Vues: 469 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 6 - Dérapages Contrôlés…

Pour celles et ceux qui n'ont pas encore lus les Chapitres précédents sur mes chaudes aventures amoureuses avec Soizig, j'en fais un petit résumé rapide pour qu'ils y voient plus clair et aient envie d'aller lire d'une main l'histoire depuis le début, cela peut paraître long mais quand on aime on ne compte pas, et puis il y avait de l'amour dans cette relation, de l'amour "avec du poil autour" comme disait une concierge Portugaise que j'avais bien connus, Soizig était une belle brune allant sur ses dix neuf ans quand je l'avais connus, pucelle pourvue d'une magnifique poitrine et d'un sombre buisson très fournit et soigneusement entretenu au milieu duquel coulait une rivière de sève bouillonnante…

En descendant du train qui me ramenait pour la dernière fois de mon affectation militaire, je regardais Soizig qui m'attendait sur le quai et ne retrouvais pas sur son visage les marques habituelles de son plaisir à me retrouver, à peine souriait-elle de me voir en uniforme, tenue dans laquelle elle ne m'avait pourtant jamais vue, un pincement au cœur et une barre au ventre me prévenaient de quelque chose, mais de quoi…? C'est en marchant vers le centre ville que Soizig m'avouait, tremblotante d'inquiétude, m'avoir trompée avec mon meilleur copain, Malo, nos derniers pas vers l'estaminet où nous avions rendez-vous avec lui, se firent en silence, une fois assis, Soizig me demandait si je lui en voulais…

Bien sur ai-je répondu, mais sans rage ni colère, calmement, je n'étais pas blanc-bleu quand à mes humanités d'outre mer, je l'avais trompé également, mais pas avec sa meilleurs copine, simplement avec quelques femmes joyeuses rencontrées dans les bouges à marins et les rues de la soif, l'amour à cinquante francs debout et cent francs sur les cartons, la chair est faible quand on s'éloigne longtemps de sa blonde, mais ce n'est pas une excuse, je ne lui faisais aucun reproche, elle aussi s'était sentie seule en attendant mon retour et son choix de prendre Malo comme amant l'avait peut-être rapprochée de moi en pensés et en actes, je trouvais même que cela l'avait rendue plus sure d'elle, plus mature, la suite allait me le prouver…

A peine lui avais-je dis ne pas trop lui en vouloir, qu'elle m'annonçait que de sortir avec Malo et Moi en même temps ne la dérangeait pas, si j'étais d'accord bien sur, là, re-coup au cœur, je ne m'attendais pas du tout à une telle proposition de sa part, elle si timide et réservée quand je l'avais quitté pour embarquer la dernière fois, Soize, ma pucelle, me proposait un ménage à trois dont je ne connaissais l'existence et le possible que dans les livres de fesses, voilà que resurgissaient en mon esprit certaines chaudes images érotiques et de jeux d'accouplements auxquels elle semblait vouloir se livrer avec nous, je me surpris à commencer de bander dans mon pantalon sous la table, bien sur que j'acceptais son invitation…

Sur ces entre-faits, Malo arrive et s'assied à la table, légèrement penaud, il me demande pardon pour avoir profité de mon absence pour sortir avec Soizig, j'évite de le moucher en lui répondant, Sortit et " Monter dedans", comme on dit à Brest, je le traite juste "d'Enculé", mais gentiment, s'est quand même mon pote et au vues de ce que propose Soizig, je ne vais pas gâcher une expérience possible et excitante, nous nous serrons chaleureusement la main et roulons une pelle à Soizig chacun notre tours, puis commandons à boire, Soizig pousse un gros soupir en nous disant qu'elle est contente que tout ce passe bien entre nous et sans bagarre, je lui glisse discrètement une main sous la jupe, sa culotte est déjà humide…

La soirée n'est plus alors que ripaille et câlineries, nous fêtons ma "Quille" mais aussi nos retrouvailles et le pacte que nous venons de lier tous les trois, en paroles bien sur, sans nous saigner au couteau pour mélanger nos sangs, car nous savons que plus tard, nous allons mélanger mouillements et semences, la bière coule à flot, nous devenons une sorte d'attraction pour ceux et celles qui sont dans le bar, j'ai encore mon uniforme sur le dos et beaucoup veulent me toucher le pompon, mais ce qui les intriguent le plus, c'est de voir Soizig aller de moi à Malo et réciproquement, pour nous rouler des pelles de quinze et le tout sans aucune gêne, le taulier a mit la zique à fond, ça dance et ça paluche de tous les côtés…

Mais tout a une fin et le bar finit par fermer, nous prenons alors le chemin du retour pour accompagner Soizig jusqu'à chez elle, mais la "gueuze" ne veut pas rentrer, elle veut rester avec nous pour finir la nuit, impossible d'aller chez ses parents, pas plus que chez les miens, Malo, qui n'a que sa mère et son frère ainé dans une grande maison, nous invite chez lui, sa maman est très tolérante, alors nous voilà en route à travers la campagne pour gravir à pied le mont qui domine la ville, nous sommes euphoriques pour ne pas dire autre chose, Soizig est presque totalement désinhibée et quand les effets de la bière se font sentir, nous sortons nos verges qu'elle vient tenir pendant la miction, puis elle se déculotte pour faire…

Elle pisse accroupie devant nous dans une cataracte chuintante et nous essuie le gland de la bouche, le nettoyage se transforme en double fellation, allant d'un sexe à l'autre, puis nous la relevons pour la pencher contre un arbre, et après lui avoir aussi essuyés la vulve de notre bouche, nous la prenons tours à tours, quand l'un est en elle, Soizig suce l'autre, son anus est visité d'un doigt, elle gémie et se donne en nous tendant sa croupe et sa fente à remplir, soudain un bruit venant d'une maison proche nous met en alerte, je me retire de Soizig et ramasse sa culotte tombée au sol, Malo essaye comme moi de ranger son engin mais l'érection rend le pliage impossible, nous nous enfuyons au petit trot, la bite à l'air, en riant aux éclats…