Vues: 953 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 1 - La Rencontre

J'étais en stage de voile dans ma région, pour une quinzaine, j'allais partir au service militaire dans pas longtemps, pour vous dire que ça date cette histoire, j'avais vingt ans, pas de copine fixe à l'époque, libre comme l'air avec ma petite bécane, je faisais la route tous les jours pour venir à l'école de voile, on m'avait collé un "Ricain" en binôme et je me faisais un peu chier avec lui, il ne me laissait pas la barre et faisait que ce qui lui plaisait…

Heureusement, un beau matin, le directeur m'appelle pour me présenter une petite stagiaire et me demander de la prendre en main sur dériveur 470, formation au trapèze et navigation sous spinnaker, ça me bottait, ma première stagiaire à former, je n'avais pas trop fait attention à son physique, elle était déjà en tenue, veste ciré et pantalon idem, gilet de sauvetage et un bonnet enfoncé jusqu'aux lunettes, pas très grande, 1m60 à tout casser, je me suis dis que ça devait être un petit boudin, on était en juin, et elle était quand même vachement couverte pour la saison…

Après une petite discute sur ce qu'elle avait déjà fait en voile, on a poussés le quat' sept (470) à la flotte, il y avait pas trop de zef (vent) et pour un début de formation, ça suffisait, je l'ai posté à l'écoute de foc, histoire de voir ce qu'elle savait faire, on avait un petit force 3, pas de quoi se secouer la couenne, on est allés au milieu de la baie et je lui ai passé la barre, elle était contente, elle se démerdait bien, je l'ai laissé faire un moment avant de la remettre à l'avant et de commencer la leçon sur le lancement du spi, je vous passe les détails techniques, on s'est mis en vent arrière, et hop, elle enregistrait bien mes explications…

On a navigués un moment, avec des empannages pour lui faire la main et puis j'ai eu envie d'une clope, elle ne fumait pas mais ne disait pas non à une petite pose pour une autre raison, je connais bien la baie et ses recoins, j'ai opté pour une petites crique au pied d'une falaise de granit, plage de sable entourée de rochers où l'on tiens à quatre ou cinq à marée haute, à peine débarqués, elle a enlevée sa tenue de mer rapidement, pendant que m'en roulais une, elle a cherchée un coin à l'abri de mon regard, pour une envie pressante sans doute, je regardais vers la mer pour ne pas la gêner…

J'ai sentis sa présence derrière moi après quelques minutes et me suis retourné, elle était en débardeur et short en jean, elle avait aussi enlevée son bonnet, libérant une longue chevelure noir jais qui lui tombait sur les épaules, je ne sais pas combien de secondes je suis resté à la détailler, mais j'ai eu le temps de voir qu'elle arborait une poitrine ronde et ferme aux pointes durcies par le vent frais, des jambes fuselée et un petit fessier rebondit, elle avait un visage de jeune fille et quand elle a enlevée ses lunettes pour les essuyer, je suis tombé sous le charme de son regard de myope, cette façon de plisser ses yeux noisette pour regarder le paysage ne m'a pas laissé indifférent, je lui ai demandé son âge, elle avait eu dix huit ans l'année précédente et allait fêter ses dix neuf dans deux mois, moi j'allais sur mes vingt et un, elle s'appelai Soizig… (Bretonnisation du diminutif de Françoise = Soise = Soizig)

Nous étions du même patelin, ses parents avaient un commerce que je connaissais, elle avait été en pension chez les sœurs et en gardait les attitudes posées et empreintes de pudeur de l'éducation rigide que l'on reçoit dans ce genre d'établissement, elle ne fumait pas, ne buvait pas, n'allais pas dans les bars, ne disait pas de gros mots, rougissait quand j'en disais un, je n'ai pas abordé le sujet du petit copain, me doutant qu'elle devait encore être vierge, elle aimait certains groupes de rock que j'aimais aussi, elle cherchait à connaître la culture Bretonnante, ça nous a fait deux sujets de discussion en commun, puis elle a remit sa tenue, nous avons tirés quelques bords et nous sommes rentrés à l'école de voile en nous disant, à demain…

Je me suis préparé avec une certaine hâte le matin, fébrilement même, ma petite stagiaire occupait mon esprit à mon réveil et j'en avais même eu une érection, je devais d'abord m'impliquer dans la formation demandée par le directeur mais j'avais d'autres pensées, plus charnelles, son image sur la crique aussi prenait le dessus, j'ai fais la route en mettant les gazes à fond, en arrivant à l'école, elle était déjà là, m'accueillant avec ses petits yeux plissés et un sourire empreint d'affectif, à sa façon de me faire la bise, j'ai sentis que je ne lui étais pas indifférent, nous avons mit les bouchées doubles pour sortir le quat sept et quitter la plage, afin de nous retrouver seuls tous les deux…

Je l'ai mis au trapèze, elle s'est vautrée plusieurs fois à la flotte, mais faut ça pour apprendre, on en a fait deux heures et c'est elle qui m'a demandée si je n'avais pas envie d'en fumer une sur la petite crique, faut dire qu'elle était trempée et qu'elle commençait à se cailler les escalopes, elle avait emballée des affaires de rechange et une serviette de bain dans un plastique pour se sécher un peu, j'ai roulé ma clope, elle est allée se cacher pour son pipi, j'ai craqué et jeté un rapide coup d'œil en arrière, j'ai eu juste le temps de voir ses fesses blanche qui dépassaient de derrière un rocher, elle s'est relevée et s'est séchée le corps, elle portait un maillot de bain deux pièces, cachée par sa serviette et me tournait le dos, mais j'avais choppé le bâton, une fois rhabillée, elle est venue me demander de goutter à ma clope, je l'ai prévenue que c'était fort le tabac brun, elle a tirée dessus quand même et a crachée ses poumons, on a rit…

Je l'ai formé du mieux que j'ai pu pendant une semaine et un jour, en fin d'aprèm, pendant le rinçage des voiles, elle m'a demandée si je sortais le soir et où j'allais, ses parents étaient partis pour plusieurs jours et elle avait envie de sortir, enfreignant les consignes parentales, bien qu'elle soit majeur, ils lui serraient la visse en lui interdisant les sorties nocturnes, mais avec moi elle se sentait en sécurité à ce qu'elle m'avoua, elle voulait que je l'emmène dans les endroits qui bouges la nuit, les endroits interdits par sa bonne éducation, rendez-vous fut pris en ville pour après le diner, j'étais dans un tel état d'excitation qu'une fois rentrer, je me suis branlé sous la douche pour me calmer, il faut savoir raison garder et maitrise de soi dans une telle situation, ne pas brusquer les choses au risque d'apeurer la pucelle et surtout, si l'on passait à l'acte, ne pas laisser déborder l'émotion dans une éjaculation précoce due à l'empressement et à l'émotivité testiculaire…

Nous nous sommes retrouvés à l'endroit prévu, elle portait une petite jupe plissée écossaise sur son petit cul et un gilet en cachemire à même la peau, deux boutons étaient défait, laissant apparaître la naissance de sa poitrine, charmante, ses longs cheveux noir tombant sur ses épaules, ses petites lunettes rondes, son sourire angélique, tout en elle me plaisait, je n'étais pas encore mordu mais pas loin de l'être, nous avons fait la tournée des grands Ducs, commençant par les endroits historiques bourgeoisement fréquentés, puis les estaminets folkloriques marqués par leurs réputations de fiefs Bretonnant, aux couleurs politiques nettement affichées, et aux musiques traditionnelles poussées à fond, Soizic ne buvait pas d'alcool par éducation, mais après avoir par curiosité, osée goutter différents breuvages du bout des lèvres dans mon verre, elle se laissa aller à accepter un chouch (Chouchenn… alcool de miel fermenté au jus de pomme)

Dans notre virée en forme de soirée du patrimoine, je lui présentais quelques camarades et cousins militants de la cause, des sonneurs, des buveurs, des trousseurs, des brasseurs, des rockeurs, elle appréciait ce monde interlope et découvrait qu'elle avait le manque de sa culture, complètement inconnue d'elle auparavant, les verres de chouch l'avait rendu un peu "pompette" comme elle disait, malgré leurs petits quatorze degrés, il était temps de la ramener chez elle avant qu'elle ne tombe en arrière, chose que provoque cette liqueur des Dieux, l'air frais du dehors lui fit du bien, mais elle me prit la main pour marcher droit, en chemin, elle m'invita à prendre un café chez ses "vieux" vu qu'ils n'étaient pas là, j'acceptais avec plaisir, je n'avais pas envie de rentrer me coucher…

Une fois installés devant le kawa, elle me demanda si je voulais voir ses albums de photos de quand elle était petite, je lui dis que oui et elle commença le récit de sa vie illustrée, Soizig bébé, Soizig enfant, Soizig ado, les parents, les grands parents, les tontons et tatas, j'ai vus toute la famille et je lui ai demandé une bière vu que ça m'avait donné soif tout ça, elle est revenue avec ma binouze et un dernier album, celui de ses photos récentes, dont elle me prévins, avec une petite gêne, que j'allais la voir différemment, effectivement, elle posait en maillot de bain deux pièces sur une plage, c'était une copine qui les avait prises, elle prenait différentes poses, comme une mannequin débutante, je me régalait de la voir ainsi, elle qui se cachait derrière sa serviette sur la plage de la crique, je pouvais admirer ses formes, ses courbes, les poils follets qui dépassaient du slip, je la complimentais en bandant sous la table et, dans un moment d'égarement, je lui demandais si elle n'en n'avait pas sans le maillot de bain…

Je fus surpris par sa réponse, le Chouchenn semblait l'avoir en partie désinhibée, rien que déjà pour montrer les photos en maillot, mais là, elle me demanda si je voulais qu'elle me fasse un striptease, j'étais scié, la jeune fille prude était prête à se dévoiler devant moi, prête à se mettre nue, pour garder un peu d'élégance, je lui demandais de mettre de la musique, ce qu'elle fit, puis revenant à moi, elle me demande si j'ai une autre envie, je ne me dégonfle pas et lui dis de monter sur la table et de danser, elle s'exécute de suite, sans protester, je comprend qu'elle me veut, qu'elle va tout donner, elle a décidée que cela devait avoir lieu ce soir et m'a choisie, elle danse en déboutonnant son cachemire bouton après bouton, elle en fait glisser les épaules, balançant ses beaux cheveux de gauche à droite, d'avant en arrière, j'aperçois la blancheur de sa culotte sous sa jupe plissée écossaise, elle est en soutif maintenant, elle fait durer le spectacle et l'attente, Soizig dégrafe sa jupe sur le côté et la voila en culotte, vat-elle aller jusqu'au bout de son délire et enlever le reste…?

Elle vient ce placer juste devant moi en dansant lascivement, faisant onduler ses hanches dans des mouvements d'un érotisme torride, je ne reconnais plus ma petite stagiaire en ciré de voileuse, j'avance les mains pour lui caresser les jambes, elle se laisse faire mais garde les cuisses légèrement serrées, puis elle descend de la table pour venir m'embrasser sur la bouche, un long baisé profond où nos langues s'enroulent, elle s'écarte ensuite de moi et me chuchote de lui enlever le reste, elle n'ose pas le faire, je dégrafe son soutien gorge, ses seins magnifiques apparaissent, je les flatte des mains, les tétons sont turgessant, mes mains glissent sur ses hanches et saisissent l'élastique de la culotte, je la regarde dans les yeux, les siens sont humides d'émotion, elle vie pleinement l'instant, le cœur battant la chamade, cet instant où rien d'autre n'existe que le franchissement de la porte des plaisirs inconnus…

Lentement, délicatement, je fais glisser la culotte sur ses cuisses, son pubis apparait, noir et fournit, comme ses cheveux, je le hume, elle sent bon, la culotte finie sur le sol, elle l'enjambe et viens s'asseoir sur mes genoux pour un autre baisé, je lui demande si ça va, elle fait oui de la tête, je lui demande si elle veut encore danser pour moi sur la table, elle acquiesce et remonte onduler de la croupe et des hanches au dessus de mon visage, elle ouvre plus les jambes qu'au début et je vois le sillon brillant de sa vulve, elle mouille, sa chatte m'attire, je me lève et colle ma bouche sur son pubis, elle avance le ventre vers moi, je hume encore son parfum intime, ce mélange de propre et de désir, ma langue s'insinue, glissant entre les chairs brulantes, elle me passe ses mains dans les cheveux, me plaque à son intimité, elle soupire sous l'attouchement linguée, ma verge durcie me fait mal, coincée qu'elle est dans mon pantalon…

Est-elle vraiment pucelle, c'est une impression que j'ai eu dès le début, mais qu'en est-il réellement, je n'ose lui poser la question, elle descend de la table pour m'entraîner dans sa chambre, elle tamise sa lampe de chevet d'un tissus coloré qui donne à la pièce une chaleur intimiste puis elle entreprend de me déshabiller, ses gestes sont hésitants et maladroits mais j'apprécie ce moment, une fois torse nu, elle s'en prend à ma ceinture et ma braguette, elle a vue la bosse qui la déforme, elle a rougie encore, charmante, au moment où elle fait sauter le bouton du pantalon, le paquet jaillit enveloppé par le tissus de mon slip, elle a un recul, comme surprise et troublée par cette chose cachée qui bouge toute seule, elle ne sait plus quoi faire, elle n'ose plus, ses pudeurs reprennent le dessus, je lui prend les mains et avec elles, je baisse les derniers remparts, ma verge libérée se redresse comme le zébulon du manège enchanté…

Elle m'avoue que c'est la première qu'elle voit en vrai, qu'elle ne sait pas comment on fait, et enfin, elle me dit d'aller doucement car elle est encore vierge, ma première impression était donc la bonne, je l'attire à moi pour un autre baisé profond, mais surtout pour que nos corps se touchent, fassent connaissance, elle est chaude, elle tremble légèrement, elle a sans doute un peu peur de ce qu'un homme peut faire et qu'elle ne connait pas, de ce pieu de chair dont elle sait qu'il est fait pour être introduit en elle, que cette chose va la rendre complètement femme mais aussi qu'elle peut la rendre mère, je comprend son inquiétude, ses hésitations, ses peurs, je ne la forcerai en rien, j'ai encore le souvenir d'un échec malheureux à cause de mes précipitations égoïstes et inexpérimentées de jeune puceau voulant tremper à tout prix son pinceau, que de regrets honteux n'ai-je pas traînés à la suite de cet amour gâché…

Elle se détend maintenant, ma poitrine frotte la sienne, mon bas ventre frotte le sien, ma queue est contre son pubis mais ne cherche pas à la pénétrer, Soizig me caresse les épaules, le dos, descend vers mes fesses mais n'y touche pas, elle finie par s'écarter de moi pour regarder l'objet du désir, elle me dit que ça lui fait "bizarre" de la voir, je lui dis qu'elle peut la toucher si elle veut, ça ne mord pas, elle rit, j'aime son rire discret, emprunt de pudeur et de retenue, elle descend une main sur ma verge, elle la caresse comme un petit animal, du bout des doigts, je lui donne le nom de chaque parties qu'elle touche, prépuce, gland, verge, testicules, elle m'attire sur son lit, nous nous couchons corps contre corps, baisés fiévreux, mains caressantes, elle s'enhardie et me décalotte, mon gland est mouillé de liquide pré-séminale, elle m'interroge, je lui explique…

Mes doigts cours sur son sexe, ses lèvres sont brulantes et mouillées, son clito est dressé, tellement sensible qu'elle fait un bon quand je passe le doigt dessus, je descend entre ses cuisses pour lui donner du plaisir de la bouche, sans que je le lui demande, elle écarte largement les cuisses pour recevoir mes caresses buccales, ça elle a l'air de connaître, aurai-t-elle déjà gouttée à ce genre de plaisir, peut importe, je lui mange la figue, je bois son jus de plaisir, je vais partout, je suis partout, sauf son anus, je n'y touche pas, pas maintenant, pas encore, plus tard, quand elle aura abattue ses barrières, ma langue virevolte, ma bouche ape et suce ses chairs électrisées, son ventre sursaute, elle gémie en disant des mots incompréhensibles, elle a un orgasme soudain, des spasmes inattendus, violents, elle me gicle au visage…

Je remonte me coller à elle, la couvre du drap, je la regarde, elle me regarde, nos regards se parlent, nous restons ainsi un moment, j'ai une sacrée gaule et une grosse envie de la prendre, mais je me contrôle, je frotte juste ma verge contre sa cuisse, elle me la prend dans la main pour me branler mais c'est un peu à sec, je lui apprend à bien le faire, à humidifier de salive ou de mouille, elle s'applique, en bonne élève comme sur le bateau, je n'ai pas l'intention de lui dire de me sucer pour l'instant, pas de précipitations, c'est elle qui en prend l'initiative, timidement, du bout des lèvres, elle suçote mon prépuce, me caresse les couilles, je vois bien qu'elle est en mode observation de la chose, et de ce que provoque ses attouchements, elle découvre, elle apprend, elle teste, je me laisse aller…

J'ai hésité à l'arrêter, c'était délicieux pour une débutante, elle se débrouillait bien, pleine de douceur, attentive à mon plaisir, j'aurai pu me laisser jouir avec sa fellation, mais je la voulais entièrement, elle s'est allongée sur le dos en me disant de la prendre, je lui ai dis de venir sur moi, elle m'a demandée pourquoi comme ça…? Je lui ai rappelé que l'on était en 1977, que les femmes avaient des droits, dont celui de choisir leur plaisir et qu'ainsi, elle pourrai aller à son rythme, se le faire elle-même, c'est maitriser la pénétration et les maux qui accompagnent la première fois, l'amour à la papa, c'était du passé, elle a été d'accord pour venir me chevaucher, je lui ai dit comment faire pour se stimuler et diriger ma verge en elle, après quelques frottements de mon gland sur son entrée, elle a commencée à se laisser glisser sur mon membre, elle s'arrêtait quand elle ressentait une douleur puis continuait son empalement progressif, se penchant vers moi ou se redressant, je sentais la chaleur de son sexe sur mon gland, ses crispations aussi…

Au moment où je m'y attendais le moins, la croyant en pleine difficultés sensitives, elle s'est dépucelée elle-même d'un coup de rein, déchirant son hymen dans un râle de douleur et se laissant tomber sur mon sexe, j'ai eu un peu mal aussi, l'étroitesse de son vagin alliée à la pénétration rapide m'ont déchirés les chairs, j'étais à vif, elle aussi, je lui ai dis de ne plus bouger le temps que ça passe, elle avait des larmes aux yeux, j'ai trouvé cela émouvant, très fort sentimentalement, nous nous sommes embrassés avec fougue, puis j'ai senti son vagin m'enserrer, se contracter autour de ma verge, elle faisait connaissance avec la présence en elle, elle évaluait ce qu'elle pouvait en faire, Soizig a commencée à bouger doucement le bassin, faisant aller et venir la hampe de chair en elle par à-coups, je ne bougeais pas, seules mes mains la caressaient, glissants du dos jusqu'à la naissance des fesses, elle s'est soulevée pour me regarder, m'a demandée si c'était bien comme ça, je lui ai dis de trouver son rythme en lui prenant les seins à pleines mains…

Elle a augmentée le rythme, se désemmanchant presque entièrement et s'enfilant toute ma queue entièrement, elle m'a dit que ça brulait un peu mais que c'était fantastique de l'avoir en elle, je lui ai dis qu'il faudrait s'arrêter avant mon éjaculation, elle m'a dit de la prévenir puis s'est donnée du plaisir en contractant ses muscles vaginaux à chaque vas et viens, pour une pucelle, elle en savait un peu quand même, moi aussi j'étais bien en elle, mais l'angoisse de me lâcher dans son ventre m'empêchait de profiter totalement du plaisir qu'elle me donnait, j'ai senti que ça montait, ma prostate envoyait le signal brulant de l'arrivé de l'orgasme, je me suis écarté d'elle en lui disant "attention", elle s'est tournée pour regarder ma verge en me demandant quoi faire, elle était ensanglantée, je lui ai dis de masturber, elle s'est excusée pour le sang, je lui ai dis qu'elle n'avait pas à le faire, elle m'a branlée quelques instants, j'ai éjaculé fortement, elle a regardée le sperme gicler en me souriant, et m'a remerciée d'avoir fait attention à elle, sur le drap, une orchidée rouge vif symbolisait son passage au statut de femme…

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FDN33 Il ya 4 ans  
mondoi Il ya 7 ans  
clyso Il ya 7 ans  
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clyso Il ya 7 ans  
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arthur Il ya 7 ans  
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clyso Il ya 8 ans  
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clyso Il ya 8 ans  
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patricia6969 Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans  
arthur Il ya 8 ans  
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clyso Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans