,
Donc, après cet orgasme sans pareille, je sortis de la chambre pour préparer son grand lavement évacuateur et, quand je revins dans la pièce, elle était déjà étendue de son côté gauche sur la table de massage avec son genou droit bien remonté, m'exposant ainsi sa fente intime de l'autre côté.
Elle fut étonnée de voir, pour la première fois l'ampleur du sac à lavement que j'utiliserais et cela lui fit gigoter d'incertitude.
Alors qu'elle gisait là complètement nue, elle m'a observé lubrifier mon doigt et, après un massage complet de son anus, j'insérai doucement et profondément mon doigt dans son intérieur et massai soigneusement son ampoule rectale. Plusieurs fois je retirais mon doigt, appliqua plus de lubrifiant, pour le réinsérer ensuite et continuer le massage. Après quelque temps, elle devint très excitée sa vulve devenant bien humide encore une fois. Quand je lui demandais si le massage lui semblait bon, elle ne pouvait que répondre que par l'affirmatif et qu'elle se sentait plus à l'aise de recevoir la solution prescrite.
Je lui insérai alors une canule à lavement de grande taille. Celui-ci entra très facilement parce que le massage anal avait été si complet. Donc, quand j'ai ouvert le crampon de rétention, elle trouvait merveilleux cette première sensation de l'eau chaude la remplir graduellement et l’appréciait vraiment avec plaisir.
En effet, son plaisir augmenta davantage quand je me suis remis à frotter ses seins et à taquiner ses mamelons ainsi que son clitoris raide et elle pu vraiment gémir doucement une deuxième fois.
Enfin quand le lavement - très grand – fut terminé, je lui ai aidé à la toilette et, après qu'elle ait tout expulsé le lavement, elle m'a bien permis de lui lavée et nettoyée son intimité.
Hélas, je devais quitter le domaine et, en autant je ne pas pu continuer ces traitements à chaque mois, j'ai appris par la suite que son chum était bien obligeant à prendre la relève.