Vues: 591 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 2 - Initiation

Quand je me suis réveillé vers dix heures, elle me regardait avec son sourire magnifique et me caressait la queue, je bandais déjà, prêt à faire plaisir ou à me laisser faire, faut dire qu'à l'époque, je préférais le fourreau chaud et humide des femmes à celui de mon slip et que popol était souvent de sortie avec la tête en l'air, Soizig s'est glissée le long de mon corps en m'embrassant partout, pour finir par prendre ma verge en bouche, juste avant, elle me dit qu'elle était belle, qu'elle était dure et grosse, elle me l'avait lavée délicatement le soir après sa première fois, elle était prête à l'emploie, ses lèvres sur mon prépuce, sa bouche chaude et mouillée sur mon gland, finirent de me durcir à m'en faire péter la veine bleu, elle me sussotait sans me décalotter, me caressant la tige d'une main et les testicules de l'autre, elle me demanda qu'elles étaient les zones les plus sensibles, je lui proposais de l'instruire sur la fellation, elle accepta en me disant d'être son professeur de sexe, elle en voulais la petite Soize, j'allais en faire une dévoreuse de bite, une avaleuse de sabre, une technicienne supérieure de la pipe, j'en profitais pour lui enseigner mes caresses digitales, buccales et linguées préférées, tout en sachant que cette fois, je la laisserai aller jusqu'au "Bout De l'Envie" (Merci Ferdinand)…

Elle s'appliqua, elle devait en rêver depuis longtemps pour se donner à ce point, elle était même inventive, me faisant des choses que je ne lui avait pas enseigné, comme d'entrer le bout de sa langue dans mon méat ou de me gober les deux testicules en une fois, à l'époque, je ne connaissais pas le plaisir anal pour homme hétéro, j'allais seulement le découvrir quelques années plus tard, sinon je l'aurais instruite la dessus, elle avait progressivement changée de position pendant sa fellation et bientôt j'avais ses fesses à portée de main, sa raie était légèrement poilue, j'aventurais des doigts légers entre ses fesses pour voir sa réaction au titillement de sa rondelle, elle ne les refusa point, ce qui m'encourageas à attirer son postérieur sur ma bouche, elle se laissait manipuler corporellement, prenant la position que je lui indiquais, s'ouvrant aux caresses de toutes sortes, mouillant d'un jus sucré/salé aux effluves enivrantes, mes mains malaxaient ses fesses rondes et fermes pendant que ma langue et ma bouche visitaient ses intimités, après une ou deux contraction réflexe de son anus au passage de ma baveuse, elle imprima à son bassin des mouvement de plus en plus rapides, frottant sa vulve sur mes lèvres et son œillet sur mon nez, les spasmes qui l'agitèrent étaient significatifs de la monté de son plaisir, elle me léchait encore un peu mais était toute concentrée sur la venue de son orgasme, elle gémissait, avec comme un sanglot dans la voix, j'en étais très émus, c'est beau une femme qui jouis, elle se lâcha sur mon visage, en coulées chaudes et abondantes, les mains crispées sur ma queue à m'en faire presque mal…

Elle mit quelques minutes à reprendre pied, elle fut intouchable pendant un moment, comme si elle était à vif, elle sursautait au moindre attouchement sur sa vulve, elle finie par me reprendre en bouche et termina sa fellation délicieuse, quand j'ai sentis que j'allais exploser, je le lui ai dis, deux fois, pour la prévenir de l'arrivée de mon sperme, ne sachant pas si elle voulait recevoir ma semence en bouche ou pas, elle ne répondit rien et continua de me branler et pomper ardemment, j'en déduisais que je pouvais me laisser aller et jouissais voluptueusement dans sa bouche, je l'entendis déglutir, signe qu'elle avalais tout, ce n'étais pas un de mes fantasmes, préférant souvent arroser le visage de mes bienfaitrices, mais je savais maintenant qu'elle avait gouttée volontairement à mon sperme et qu'elle n'en semblait pas dégouttée, elle me roula un patin pour me faire partager le gout de sa bouche, qui était aussi celui de ma verge et de mon éjaculation, nous nous sommes rendormis, serrés l'un contre l'autre, sa tête posée sur mon torse, elle jouait avec mes poils en s'endormant…

Vers midi, j'ai été réveillé par le parfum du café et de brioches grillées que Soizig avait préparée sur un plateau au bord du lit et aussi par une de ses mains qui caressait mon sexe, elle avait mis un fond de musique, le soleil filtrant au travers des rideaux nous baignait d'une lumière chaude, nous avons prit le petit dèj en silence, elle me regardait à la dérobée et baissait les yeux timidement quand mon regard croisait le sien, malgré ce qui c'était passé entre nous, elle gardait encore son côté jeune pucelle, elle m'avoua que de voir un homme nu dans son lit la bouleversait encore, pourtant, je voyais que les barrières de sa pudeur s'estompaient peu à peu, assise sans culotte en tailleur sur le lit, elle ne cachait pas son intimité carmin aux lèvres humides qui faisaient une saillie provocante d'érotisme au milieu de sa forêt de poils bruns, je recommençais à durcir sous le drap, et plus encore, quand dans un mouvement incontrôlé, elle me laissait voir la naissance de sa raie et les plis parfaitement dessinés de son anus que j'imaginais encore vierge de toute pénétration, elle se leva pour débarrasser le plateau et me dit qu'elle allait prendre une douche, elle passa aux wc avant et j'entendis le doux chuintement de sa miction, chose que j'aimais déjà écouter à l'époque, et regarder aussi…

Je la rejoignais sous la douche, le manche encore dressé, elle joua la surprise étonnée, me demandant si j'étais comme cela tout le temps, je la rassurais, lui disant que je savais la ranger dans mon pantalon, nous nous sommes savonnés mutuellement, moi ses seins, elle mon torse, puis plus bas, moi sa figue et mon dard, nos fesses aussi, elle ne s'approchais pas de mon anus mais moi par contre, j'en effleurais plusieurs fois les contours sans trop insister, je gardais cela pour plus tard, ne voulant pas la brusquer, elle commençait à soupirer sous mes massages savonneux quand je l'ai retournée face au mur de la douche, sa croupe merveilleuse attirait ma verge, je courbais Soizig en avant, elle comprit que j'allais la prendre dans cette position et me murmura un - "Doucement…" , qui avait valeur d'acceptation, je posais mon gland à l'entrée de sa chaude grotte et m'enfonçais doucement en elle, le savon mélangé à son humidité intime me firent partir en douce glissade, laissant mon sexe s'enfoncer en elle sans forcer, elle eu un petit râle de contentement en me disant que c'était bon, je m'activais de suite en elle, la tenant fermement par les hanches, je faisais "l'homme", chose que nous n'avions pas encore réalisés, après quelques vas et viens tout en douceur, j'augmentais le rythme de mes coups de reins qui la firent gémir, je m'inquiétais de son bien-être, elle me répondit juste - "Continus…"

J'ai passé mes doigts plusieurs fois sur sa vulve et son clit, elle appréciait ce double plaisir, Soizig ne fut pas longue à jouir, avec toujours ce sanglot dans la voix qui m'émouvait, à regret, je dû me retirer de son ventre avant l'éjaculation, j'arrosais son dos et ses fesses en de longues giclés convulsives, elle se retourna pour me sucer les quelques gouttes qui venaient encore, nous nous sommes rincés, un peu dans les vaps, et sommes allés nous habiller pour partir en ballade vers la mer, je lui demandais si la position lui avait plu sous la douche, elle vint me rouler une pelle pour toute réponse, plus tard, elle m'avoua avoir trouvée cela "sauvage" et "très fort", nous avons étés prendre une vedette qui fait la descente de la rivière (la plus belle de France…(ceux qui connaissent la reconnaitrons…) Elle ne l'avait jamais faite, avec sa petite jupe courte qui moulait son popotin charment, un teeshirt échancré sur sa poitrine ronde et ferme et un blouson en jean, ses bruns cheveux longs balayés par le vent lui donnaient l'image de la femme libre et un peu sauvageonne, nous parlions, parlions, à n'en plus finir, tout en contemplant avec ravissement, les rives boisées de la rivière et les manoirs qui la surplombaient…

Arrivés au port de l'embouchure, là où les flots d'eau douce et de la marée montante se mélangent, nous avons mis pied à terre pour aller déjeuner à une terrasse donnant sur la plage, une douce brise légère caressait nos corps fiévreux de désirs, la collation fut vite avalée, l'amour, le sexe et l'air du large, ça creuse, je lui ai proposé de découvrir un endroit magique dans la forêt qui borde la rivière, j'en avais déjà une demi-molle rien qu'à l'idée de ce que je voulais lui faire connaître, enjouée et curieuse, elle accepta de suite, nous n'étions pas en période de vacances, ce qui nous permettait de profiter pleinement de la nature sans être dérangés par des hordes de touristes piétinants et de promeneurs locaux, les parfums mélangés de la mer et de la forêt crées une potion olfactive vivifiante et aphrodisiaque, la magie du lieu, liée aux influences Druidiques profondément ancrées dans l'imaginaire des Celtes, vous transporte dans un monde parallèle où les réalités mercantiles s'effacent pour ne laisser place qu'à la trouble sensation euphorique d'avoir fuit le côté obscure des forces matérialistes et asservissantes, surtout quand au détour d'un ribin (sentier) ombragé par les chênes multi-centenaires, apparait du passé ce monument de granit craint et respecté par tous, le Taol-Vaen (dolmen pour les Français), table de pierre posée sur des piliers de granit, tombeau des dieux et des chefs, porte vers l'au-delà, nul ne s'en approche sans un pincement au cœur et à l'âme…

Soizig n'échappe pas à ce sentiment, portant la main sur son cœur, elle marque un temps d'arrêt, comme stoppée par une barrière invisible, elle reste un moment bouche bée, le souffle court, je lui prends la main pour lui donner de mon fluide, elle est émerveillée par le lieux, un rayon unique de soleil passe au travers des feuillages, illuminant les pierres sacrées au milieu d'une petite clairière ombrée par les arbres massifs et feuillus, nous approchons ensemble silencieusement du monument sacré, et dans un réflexe naturel, posons nos mains à plat sur lui, il est des moments comme celui-là où il est nul besoin de paroles, la communion se fait dans le silence, bercée par le souffle léger de la brise qui s'est changé en une mélodie diffuse provenant d'une cornemuse lointaine, instant magique, nous sommes seuls au monde, dans notre monde, je sort mon couteau de ma poche et me fais une petite entaille sur la paume, en dessous du pouce, Soizig comprend de suite ma demande et me tend sa main, je lui demande si elle le veut, elle me répond: - "Oui…Je le veux…" , je lui fais la même entaille au même endroit, puis nous accolons nos mains l'une à l'autre, symbole de la force du lien créé entre elle et moi, pour finir, nous apposons nos paumes ensanglantées sur le granit pour que notre communion s'imprime dans la pierre et soit bénie par les Dieux Celtes, qu'ils nous donnent forcent et protègent notre union, pour conclure la cérémonie improvisée, j'aide Soizig à monter sur la dalle du dolmen puis y grimpe à mon tours…

Elle me dit: - "tu es fou…", et m'embrasse profondément en se lovant contre moi, son pubis frotte volontairement la bosse de ma braguette, ses mains caressent mon corps, les miennes partent sous sa petite jupe et lui baissent sa culotte de coton blanc, je m'accroupis pour la lui enlever complètement, non sans la humer au passage avant de la mettre dans ma poche, puis je pose ma bouche sur son mont de vénus aux senteurs troublantes de désir, elle ouvre ses jambes pour me donner accès à son fruit fendu et juteux, je me délecte un instant, ma langue la fait soupirer d'aise, je la couche sur la table de pierre chaude, Soizig écarte d'elle-même les cuisses, dans une attitude presque indécente qui m'excite au plus haut point, elle demande silencieusement les caresses intimes qu'elle désire recevoir, je lui donne ce plaisir, longuement, attentif à ses soubresauts et ses gémissements, je passe ma langue plusieurs fois entre ses fesses, son anus ne se crispe plus sous cet attouchement, au contraire, il semble se détendre un peu plus à chaque fois, j'y glisse une phalange furtivement, pendant une succion de son clit, elle pousse une petit cri étouffé mais se laisse faire, je n'insiste pas plus, pas de précipitation, j'ouvre mon pantalon pour en extraire ma verge durcie, elle relève ses jambes pliées et me dit: - "viens…", je la pénètre en deux coups de reins, elle pousse un râle de plaisir, nous faisons l'amour pendant un long moment, je guette son orgasme et retiens le mien, quand je suis au fond d'elle, que nos pubis se touchent, elle agite son bassin en contractant ses muscles vaginaux autour de ma verge et frotte sa vulve ouverte sur mes poils, elle a déjà trouvée comment se faire plaisir, sa jouissance augmente, la mienne monte, elle va venir, moi aussi, je me retire précipitamment et lui met deux doigts à la place en lui titillant le clit avec le pouce, elle jouit ainsi, mouillant le granit sacré dans des convulsions spasmodiques incontrôlées, je me finis à la main devant elle, Soizig n'a jamais vue un homme se masturber, elle jouis du spectacle les yeux écarquillés, se caressant la motte de plusieurs doigts, je lâche mon sperme sur la pierre, nos liquides se mélangent…

Quand nous prenons le ribin du retour, je marche devant et m'aperçois d'un coup qu'elle n'est plus derrière moi, je retourne sur mes pas et la surprend accroupie au pied d'un arbre, en train de faire un pipi au jet puissant, je vais pour faire demi tour mais elle me dit que ça urgeait et que je peux rester, décidément, elle continue de me surprendre, surtout qu'elle me demande en rougissant si je n'ai pas aussi une envie pressante, je lui dis que oui et, tentant la provocation, je sort mon engin pour commencer à faire à quelques pas d'elle, Soizig baisse les yeux quelques secondes mais reviens poser son regard sur ma verge et la miction qui en jaillit, elle semble songeuse et fascinée, sans doute la première fois aussi qu'elle assiste à cela, elle finie son petit besoin, moi le mien, elle n'a pas de mouchoir en papier et me réclame sa culotte, je la lui refuse, lui disant que je la garde en souvenir de cette merveilleuse journée, elle proteste, je luis dis que se sera une épreuve de sa féminité que de rentrer les fesses à l'air pour rentrer, elle fait les gros yeux mais se soumet, nous allons à la vedette et remontons la rivière, parfois la brise lui soulève sa jupette, dévoilant ses fesses, elle préfère restée assise, en quittant le bateau, j'aperçois le dessin mouillé de sa fente sur le tissus de la banquette, elle le voit aussi et rougie encore…

Après les derniers jours passés à des libations orgiaques et fornicatrices avec Soize, l'heure est venue de partir à l'armée, adieux déchirants sur le quai de la gare, elle pleure, pourtant ce n'est que pour le temps des classes, un mois dans la marine, mais Soizig est effondrée, trop sensible, amoureuse, je ne sais trop quoi lui dire, dans quoi vais-je me retrouver là-bas…? j'angoisse grâve, le train démarre, j'échappe à son étreinte pour monter dedans (le train… pour ceux qui me connaissent…), signes de la main par la fenêtre (et oui…il y avait des fenêtres dans les trains) jusqu'au premier virage de la voix ferrée puis plus rien à part le vide de la séparation, je m'assois en me disant que j'ai quand même du bol, l'appelé Breton était généralement envoyé en Allemagne à l'époque, j'y échappe comme la bande de gars qui sont dans le train, braillards par bravade, alcoolisés pour ne pas penser, le port de guerre est à un peu plus d'une centaine de km, pas trop loin pour revenir souvent voir nos chéries et nos parents…

Un mois, c'est long à passer dans une caserne, surtout que la libido n'est pas en sommeil, ça parle de cul dans les chambrés, la sève du jeune âge bouillonne dans les corps juvéniles, même faites discrètement, les caresses solitaires nocturnes agitent les sommiers grinçants qui en on vus tant et tant, certains préfèrent, comme moi, l'isolement prude de la douche ou d'un wc pour se satisfaire manuellement, me faisant ainsi découvrir au cours du mois, les gémissements feutrés des fellations cachées et autres accouplements sodomites, de le savoir me durcissait mais loin de moi l'envie d'y participer à l'époque, j'attendais avec impatience la fin des classes, la perme salvatrice qui me ferait retrouver ma Soizig pour une bonne partie de frotti-frotta et de jambes en l'air, elle était impatiente aussi, m'écrivant deux lettres avec fleurs séchées par semaine, elle m'y décrivait à mots cachés et poétiques, ses envies libidineuses frustrées par mon absence, me laissant même entendre qu'elle n'avait pas tout fait avec moi et qu'elle m'attendait pour de nouvelles découvertes, cela excitait mon esprit et je prenais ses lettres avec moi lors de mes masturbations solitaires…

Enfin le retour au pays, le garde à vous, la jugulaire et la couture du pantalon, au bout d'un mois, j'en avais un sacré bout qui dépasse (merci Michel) , fiesta alcoolisée et chansons paillardes dans le wagon sur le chemin de la maison, bite en l'air à la descente du train, Soizig est là qui me guette de son regard amoureux, elle me sourie comme elle seule le fait, un sourire à m'en faire péter la braguette, on se roule une chaude pelle d'enfer, profonde et baveuse, caressante et tourniquotante, mes nouveaux potes d'armée sont aux fenêtres et gueulent leurs grivoiseries comme des putois en rut, eux aussi sont attendus à destination, certains par une copine, d'autres par leurs parents, mais tous crient leur liberté, un dernier salut et je me trisse avec mon amour, elle a vue la bosse dans mon pantalon et me tire par le bras, je ne peux pas fouiller sa culotte que j'imagine mouillée, si elle en porte une, mais où aller pour que nos corps exultent… (Merci Jacques)…

Chez moi, il y a mes vieux, chez elle il y a les siens, aller à l'hôtel de la gare, pas possible, les tauliers nous connaissent, c'est comme ça dans les bleds, en passant devant les wc public, nos regards se croissent, interrogatifs, empreints de désirs muets et réciproques, je demande: - "Là…?", Soize fait oui de la tête, rougissante comme la pucelle qui va offrir sa virginité morale, nous filons dans le bloc en surveillant nos arrières, elle choisie le côté femme, pour la propreté je pense, nous nous enfermons nerveusement dans une cabine et de suite, bouches collées l'une à l'autre, les mains se font empressées et aventureuses, en lui palpant les fesses, je m'aperçois qu'elle n'a pas de culotte, je me dis qu'elle a passée le cap de l'épreuve du retour en bateau, elle ouvre mon pantalon, me le baisse sur les chevilles en s'accroupissant à mes pieds et mon slip suit le même chemin, sa bouche a déjà engouffrée ma verge, malgré le plaisir d'être sucé, je ressent la frustration de ne pas avoir pu la toucher, humer et lécher sa féminité…

Elle pompe de mieux en mieux, il faut dire aussi que la privation prolongée des effets sensoriels de ses lèvres sur mon sexe, ravive les envies fantasmées manuellement pendant le mois passé, j'apprécie, je me délecte, je me tend vers cette bouche chaude, gourmande et appliquée, mais l'envie de la trousser dans une saillie Hussardienne me démange au plus haut niveau de ma libido, je lui demande de se relever, elle ne répond pas et continue sa fellation, cela m'intrigue, je me retire de sa bouche et la relève moi-même en lui prenant les bras, elle n'ose me regarder en face quand je lui demande ce qu'elle a, essayant de la stimuler, j'envoie une main entre ses cuisses qu'elle sert aussitôt pour m'empêcher d'avoir accès à son sexe, je lui redemande tendrement ce qui ce passe, elle finie par me dire d'une voix gênée, qu'elle ne peux pas, qu'elle a ses règles, jamais un homme ne la vue ni touché pendant cette période, sa mère une seule fois, je me penche, elle s'entrouvre, j'aperçois, sortant de sa vulve, la ficelle d'un tampon, elle est confrontée au dilemme entre son désir de nous donner du plaisir et la pudeur de cacher sa féminité intime, je ne sais que lui dire non plus, à part que si elle ne peux pas, je ne l'oblige pas, elle me demande, en se penchant de nouveau sur ma verge, si ça me plait comme ça, je lui dit que oui et elle reprend ses caresses buccales magnifiques …

Comme elle juste penchée pour me sucer, je lui caresse les fesses d'une main vagabonde, mes doigts glissent entre ses monts de chair, effleurant son sillon aux poils follets, puis repassent en frôlant sa rondelle, après plusieurs vas et viens légers de mes doigts entre ses fesses, je me hasarde plus précisément sur son anus étoilé, elle ne proteste pas et cela m'encourage à aller plus loin, j'humecte mes doigts de salive et reprend mes caresses anales, lui massant l'œillet avec précaution, sans précipitation, avec douceur, comme la première fois, elle me susurre des mots incompréhensifs tout en continuant sa fellation, comme si elle avait honte de les dire à haute voix, je continu mon massage anal et la souplesse de sa petite porte m'incite à y glisser mon index salivé, qu'elle reçoit avec un petit gémissement mais sans le refuser, je le rentre doucement et le plus loin possible, son sphincter est serré et son rectum bouillant, je bouge le doigt en cercle à l'intérieur, assouplissant encore la barrière anale, elle tend ses fesses à la pénétration digitale, signe que la chose ne lui déplait pas, elle murmure toujours des mots en gémissant et je finis par lui demander ce qu'elle dit, elle lâche mon sexe quelques secondes, juste le temps de me dire sans me regarder: - "Si tu veux comme ça…tu peux…" et elle me reprend en bouche aussitôt…

C'est la première fois qu'une femme me propose une telle chose, j'ai déjà sodomisé une de mes amoureuses, mais il m'avait fallu de longs approches tactiles et des demandes amoureusement répétées pour qu'elle se mette à quatre pattes après une soirée arrosée et se laisse prendre par derrière, même si je n'étais pas le premier, m'avait-elle dit après, j'en gardais un souvenir ému, ma première fois dans un anus, j'avais jouis très vite, l'émotion était trop forte, mais là, dans ce wc de gare aux odeurs suspects, ma Soizig, vierge du petit orifice, m'autorisait à la sodomiser, cela m'a mit dans un état second, je redevenais son professeur de sexe, comme à nos débuts ensemble, mais là, j'allais accomplir un acte de défloraison anale, autant pour sa première fois, je l'avais incité à se le faire elle-même, accroupie sur mon sexe et décidant du rythme à adopter, que maintenant, vu l'étroitesse et la saleté du lieu, je ne pouvais que la sodomiser debout, courbée contre la porte, elle se laisse faire, prenant la position demandée, je m'accroupis pour lui embrasser les fesses et lui brouter l'anus…

Soizig se cambre vers ma bouche et me dit: " - Oui…Comme ça…", je m'applique à lui procurer autant de sensations que lors d'un cunni, mes mains écartent ses fesses, mes lèvres et ma langue sont partout, le bourrelet plissé de sa rondelle se détend et bientôt je darde ma baveuse salivante en son milieu, le passage est étroit mais j'entre la pointe en elle, je salive encore, lubrifiant l'orifice, je suis frustré de ne pouvoir caresser sa vulve, d'ailleurs, que peut-on faire à une femme dans ce cas là, je n'en sais rien, je suis novice en la matière, trouvant l'anus assez souple, je me relève et présente mon gland dessus, encore de la salive, je ne veux pas qu'elle est mal, d'une main je lui écarte les fesses, de l'autre, je guide ma verge bien raide dans la petite ouverture, elle me dit: " - Doucement…Doucement…", je m'avance précautionneusement, l'anus résiste, mon gland est dur, je pousse encore, elle sanglote: " - Ailllleeee…! Tu fais mallll…!", mais je ne veux plus m'arrêter, je suis comme une bête, je vois mon gland s'enfoncer en elle, cette image me rend fou, je ne pense plus qu'à mon plaisir, Soizig pousse un râle de douleur quand mon sexe entre en elle, la barrière du sphincter à cédée d'un coup et ma tige de chair est avalée par son fondement…

Je mouille encore de salive le reste de ma queue, Soizig à le souffle court, elle me supplie: "- Arrête…Arrête…" elle se cramponne à la poigné de la porte, je ne bouge plus mais la maintiens aux hanches, je me dis à cet instant que je suis un salaud égoïste, que je devrai me retirer de son rectum, ne plus lui faire mal, mais la chair est faible et le désir est là, de plus, c'est elle qui m'a invitée dans ses fesses, comme si de prendre une femme par derrière, parce qu'elle est indisposée devant, était moins tabou, ignorance de la jeunesse, manque d'informations, le Net et ses forums n'existaient pas à cette époque, il me faudra attendre encore quatre ans pour qu'une femme plus âgée m'initie à la sodo, me montrant en premier ce qui fait mal, je dis à Soizig de se détendre en poussant sur son sphincter, que ça va aller, et j'avance de nouveau en elle, " - Salaud…! Salaud…!" murmure-t-elle dans un souffle, je ressens la pression de son conduis anal autour de ma verge, chaud et serré, je suis bien dedans, je continus la pénétration au ralentis, il ne reste plus que quelques centimètres à lui rentrer, je suis bouillonnant de sève contenue, je sais que je ne tiendrai pas longtemps quand je me mettrai en mouvement…

Quand je revois maintenant mon comportement de l'époque, j'ai honte de moi, mais quel pied j'ai pris, je lui ai limé l'anus doucement au départ puis plus rapidement, elle couinait en poussant des petits cris de souris ponctués de râles et d'onomatopées incompréhensibles, vu que je lui avait mis une main sur la bouche pour ne pas alerter le voisinage et attirer curieux et autres mateurs vicieux, je l'ai ramoné pendant de longues minutes, passant quand même l'autre main sur son pubis et le capuchon de son clito, cela sembla lui apporter un peu de plaisir mais je voyais bien qu'elle dégustait, ma jouissance est montée d'un coup, brulant plaisir difficilement maitrisable tant la tension était forte, j'ai éjaculé en elle, j'ai eu l'impression de déverser plus de sperme qu'à mon habitude, je baignais dans l'extase et dans mon jus pendant un court instant puis me retirais de ses fesses, quand elle reprit pieds et se retourna vers moi, je pus lire sur son visage et dans ses yeux, tout le ressentiment qu'elle éprouvait contre moi, j'ai voulu, gentleman, lui essuyer le sperme qui lui coulait de l'anus mais elle m'a arrachée le papier des mains pour le faire elle-même et m'a collée une beigne, puis elle a déloquée la porte et s'est barrée…

Deux jours après, je retournais à la caserne, on me donnait ma feuille d'embarquement, direction le port et le bateau qui m'attendait, je montais à bord, salut aux couleurs, présentation au Pacha, enrôlement et distribution de tâches, une heure après, nous partions en mer pour trois semaines, mon rôle de matelot et la mer qui bouge m'empêchaient de penser à autre chose, mais je savais que je tenais enfouis en moi, les reproches que je devais me faire et qui finiraient par ressurgir, malgré tout, je gardais un souvenir impérissable de cette sodomie sauvage et il me teint compagnie pour mes plaisirs solitaires pendant les trois semaines de mission, la vision de son cul tendu vers moi et de ma queue qui allait et venait dedans était, et le reste à jamais, une image ineffaçable de ma mémoire…