Vues: 459 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 9

Apaisés, assis sur le lit, nous prenons un café avec un bout de gâteau(Breton) tout en fumant une cigarette, sauf Soizig qui ne fume pas, il y a comme un silence gêné entre nous, une fois passé l'exultation des corps, il est plus difficile d'aborder le sujet sur la déviation sexuelle que nous venons de vivre, je sens que Malo et Soizig me regardent mais j'évite leur regard, je suis encore troublé d'avoir pris du plaisir sous les attouchements d'un gars et d'une fille, c'est ma première fois, je ne suis pas attiré par les hommes mais ce détours hors de mon hétérosexualité m'interroge, je me dis que cela est comme le pot de confiture où l'on vient de tremper le doigt, on ne peut pas résister à le retremper encore et encore…

C'est Soizig qui rompt le silence…

- Hummm… J'ai beaucoup aimé… et vous les gars…?

- Heu… Oui… c'était différent… répond Malo en rougissant

- Et toi Mondoi…? Tu ne dis rien…? Tu as aimé avec nous deux…? me demande Soizig d'une voix douce

- Heuuu… C'était spécial… Je n'ai pas l'habitude…

- Tu as jouis sans savoir par qui… c'est cela qui te gêne…? interroge-t-elle

- Hum… Oui… un peu…

- Tu aimerais le refaire…? me demande-elle sur un ton affectueux

- Je ne sais pas… C'est trop nouveau pour moi…

- Rien ne t'y oblige…T'inquiète… me dis Malo qui était resté silencieux

- Oui…Bien sur… ajoute Soizig

Nous en restons là pour le reste de la semaine, j'ai des entretiens pour du travail et Soize a ses cours, ce n'est qu'arrivé le w.e que nous nous retrouvons, Malo passe me chercher chez mes parents pour aller chez lui, en chemin, il me redit en rougissant qu'il a aimé l'expérience masquée de l'autre jour et que j'ai vraiment une belle gaule, il m'avoue m'avoir prit en bouche pendant que j'avais le visage sous l'oreiller et qu'il a aimé me le faire, il précise qu'il n'est pas homo mais que c'était une envie de Soizig, d'ailleurs c'est elle qui a avalée mon sperme, je ne sais pas ce qui ce passe en moi mais rien que d'en reparler, les sensations de ce moment me reviennent, une chaleur m'envahit la poitrine, le ventre et les boules…

Un peu plus loin, nous faisons un arrêt pipi contre un talus, je le vois regarder mon jet et ma verge, en riant, il me propose même de me la tenir, en riant également, je lui demande si c'est aussi une "envie" de Soizig que de me faire cela, il ne me répond pas et tend le bras pour me la saisir entre ses doigts et secouer les dernières gouttes, il finit sa miction et commence à me branler, je lui demande si ça va bien dans sa tête, quelqu'un pourrait passer et nous voir, il me répond qu'il a envie de la voir bandée et m'entraîne vers un bosquet d'arbres en haut du talus et là, il me prend en bouche direct en me masturbant et en me massant les testicules, il a beau y mettre toute son énergie que rien n'y fait, je ne bande pas…

Lui par contre, affiche une verge raide et tendue qu'il a du mal à ranger quand je lui dis d'arrêter et que je me rebraguette, il semble déçu, je lui redemande s'il "en est" à ce point là car je peux comprendre qu'en présence de Soizig et dans un contexte sexuel à trois, lui et elle aient des envies hors normes mais là, me regarder pisser, vouloir me la tenir, et ensuite me la sucer, je trouve qu'il va loin, il me répond qu'il n'aime pas les hommes mais qu'une belle bite bien dure ça le fait bander et qu'il a des envies de toucher et de sucer, voir même plus, surpris, je lui demande ce que veut dire le "même plus", il me répond que je sais bien de quoi il parle, je lui dis que non, il me fait alors une allusion au dépucelage anal de Soizig…

J'en reste sans voix et les bras ballants, Malo, mon copain, mon frangin, mon poteau, veut goutter du poireau… C'est ce que je lui fredonne en reprenant le chemin vers chez lui, ça le fait rigoler, il a l'air content de m'avoir révélé ses désirs intimes, il est comme libéré d'un poids, je ne m'en serai jamais douté, lui si pudique aux douches du vestiaires de notre équipe de handball, ou alors, je n'y ai pas fais attention, peut-être matait-il les bites discrètement, en tous cas, lui se tournait toujours face au mur pour enlever son caldé, j'avais dû voir sa queue une fois ou deux pendant une pause pipi un soir de cuite, et voilà que maintenant il fantasmait sur la mienne pour lui faire le petit trou, Malo, mon frangin, mon poteau…

Quand nous arrivons chez lui, Soizig est déjà là, nous la trouvons dans la cuisine en pleine discussion avec la maman de Malo, qui d'ailleurs nous fait comprendre que c'est une discussion entre femmes et que nous pouvons monter écouter de la musique en attendant notre amie, nous ne sommes pas étonnés plus que ça, c'est chose courante par chez nous que les mères cherchent à mieux connaître la petite amie de leur fils, surtout que là elle se doute bien un peu que Soizig sort avec nous deux, elle a certainement des choses intimes à lui demander et lui dire, nous montons nous affaler pour écouter de la zique en feuilletant des bouquins, Malo sort quelques revues exotiques d'une cachette, des photos de belles filles déshabillées…

Nous sommes dans les années 70, pas de magnétoscope ni d'internet à cette époque, l'éducation sexuelle des garçons et des filles se fait en lecture d'une main sur support papier mais est déjà chronophage, je ne sais pas ce que regarde Malo mais cela doit être suffisamment plaisant pour provoquer la bosse qui déforme sa braguette, pour ma part, je feuillette une revue connue où l'on trouve des images et des textes érotiques qui provoque chez moi le même effet, à un moment, je relève la tête pour m'allumer une cigarette et m'aperçois que le Malo à ouvert le devant de son pantalon pour en extraire son sexe qu'il caresse de ses doigts, voyant que je l'ai vus, il me demande si cela me dérange, je lui dis que non…

Il m'invite à faire de même si j'en ai envie et continue sa lecture manuelle, je n'ai jamais vus un gars se masturber devant moi et bien qu'il m'ai sucé la verve l'autre jour, cela me trouble, j'ai du mal à me concentrer sur le texte de fesse que je lis et ne peux m'empêcher de jeter un œil vers lui de temps en temps, il s'est décalotté et s'humidifie le gland et la tige de salive avec la pulpe des doigts, j'hésite à faire de même, préférant me réserver pour Soizig qui m'a promit son petit orifice l'autre jour après l'avoir offert à Malo, je la sais rétissante à ma verge à cause de sa taille, surtout mon gland, et je sais par expérience que si je venais à éjaculer pendant ma lecture, je serai plus long à venir dans son rectum, ce qui l'irriterai…

Mais la chair est faible, je sors quand même ma verge lors d'un passage racontant le coït d'un trio de deux femmes et d'un homme, Malo me regarde me caresser un instant puis revient à la charge pour ce qu'il voulait me faire dans le chemin, il rampe vers ma tige, y dépose des succions et des coups de langue agréables, alors je me laisse sucer tout en lisant le texte, je dois reconnaître que sans le regarder faire, la fellation qu'il me fait ressemble à celles de Soizig et je ne tarde pas à me laisser complètement aller, la tête en arrière et les yeux fermés, je déguste la pipe qu'il me fait en laissant monter le plaisir, je le préviens que je vais éjaculer, il me garde en bouche et reçoit mon éjaculation qu'il avale, merci Malo, lui dis-je après…

Il c'est passé une bonne heure entre notre arrivée et mon éjac et Malo se demande ce que font sa mère et Soizic pour qu'elle ne soit toujours pas montée nous rejoindre, il descend voir ce qui ce passe et remonte dans la minute, rouge et les yeux rieurs, je lui demande ce qui ce passe, il me répond que je ne le devinerai jamais, j'insiste sans extrapoler sur des fantasmes lesbiens ou autres, s'est quand même sa maman, là il éclate de rire et me révèle à voix basse que sa mère à proposée un lavement à Soizig et qu'elle l'a acceptée, il m'explique que sa maman, bien que d'esprit ouvert, est très à cheval sur l'hygiène intime et que ça ne l'étonne pas, il y a quelques années, elle lui en faisait encore, ainsi qu'à son frère…