Vues: 521 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 7

Nos verges sont encore visqueuses des mouillements de Soizig quand nous réussissons à les ranger à leur place, la maison de Malo est en vue, nous devons reprendre une tenue correcte au cas où sa maman nous surprenne, Soizig se plaint de son entrecuisses trempée par l'écoulement de sa mouille, je l'essuie avec mon mouchoir et à regrets, lui rend sa culotte trempée que je garderai bien en souvenir de ce jour mémorable, nous entrons en silence, pas un bruit dans la maison, nous montons à pas feutrés nous réfugier dans la chambre de Malo, son lit est au sol, un matelas de lit double, de suite Soizig nous y attire, chaude comme la braise, elle nous déshabille, nous la déshabillons, elle nous suce telle une affamée…

Malo me fait un clin d'œil, une allusion à une confidence qu'il m'a faite en chemin, il m'a félicité pour avoir bien formé Soizig à la fellation, il sait que je suis son "premier", puis à l'oreille, il me glisse que j'en ai une belle, je suis étonné, jamais un gars ne m'a dit ce genre de chose, Soizig m'attire vers elle pour un baisé langoureux à la salive mêlée du gout de nos verges, puis elle me prend par le cou et pousse mon visage vers la tige de Malo, je n'avais pas prévus cela, ma Soizig fantasme sur une possible bisexualité de ma part et de Malo…?

Je refuse l'acte d'un signe négatif de la tête, Malo me dit que rien ne m'oblige à le faire, je découvre qu'il est donc complice, je n'aurai pas refusé il se serait laissé faire…?

Soizig reste levrette pour continuer de me sucer pendant que Malo la contourne pour la prendre, comme elle est trempée, il ne s'embarrasse pas de préliminaires et lui sabre la fente d'un coup de reins, elle pousse un râle comme un hoquet, Malo lui demande pardon mais commence à la baiser de suite, agrippé à ses fesses doigts planté dans les chairs, il se met à lui buriner la chatte tel un soudard, Soizig essaye de s'appliquer dans la pipe qu'elle me fait mais les ruades dans son sexe la déstabilise, elle y prend du plaisir, Malo me montre son index qu'il lubrifie de salive et quand je vois sa main partir entre les fesses de Soizig, je comprend qu'il le lui rentre dans l'anus, d'ailleurs, elle me le confirme par un autre gémissement…

Malo la prépare à la sodomie, Soizig, après m'avoir reprochée un jour, avant que je ne parte au loin, de lui avoir fait mal avec une saillie anale mal préparée, semble mieux accepter la chose depuis que Malo le lui a fait avec une extrême douceur, il faut dire aussi que sa verge est moins épaisse que la mienne, dont il semble un peu jaloux d'ailleurs, ou attiré par elle, bref, la taille de la sienne facilite la pénétration rectale et la rend moins douloureuse pour les pucelles de l'œillet, pour les puceaux aussi, Soizig semble avoir décidée de la suite du coït car elle me fait m'allonger, dit à Malo de se retirer, puis vient s'empaler sur mon dard en amazone, elle s'agite un instant sur ma queue, faisant bouger son bassin dans tous les sens…

De haut en bas, d'avant en arrière, en cercle concentriques qu'elle agrémente de contraction vaginales pour mieux me sentir en elle, je vois Malo accroupit derrière elle, il lui lèche l'anus pour qu'elle se détende, Soizig se couche sur moi et cambre sa croupe à la feuille de rose, soudain je l'entends murmurer à Malo de venir, je comprend qu'elle lui offre son petit trou, il se redresse et je le vois diriger sa verge entre les fesses de notre chérie, elle écarquille les yeux quand le membre commence à s'enfoncer, elle dit "Doucement…Doucement…", mais je sens déjà la présence envahissante de la bite de mon ami qui réduit l'espace où se trouve la mienne, Soizig miaule un petit crie de douleur, Malo l'encule jusqu'à la garde…

Je suis à l'étroit en elle mais ce qui me trouble le plus, c'est que le sexe de mon pote se frotte au mien à travers la mince paroi qui sépare le rectum du vagin, me procurant d'autres sensations, donc Malo me donne aussi du plaisir en plus de celui donné à Soizig, je n'ai pas voulu le sucer tout à l'heure mais voilà maintenant que nos verges se touchent, se caressent, la double pénétration n'est-elle pas alors un jeu de bisexualité déguisé, bien qu'il y ai une femme entre nous…? Femme qui d'ailleurs ne se pose sans doute pas cette question, les deux verges en elle l'a comble au plus haut point, on dirait qu'elle sanglote mais ce n'est pas de douleur ou de honte d'être saillie par ses deux orifices, c'est du plaisir qu'elle prend…

La voilà maintenant qui s'agite encore en nous disant de continuer, j'y vais de coups de reins en mouvements du bassin pendant que Malo lui pilonne le cul, elle pousse un long râle et m'inonde le sexe et le ventre de giclées puissantes, elle jouit dans un spasme et s'écroule sur moi, j'entend Malo dire qu'il vient et vois ses ongles se planter dans les fesses qu'il agrippe, j'essaye de retenir mon orgasme, espérant pouvoir aller sodomiser Soizig à mon tours, mais la jouissance montante me surprend par sa force et je me répand en elle par soubresauts, Malo se retire des fesses de Soizig et j'aperçois furtivement sa verge légèrement souillée avant qu'il ne file se la laver, les aléas de ce plaisir si grand et particulier…