Vues: 480 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 3 - Retrouvailles

Trois semaines en mer, c'est long, même si tu es occupé, et encore plus quand tu vois la côte au loin, tu sais que tu n'ira pas au port avant un bout, pas de courrier, pas de téléphone, entouré uniquement par des mecs, le soir dans la bannette, tu as besoin de tous tes fantasmes et images mentales de souvenirs érotiques pour t'astiquer le poireau, tu te dis aussi, "qu'est-ce que je vais lui mettre en rentrant pour la prochaine perme…", mais là, ressurgie la culpabilité, le sentiment de mal être et les auto-reproches que je me fais par rapport à ce qu'i c'est passé avec Soizig, je doute qu'elle veuille me revoir, j'en débande d'angoisse et ne peux me finir, le tangage du bateau me berce, je finis par m'endormir…

Nous sommes revenus au port un mercredi, le bosco est venu me voir pour me faire signer de ma perme du w.e qui arrivait, il m'a tendu une lettre, l'a humé avant de me la donner, " - Haaa… Une femme…" a-t-il dit rêveur, faut dire que lui aussi attendait impatiemment de revoir la sienne, comme il aimait à plaisanter sur le sujet, on savaient tous qu'il avait "dormit sur la béquille" pendant les trois semaines de mission et que "Maman allait ramasser gros temps", je regardais l'adresse de l'expéditeur, c'était Soizig, j'en eu un coup au cœur, une décharge électrique puissante et chaude qui me fit trembler des mains, de suite je pensais à une lettre de rupture, le bosco m'observait, comme j'hésitais à ouvrir la missive, " - Ben vas-y…! Banane… Qu'est-ce que t'attends…?" je déchirais nerveusement un coin de l'enveloppe pour l'ouvrir, en prenant la lettre à l'intérieur, je sentais sous mes doigts autre chose que du papier, c'était des fleurs séchées, le bosco dit alors: " - Elle doit drôlement t'aimer celle la… Garde-la précieusement…" et il repartit à son travail…

Ce ne pouvait pas être une lettre de rupture, pas avec des fleurs séchées, c'était une lettre d'amour, aux mots déchirants de douceur, ciselés par le romantisme d'une jeune femme aimante, je n'en croyais pas mes yeux, nulle trace d'un reproche même déguisé, ce n'était qu'envolées poétiques emplies de désir et de sensualité, j'en étais abasourdis, bouleversé, je relisais plusieurs fois sa lettre, soit je ne comprenais rien aux femmes, ce qui était le plus probable, soit Soizig vivait notre relation totalement ouverte (si je peux me permettre), à toutes ses envies et ses fantasmes… Quoi qu'il en soit, elle attendait mon retour et me faisait bien comprendre qu'elle acceptait tout de moi, je ne l'avais pas remarqué à la première lecture, sous sa signature, il y avait une tache en forme d'emprunte de doigt, je portais la lettre à mes narines, c'était le parfum de sa vulve qu'elle avait appliquée, sans doute après une masturbation qui m'était dédiée…

Les derniers jours furent longs à vivre, on est moins fatigué à terre, à part le lendemain d'une piste avec les gars du bord, le vendredi, j'eu le droit à un dégagé avant l'heure, cadeau, pour prendre mon train, à la coupée, ils étaient quelques un, goguenards, à me siffler des encouragements aux allusions sexuellement équivoques pour mon w.e avec ma "Miss", dans le wagon, ça fantasmait dur entre matafs, les balôches étaient pleines et ils allaient en mettre partout, sans parler de la soif, qui n'était pas que celle de vivre, en arrivant, personne sur le quai à m'attendre, normal, j'étais arrivé plus tôt que prévu, je montais chez mes parents dire bonjour et poser mon sac, un passage chez mes potes de voisins, Malo et Perrig, pour dire que j'étais là, et hop, direction le centre ville, à la recherche de Soize, à l'époque, on évitait de téléphoner chez les parents des copines pour éviter les embrouilles et les questions embarrassantes, comme le portable n'avait pas encore été inventé, il restait le jeu de piste pour trouver celle que l'on cherchait, je passais devant le commerce de ses parents, mais sur le trottoir d'en face, au cas où elle soit en train de bosser avec eux, puis j'allais l'attendre à la sortie de son lycée pro…

La tête qu'elle a faite en me voyant, elle a d'abord plissée les yeux pour être certaine que c'était bien moi, puis est devenue toute rouge de visage, faut dire qu'il y avait des copines avec elle et que ça allait faire des ragots, elle leur a bredouillée quelques mots puis est venue vers moi, me demandant étonnée, ce que je faisais là, elle m'a fait une bise rapide sur les lèvres en me disant à voix basse: " - Pas ici…", elle a saluée ses amies de la main et on est partis rapidement, prenants des ruelles au hasard pour échapper aux présentations, nous sommes rentrés dans un troquet où nous n'allions jamais, histoire d'être tranquilles pour nos retrouvailles et les choses que l'on avait à se dire, elle me regardait, interrogative et heureuse à la fois, je lui ai expliqué mon dégagé avancé, il y a eu un silence entre nous le temps de commander deux cafés, puis je lui ai demandé, très gêné, de me pardonner pour ce que je lui avais fais dans les wc de la gare, elle a répondue: " - Je t'ai haïs…! Salaud…! Tu m'as blessé…! Et pas que là où tu pense…!", je rebredouillais encore des excuses, elle m'a pris la main, m'a dit que c'était aussi de sa faute, la faute de son empressement à vouloir de suite me faire plaisir… on devait oublier ça… ce serai mieux la prochaine fois… ça m'a fait chaud au cœur, nous quittons le bistro…

L'été était là, avec ses journée longues et chaudes, de ces journées que l'on voudrai qu'elles ne finissent pas, nous sommes partis vers la "Montagne", la Montagne est une colline très haute et boisée, située en plein centre ville, au bord de la rivière, lieu de promenade pour petits et grands, touristes et couples d'amoureux, à son sommet la vue est magnifique, les ombrages et l'herbe qui la couvre en font un endroit de détente, voir de siestes, et le soir, bien d'autres choses, tout en nous racontent nos vies du mois passé, nos pas nous guident vers elle et arrivés presque en haut, nous nous affalons dans l'herbe, gros patins, caresses discrètes, les derniers promeneurs s'éloignent et bientôt nous voilà seuls pour nous laisser aller plus loin dans nos attouchements, Soizig se laisse faire, ma bouche suce ses tétons durcis au travers de son teeshirt et ma main sous sa jupe vient de découvrir une culotte déjà humide et elle masse la turgessance de ma braguette mais hésite encore à me sortir la verge de sa prison, alors que mes doigts passent sous l'échancrure de sa culotte, caressants son pubis et sa vulve mouillée, elle s'ouvre à mes attouchements, Soizig soupire et miaule à mon oreille, je la masturbe délicatement…

Elle me susurre qu'elle à envie, je lui dis que moi aussi, elle a peur que l'on nous voit, elle n'ose pas sortir ma verge mais elle veut me sucer, moi j'ai envie de ma bouche sur son sexe, de son parfum, de son mouillement, il y a une petite cabane de pierre non loin, une vieille construction de surveillance, laissée par les Allemands après leur départ précipité, je prend Soize par la main et l'y emmène, à l'intérieur, un banc de bois fixé dans les murs, c'est tout, mais la pièce est suffisamment profonde pour cacher nos ébats, la voilà plus rassurée, cachée, elle se laisse enlever la culotte que je porte à mes narines, humm… les effluves du désir sont là, épicées, sucrées, je la fais s'assoir, m'agenouille entre ses jambes que j'écarte et remonte, je me régale de la vue de sa motte brune, fendue par le sillon luisant de sa vulve aux nymphes fermes et rosâtres, je la lui mange, en long, en large et en travers, elle me dégouline dans la bouche, je bois son jus intime, je ne descend pas entre ses fesses, quand elle m'y invitera seulement, elle me repousse au bout de quelques minutes, me fait me relever pour ouvrir mon pantalon et me le baisser à mi-cuisses, comme une affamée, elle se jette sur ma queue et l'avale d'un trait, me décalottant des lèvres, comme j'aime…

Soizig me fait la totale, sa bouche chaude et ses douces mains sont partout, elle suce et branle ma verge, me masse les couilles, les lèche, j'en ai rêvé en mer et voilà que mes désirs deviennent réalités, Soizig est devenue une fellationniste hors pair, si j'avais un cadeau à faire à un copain, je lui offrirais une pipe faite par elle, à condition qu'elle le veuille bien, mais je ne suis pas au bout de mes surprises, elle me repousse encore, se retourne pour me tendre ses fesses blanches en retroussant sa jupe sur son dos, " - Viens… Tu peux jouir… Je prend la pilule…" me dit-elle, j'en suis sur le cul, ma Soize c'est organisée pour un plaisir total, sans retenue, finit le coïtus-Interruptus, tendus à mort, ma queue se fraye de suite un chemin en elle, Soize pousse un ahanement de surprise et de volupté, son antre étroite et bouillante, naturellement lubrifiée, avale mon pieux de chairs jusqu'à la garde de mon pubis qui lui frotte la raie, je donne plusieurs mouvements circulaires à mes hanches pour qu'elle me sente encore plus au fond d'elle, " - Ouiii…Ouiii…" soupire-t-elle en remuant son derrière, j'entame alors une série de vas et viens en la tenant fermement par les fesses, lancinants au début, plus vifs et saccadés par la suite, j'alterne, je veux qu'elle jouisse avec moi, en même temps, le plaisir partagé, j'ai trop entendus parler les femmes, celles qui se plaignent de servir de "sac à foutre" de "vide couilles" par leur maris, amants, petits copains, le monde doit changer aujourd'hui, les relations sexuelles aussi…

A un moment, ses gémissements sont devenus plus forts, plus rapprochés, j'ai sentis son sexe se resserrer autour de ma queue, mon orgasme était en phase de débordement, j'essayais encore de me retenir, mais les limites étaient atteinte, comme elle me disait: "- Viens…" Viens…", j'ai laissé venir…Brulante jouissance incontrôlable, petite mort où plus rien d'autre n'existe que le feu qui vous brule le bas ventre, je me déverse en elle, Soizig se vide sur moi, nous ne sommes que plaisir, imbriqués l'un dans l'autre, nous voulons tout de l'autre et recevons tout, épuisés par la tension et l'orgasme, nous restons affalés et sans vie pendant un instant, ailleurs, dans un autre monde… puis la réalité reprend ses droits, Soizig passe sa main sur son sexe pour voir le sperme qui en sort, je lui tend sa culotte, elle n'en veut pas mais s'essuie avec et me la donne en cadeau, elle me prend le sexe, le renifle, et le nettoie avec sa bouche, aspirant les dernières gouttes de semence, nous nous rhabillons, encore stones de ce qui vient de ce passer, les jambes flageolantes, nous descendons de la montagne…

C'était l'heure de la soupe, Soize est rentrée chez elle, histoire de calmer le jeu avec ses vieux qui se doutaient qu'elle vivait quelque chose en secret, moi j'avais prévenus les miens que je ne rentrerai pas diner, j'avais les potes à voir, je commençais la tournée des estaminets et autres abreuvoirs, vendredi, jour en i, qui rime avec beuverie, les soiffards étaient déjà à poste, j'avais le droit à l'accueil du marin qui revient de mer, "- Hoééé… le matelot prend un pot…?", et hop, une tasse ici, une tourne ailleurs, je commençais à être chaud quand j'ai vus Soizig arriver, sourire aux lèvres et regard pénétrant de la jouvencelle qui va t'annoncer quelque chose, "- Ils sont pas là…!" me dit-elle, à l'oreille, excitée comme une puce, "- Qui ça…?" que je lui demande idiotement, "- Ben les parents…! Ils sont partis pour deux jours…!!! " Me répond-elle au bord de l'hystérie, je pige d'un coup que c'est une invite à la liberté d'aller chez elle faire ce qu'on veut, "- Viens…Viens…J'ai ce qu'il faut à boire là-bas…" me dit-elle empressée, me tirant par la manche, pas le temps de finir mon godet, nous filons vers la sortie sous les "-Houlala…Houlala…le Matelot a trouvé une Sirène…" des potes morts de rire, elle a le feu aux fesses, je le sens, va falloir assurer…

Effectivement, une fois dehors elle me saute au coup pour un long baisé à langue profonde et agitée, elle frotte son bas ventre sur ma braguette, c'est sa façon de dire qu'elle a envie, on files chez les parents, elle me fait rentrer par l'arrière du magasin, dans la cuisine, elle sort du chouch et de la bière, elle me demande de venir visiter le magasin mais elle n'allume pas, seuls les lampadaires de la rue éclaire un peu l'endroit, je ne vois pas trop l'intérêt au début, à part de mater les gens qui passent et qui ne nous voient pas, puis elle m'entraîne derrière le comptoir de la caisse, il y a une grande table à côté, qui sert à poser les marchandises des clients et leur faire les paquets, Soizig s'assoie dessus, m'attire entre ses cuisses qu'elle écarte largement, m'enserre des ses bras en se frottant à moi comme une chatte en chaleur, à l'oreille, elle me chuchote de la déshabiller, j'hésite, lui montrant la vitrine, elle me rassure, me disant que l'on ne voit rien de dehors quand tout est éteint, elle est chaude de désir, elle me fait bander en prenant l'initiative de ses envies, "- prends-moi ici… Sur le comptoir…!" me demande-t-elle, lascive, totalement désinhibée et offerte, elle veut que ce soit là, pas ailleurs, pourquoi, quel fantasme l'anime-t-elle à ce moment, je lui enlève son petit blouson et déboutonne son chemisier, je remonte son soutif pour en extraire sa poitrine que j'embrasse goulument, suçant chacun de ses tétons bandés, puis elle s'étale en troussant sa jupe, dévoilant sa culotte de blanc coton mouillée au gousset, "- Mange-moi…" susurre-t-elle, je la lui retire sauvagement et la hume, dénudant son pubis et sa motte broussailleuse, sa culotte sent la femelle en rut, parfum voluptueux aux effluves de mouillement et légères de pipi, je caresse l'intérieur de ses cuisses ouvertes qu'elle replie pieds à plat sur la table, mes mains glissent doucement vers son intimité offerte sans pudeur…

Je fais traîner, je la fais languir, je tourne autour du pot, si je puis dire, je frôle son mont de vénus, ses grandes lèvres, mais je ne lui touche pas la vulve, je l'observe se tortiller d'impatience, les yeux mi-clos, le souffle court, qu'elle est belle et désirable dans son abandons, j'ai envie de tout lui faire, ma queue durcie, coincée dans mon jean, me fait délicieusement mal, je me penche et pose ma bouche sur son sexe, elle sursaute quand ma langue râpeuse passe à plat dans le sillon humide de sa fente, elle gémie quand je lèche ses petites lèvres remontant jusqu'au capuchon de son clitoris, son odeur intime m'enivre, je lape sa mouille et plus je lape, plus elle mouille, je darde ma baveuse et la lui entre au plus profond de sa grotte de chairs, de la pointe de mon nez, je lui frotte son bouton d'amour, Soizig miaule son plaisir, tend son ventre aux caresses buccales et linguées, je ne touche pas à son anus, je lui tiens les fesses écartées et caresse la naissance de sa raie avec mes pouces, rien de plus, j'attends désormais un signe de sa part pour toucher cet endroit, elle me caresse la tête pendant que je la broute, puis d'un coup, elle se redresse et me dit de la prendre en ouvrant mon pantalon, c'est elle qui se penche maintenant pour me gober la verge après m'avoir décalottée des doigts, elle la humée au passage, me disant qu'elle aimait son parfum, et après quelques vas et viens de sa bouche, Soizig s'est de nouveau allongée, les fesses au bord de la table, ramenant vers elle ses jambes écartées, elle m'a juste dit " - Viens…" et je suis venus en elle, d'un coup de reins…

Soizig tourne la tête par moments vers la vitrine, pendant que je lui fais l'amour, je comprends que cela l'excite de voir les passants qui ne se doutent pas de ce qui ce passe dans ce magasin, voir sans être vue, c'est un fantasme que je n'ai jamais pratiqué à ce point, la chose est extrêmement plaisante et jouissive, son regard reviens sur moi, me fixe au plus profond des yeux pendant que je m'agite en elle, comme si elle cherchait à savoir ce que je ressent, je lui titille le clit avec mes doigts, elle gémit sous l'attouchement, je me retire et me renfonce en elle d'une traite, elle cherche de l'air à chaque coup de queue, je tiens la route, le rapport de cet après midi sur la montagne m'a rendu plus endurant, je lime, je défonce, je ramone, à un moment, elle me dit d'arrêter, je suis surpris, elle attrape son blouson et fouille dans une poche, " - J'ai acheté ça…" me dit-elle en me tendant un petit pot en verre, les yeux baissés, comme honteuse de son geste, je regarde l'étiquette, c'est une pommade pharmaceutique lubrifiante, mon cœur fait un bon, Soizig me fait comprendre qu'elle veux par derrière, du moins elle m'en donne la permission, " - Tu es sure…? ", lui demandais-je, " - Oui… Je sais que tu en as envie…", me répond-elle le regard toujours baissé, " - Mais il faut que toi aussi en ai envie…", " - J'ai envie…" répond-elle gênée, " - Mais comme ça…" ajoute-t-elle en s'allongeant sur le dos, je ne comprends pas, elle voit ma mine dubitative et me dit " - Tu peux…Mais je préfère comme ça…" et joignant le geste à la parole, elle s'écarte elle-même les fesses pour me montrer l'accès à son anus par devant…

Sodomite débutant, je n'ai jamais pensé à faire cela comme ça, mes lectures instructives d'une main, ne décrivaient la sodomie qu'à quatre pattes ou couché sur le dos de la femme, un côté un peu bestial pour Soizig ai-je pensé, cette fille plus jeune que moi, était mieux documentée, elle m'instruisait sur une autre façon de faire, plus respectueuse, et elle ne voulait pas rester sur un échec, sur un mauvais souvenir qu'elle voulait effacer, tout comme moi, transcendé par sa gentillesse et sa volonté de réessayer une chose si mal vécue, je posais ma bouche sur son anus pour un préliminaire suave et emplit de douceurs, stimulant sa vulve de mes doigts, j'écoutais les sons que Soizig émettait et qui me guidaient dans mes caresses, le bourrelet de sa rosette était souple, accueillant, ma langue y trouvait sa place sans problème, elle devait pousser sur son sphincter pour s'ouvrir de la sorte, c'est Soizig qui m'invita à la pénétrer en me disant " - Maintenant…", j'ouvrais le pot de verre, m'apercevant qu'il avait déjà été ponctionné de pommade, j'imaginais que Soizig avait testée le produit en solitaire, de la pulpe de deux doigts, je lui enduisais son œillet dans un massage circulaire et explorateur, le sphincter détendu laissa passer une phalange puis deux, j'ai su que je pouvais maintenant la pénétrer.

D'elle-même, Soizig passa ses mains derrière ses genoux pour maintenir ses jambes repliées vers elle, la vision délicieusement impudique de sa chatte broussailleuse ouverte et de son anus lubrifié quémandant ma visite, me durcissait au maximum, j'ai posé mon gland enduit de pommade contre sa petite ouverture, malgré sa demande de le lui faire et les préliminaires assouplissants que je venais de lui faire, j'hésitais encore à la sodomiser, travaillé par le mauvais souvenir de la première fois, je poussais doucement, maintenant ma queue bien droite, je fus surpris de la facilité avec laquelle son œil plissé avala ma boule de chair turgessante, Soizig émie un, " - Hooo…", sans doute surprise également, je lui demandais si elle avait mal, elle me répondit que non, à chaque centimètre enfoncé, je m'inquiétais d'elle, de son bien être, elle me disais, " - Ca va…C'est gros… Mais ça va…", je continuais à m'enfoncer dans son rectum au ralentis, ma verge glissait dans ses chairs sans forcer, je caressais ses petites lèvres et son clit du bout des doigts, regardant son visage pour y déceler le moindre signe de désagrément, mais elle gardait les yeux clos, seul son souffle devenu plus fort, trahissait ses émotions, mon pubis finit par venir au contacte de sa vulve charnue et je ne bougeais plus en elle, attendant un signe de sa part pour commencer à l'honorer rectalement…

Soizig commença par contracter son conduit autour de ma verge puis se mit à bouger les fesses en cercles, frottant sa vulve sur mes poils pubiens, elle s'habituait à ma présence dans son fondement, elle me chuchota, les yeux toujours clos, " - Fais le… Maintenant…", je repartais en arrière, m'arrêtant à la limite du sphincter et me renfonçais de nouveau, elle fit, " - Aaaahhh…", je continuais mes vas et viens doucement, dégustant la merveilleuse sensation des chairs chaudes enserrant mon sexe en mouvement, elle m'accueillait en elle comme une offrande sacrée, accompagnant à présent mes coups de reins par des gémissements feutrés d'encouragement à continuer, " - Ouiiii… Comme çaaa…" , nous étions loin à présent du ratage de la sodo des wc de la gare, elle prenait du plaisir à être enculée, son plaisir me donnait du plaisir, imperceptiblement, j'augmentais le cadence de mes assauts, lui prenant les jambes pour libérer ses mains, je lui disais de se masturber en même temps, elle tourna la tête sur le côté, sans doute gênée de faire cela pour la première fois devant un homme, mais ses mains caressèrent ses seins puis l'une d'elle descendit sur sa vulve, ses doigts hésitants au début, trouvèrent vite leurs places et le rythme approprié à son plaisir montant, Soizig n'était plus que jouissance, son sexe dégoulinait dans sa raie, lubrifiant sa rosette et ma verge, plusieurs fois, je la ressortais entièrement pour jouir du passage de sa petite porte à nouveau en me renfonçant en elle…

Je sentais aussi que ma jouissance montait, terrible et suave brulure prostatique, ralentissant la pénétration, tant on voudrai qu'elle dure, mais qui devient incontrôlable car la femme réclame son plaisir et s'agite sur votre membre, quand Soizig a portée la main à sa bouche pour se mordre les doigts, j'ai su qu'elle allait jouir, secouée de spasmes, elle se bâillonnait pour étouffer ses râles, les jets de son liquide orgasmique sur mon bas ventre, m'autorisèrent à me laisser aller en elle dans un extase démesuré aux jouissances éjaculatoire plusieurs fois répétées, ses fesses baignaient dans le liquide répandus sur la table, son anus émettait des bruits de succion sur ma verge encore en mouvement dans son rectum, le sperme ressortait à chaque poussées, elle s'est redressée pour m'embrasser profondément, elle était encore essoufflée, mon sexe ramollissait en elle mais Soizig contractait son sphincter pour me garder en elle, en jetant un coup d'œil à la vitrine, nous aperçurent un couple qui essayait de voir l'intérieure du magasin, avait-il entendu quelque chose, ou vu quelque chose, je ne le savais pas, mais on s'en foutais, Soizig se frottait encore à moi, elle me remerciât de l'avoir fais jouir aussi fort, je la remerciais de m'avoir fait ce cadeau…

Quand nous nous sommes détachés l'un de l'autre pour nous rajuster un peu et essuyer la table, je lui ai posé la question qui m'avait titillée l'esprit, pourquoi désirait-elle tant que l'on le fasse ici, elle m'a expliquée, avec un large sourire victorieux, que c'était là qu'elle voyait ses parents se tenir depuis des années et que maintenant, elle aurai une vision différente du comptoir avec sa caisse enregistreuse et sa table à paquets, elle venais de passer l'étape où l'on "tue" ses parents, du moins leur brimante autorité sur toute son adolescence, sacrée Soize, elle m'épatait encore, l'émancipation des jeunes femmes battait son plein à cette époque, mais jamais je n'aurai imaginé une telle provocation dans les actes, il fallait qu'elle en ai bavée avec eux pour en arriver à une telle perversité, remarquez, chacun faisait ça à sa façon à l'époque et nous rigolions bien entre jeunes à nous raconter nos "hauts faits d'armes" contre les mentalités rétrogrades datant d'une éducation d'avant guerre, nous sommes allés prendre une douche, deux dont une d'ailleurs, car nous nous sommes aussi arrosés mutuellement de pipi, elle sur moi et moi sur elle, avant de nous laver correctement, Soizig avait l'anus en choux fleur mais ne ressentait aucune douleur ou gêne, comme il n'était pas tard, nous sommes sortis prendre un verre pour fêter ce magnifique moment passé sur le comptoir…

J'ai dormis chez elle, nous avons encore baisés, j'avais la queue en feu à force de la mettre partout, j'étais de plus en plus long à venir aussi, le plaisir durait pour Soizig, elle avait ainsi le temps de tester les positions qu'elle n'avait pas encore essayées, de jouer avec son intimité, recherchant différentes façons d'avoir du plaisir et d'arriver à l'orgasme, mais le dimanche après midi, il fallu nous calmer, ses parents allaient rentrer et moi je retournais sur mon bateau le lundi matin, non sans être repassé voir les miens avant, quand on part en mer, on doit toujours aller saluer ses parents avant, on avait du mal à se quitter, la soirée dans le magasin et le we torride avaient renforcés nos liens, Soizig devenait une affamée de ma bite, et à chaque patin que l'on se roulait, elle me massait le paquet, me faisant comprendre qu'elle en voulait encore, en jupe, elle ne portait plus de culotte, se débrouillant toujours pour me le faire voir, si je ne lui avait pas déjà mis une main au panier, des larmes, encore des larmes, avant notre séparation pour un mois, des promesses aussi, des projets coquins, je prenais mon train à six heures du mat, j'étais blette…

Ca a duré comme ça pendant cinq mois, navigation, fornication, navigation, puis un matin, je suis convoqué chez le Pacha, un ordre vient d'arriver, j'embarque sur un "Gros Cul", entendez par là, un grand bateau, plus de deux cents à bord, mais ce n'est pas le plus grâve, ce bateau part dans deux jours pour les mers chaudes, loin, très loin, et longtemps, je ne peux pas dire non, je suis un appelé du contingent, un militaire qui obéit, signe ta feuille de mouvement, va faire ton sac, passe prendre les tenues blanches, et bon voyage, me dit-il, une voiture m'emmène sur le gros cul, je n'ai pas le temps de passer un coup de fil à Soizig, seulement aux parents, la tuile quoi, je la vois d'ici, effondrée, sans nouvelles, ce n'est pas mes vieux qui lui en donnerons, ils ne la connaissent pas, écrire une bafouille rapidement, pas le temps, il y a les corvées, le boulot, on ne me lâche pas la grappe, gros bateau, grosse discipline, je demande à mes parents de prévenir mes potes de voisins, Malo et Perrig, eux la préviendrons, j'écrirais plus tard, de là-bas, une carte postales des îles paradisiaques, pour qu'elle est une adresse, pauvre mignonne me dis-je, ça va lui faire un coup, elle risque de croire que j'ai fais cela dans son dos, sans la prévenir, putain de Sapin (service militaire de douze mois à l'époque), je pars pour je ne sais combien de temps, avec seulement les souvenirs des moments passés avec elle… et sa culotte parfumée par son intimité, cadeau que je garde précieusement pour les nuits en mode manuel…