Rosaline
Première séance
Rosaline savait que pour vraiment pratiquer une séance de masochisme, elle ne devait pas le faire avec ou en présence de son amoureux. Ces choses-là ne demandaient pas de douceur ou de romantisme, inutile donc de lui demander ou même de lui en parler.
Voilà pourquoi elle se retrouva, une semaine plus tard, dans cette pièce d'un établissement qui offrait des services bien particuliers, et qui correspondaient bien à ce qu'elle recherchait.
Le jeune homme qui allait s'occuper d'elle pendant sa séance l'avait installée sur une table matelassée. Pour voir ses fesses comme elle le souhaitait, il l'avait tournée sur le côté, et lui avait replié complètement la jambe du haut.
-C'est une position qui est aussi très utilisée pour les lavements, lui expliqua l'homme tandis qu'elle attendait.
Le cœur de Rosaline battait à bonne cadence dans sa poitrine, effet combiné du stress et de l'excitation du moment.
Par mesure d'hygiène, l'homme enfila une paire de gant médicaux. Ses gestes étaient très professionnels, et étaient effectués sous le regard de Rosaline. Ensuite, il sortit d'un tiroir un tube de vaseline, et en dévissa le bouchon. Au moment où il allait faire tomber un peu du lubrifiant sur ses doigts pour s'en étaler dessus, elle l'arrêta.
-Non, pas de ça, fit-elle.
L'homme parut surpris de cette demande.
-C'est juste de la vaseline utilisée comme lubrifiant, expliqua-t-il, rien de plus.
Il allait poursuivre son geste, mais Rosaline insista.
-S'il-vous-plaît, pas de lubrifiant, fit-elle. Je veux que ça fasse mal.
Cette fois, il parut encore plus surpris, mais accepta sa demande et rangea le tube de lubrifiant dans le tiroir.
-Bon, comme tu veux. Dans ce cas, je vais commencer. Tu risques de trouver ça vraiment désagréable, tu sais ?
Rosaline resta indifférente.
-Je m'en fiche, c'est ce que je veux.
L'homme fit le tour complet de la table, pour aller se placer derrière elle, au niveau de son fessier. Dans la position de Rosaline, celui-ci était bien écarté et rendait son trou du cul bien visible.
L'homme devina sans problème que sa cliente était inexpérimentée : elle était arrivée comme ça, sans préparation, et avait voulu passer à l'action sans même aller aux toilettes avant. En plus, elle lui demandait quelque chose que même les plus endurcies redoutaient : un doigt dans le cul à sec ! Elle semblait beaucoup trop détendue pour avoir déjà pratiquer ça avant. En écartant un peu la peau autour de son anus, il remarqua aussi qu'elle était probablement vierge de son petit trou. A coup sûr, elle allait vraiment trouver le geste désagréable ! En pensant à cela, l'homme sentit une bosse se former dans son pantalon : dans son travail au sein de cet établissement, peu de choses l'excitaient autant que de "forcer" l'anus d'une femme !
Tout en maintenant la peau de son anus tendue, il tendit ses deux doigts, index et majeur, collés l'un à l'autre, et les plaça sur son petit orifice. Il commença par y faire quelques petites pressions répétées, pour l'avertir que la pénétration allait arriver.
Rosaline était terriblement excitée, plus tôt dans la journée, à l'idée de ce qu'elle allait faire. Maintenant que l'homme lui titillait l'anus en vrai, elle était encore plus excitée, et sentit son entrejambes devenir humide. Elle y porta une main et commença à se masturber doucement.
Alors qu'elle prenait un plaisir énorme à se masturber tout en se faisant tripoter l'anus, Rosaline se raidit : une douleur fulgurante la parcourut en une fraction de seconde !
-Ouaille !
Elle avait criée sans le vouloir, et avait voulu par réflexe se dégager immédiatement après avoir ressentit l'intrusion dans son cul. L'homme, qui avait anticipé sa réaction, avait aussitôt retiré son doigt et avait maintenu sa cliente par la taille et les épaules pour l'empêcher de tomber de la table.
-Oh, c'est horrible ! ça brûle ! Fit Rosaline en portant aussitôt sa main à son derrière comme pour se protéger.
L'homme la tenait fermement, appréciant discrètement la réaction de sa cliente.
-Je t'avais pourtant prévenu que ce serait désagréable, ce que tu demandais.
Une fois qu'elle fut calmée, il la lâcha, et retira ses gants, dont l'un comportait à présent quelques tâches brunes. Il lui laissa le temps de reprendre ses esprits, et en profita pour jeter les gants médicaux dans une poubelle.
Rosaline était descendue de la table. Complètement nue, elle gardait encore sa main à son anus en faisant les cents pas dans la pièce.
-Vous avez quelque chose pour calmer la douleur ? Demanda-t-elle. Je suis désolée, je ne pensais pas que ce serait si fort.
-Tu as très mal ?
-Oui, répondit-elle en hochant la tête.
L'homme se retourna alors, et ouvrit un autre tiroir.
-Je vais te donner un suppositoire contre la douleur, expliqua-t-il, ça devrait te calmer.
Rosaline s'arrêta de marcher.
-Un suppositoire ?
-Oui. C'est comme de l'aspirine. Il va fondre dans tes fesses, et ça va calmer la douleur. Tu seras un peu dans les vappes, aussi.
L'homme avait sortit du tiroir une plaquette de suppositoires, et en sépara un des autres à l'aide d'une paire de ciseaux. Il déballa ensuite devant Rosaline la petite fusée blanche.
-Tu préfères le mettre toi-même, ou tu veux un peu d'aide ?
-Euh, vous pouvez me le mettre, répondit-elle.
-Ok, alors vas te placer contre la table, et penche-toi dessus.
Elle se mit sans discussion dans la position demandée, et l'homme vint se placer derrière elle pour lui écarter un peu les fesses. Son anus était un peu rouge à cause de la pénétration à sec, mais il n'y avait pas de lésions apparentes. Il posa la pointe du suppo dessus, et se prépara à l'enfoncer.
-Pousse un peu, demanda-t-il.
L'anus s'écarta un peu, et il en profita pour enfoncer lentement son doigt, accompagnant le médicament dans son derrière de quelques centimètres, juste assez pour qu'elle ne l'expulse pas.
-Maintenant, serres les fesses.
Sentant son muscle anal se resserrer autour de son doigt, il le fit glisser dehors doucement.
-Voilà, c'est fait, il est mis.
-Merci.
Rosaline se posa sur une chaise, et sentit presque immédiatement l'effet du suppo. Au bout d'un moment, elle sentit pendant quelques secondes sa tête tourner, mais ce ne fut qu'éphémère.
-Bon, tu veux t'arrêter là ? Demanda l'homme. Il reste encore une bonne demi-heure avant la fin de la séance.
-On a le temps de faire encore quelques trucs ?
-Pour ton cul, je pense que ça ira pour aujourd'hui, conseilla-t-il. Si tu veux retenter cette expérience lors d'une prochaine séance, je te conseille de réserver deux heures, comme ça on pourra y inclure la préparation.
Rosaline sentit à nouveau des frissons d'excitation l'envahirent. Entendre parler l'homme de ce qu'il allait lui faire était parfois plus plaisant que l'action en soi, elle venait d'en faire l'expérience aujourd'hui !
Tout en restant sur sa chaise, elle écarta ses cuisses assez largement, et reprit sa masturbation, sous les yeux du jeune homme.
-Vous pouvez me raconter en quoi consiste cette préparation ? Demanda-t-elle en poursuivant son geste.
Il baissa un moment les yeux, se gratta la tête, et redirigea son regard vers elle.
-Ok, je vais te raconter. Pour commencer, je t’emmènerai faire un tour aux toilettes, pour te vider complètement le cul.
Il marqua une pause. Elle, de son côté, continuait à se masturber en l'écoutant.
-Humm, fit-elle. Me vider le cul... Avec un laxatif ?
-En général, les clientes apprécient mieux les lavements. Mais si tu préfères les laxatifs, c'est possible.
-Et après ?
-Après, je t’installerai comme aujourd'hui, sur la table. Je commencerai par te dilater un peu le cul. En utilisant de la vaseline, cette fois.
-C'est douloureux ? La dilatation ?
L'homme hocha la tête.
-Oui, ça peut l'être, si tu le souhaites. Sinon, je peux aussi le faire progressivement en étant très doux.
-Je préfères que ça me fasse un peu mal quand même, répondit-elle. Mais pas autant qu'aujourd'hui, par contre.
-C'est possible.
-Et ça se passe comment, la dilatation anale ?
-Et bien, d'abord, c'est avec les doigts, un peu comme aujourd'hui, mais plus doucement. Après, je commence à utiliser des accessoires : des plugs anals par exemple.
-Hmmm, et c'est possible d'utiliser des accessoires, disons... plus naturels ?
-Tu parles d'une sodomie ?
Elle hocha à nouveau la tête.
-Oui, c'est ça.
-C'est aussi un service proposé ici. Il se pratique avec le port d'une capote, bien sûr.
Curieuse, elle fit un mouvement de tête vers son entrejambes.
-Faites-moi voir ? Demanda-t-elle. Votre engin...
-D'accord.
L'homme déboutonna son pantalon, et sortit sa queue de sa braguette, bien tendue.
Rosaline sourit. Son sexe était assez gros, ce qui était sans doute normal pour un homme travaillant ici. Se faire sodomiser par cet engin promettait là aussi des sensations hors du commun ! Elle continua de se masturber en regardant le sexe de l'homme, jusqu'à finalement jouir.
-Très bien, fit-elle, un peu essoufflée, en se levant. Je veux qu'on fasse tout ça à la prochaine séance.
Bravo pour cette période deux !
Les deu…
Traduit de l'anglais...? Trop fort... …
Bonjour,
pour répondre à la question de…
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