Biographie d'un infirmier militaire
épisode 9 : Premiers pas
Le soir même, dans la salle du fond, j'étais nu sous une couverture avec Coralie pour notre rendez-vous quotidien après le travail. Ayant toujours la visite médicale du matin en tête, une idée me démangeait, et pendant nos câlins préliminaires, mon doigt se glissa volontairement à plusieurs reprises entre ses fesses, sans oser m'arrêter directement en face de son trou.
Comprenant mon manège rapidement, elle se retourna gentiment après plusieurs bisoux et plaqua son dos contre mon torse. Mon index restait entre ses fesses et caressait de temps en temps son petit orifice. Comme elle restait silencieuse, je ne savais pas si elle serait consentente ou si elle serait vexée si j'y rentrais mon doigt.
Je déposai plusieurs baisers sur sa nuque en continuant mes petites caresses anales.
-Vas-y, souffla-t-elle.
Je stoppai mon doigt contre son anus. Elle m'avait donné le feu vert. Grâce au lubrifiant de ce matin, je n'eus aucun problème à la pénétrer du doigt. Son rectum était chaud, et son petit muscle rond et resserait doucement sur mon index durant mes mouvements. C'étais la première fois que je touchais une femme de cette façon pour le plaisir, ainsi je pus pleinement en profiter en la taquinant un peu du bout du doigt.
Après quelques minutes, elle posa sa main sur la mienne et la tira en arrière pour sortir mon doigt, puis se retourna pour me faire face. Son sourire séduisant était toujours présent sur son visage.
-C'est tout pour aujourd'hui, chéri. Maintenant occupes-toi de ce côté, fit-elle en m'enlaçant avec ses longues jambes.
Elle essaya de se mettre dans la bonne position pendant que je la guidais en la soutenant par la taille, puis une fois nos repères retrouvés et nos corps fusionnés, je lui fis l'amour comme elle l'avait souhaité, balançant mon corps au rythme de ses gémissements. Je profitai de la situation en insérant une nouvelle fois mon doigt dans son cul, mais elle ne semblait pas le remarquer et continuait de s'aggripper à mes épaules. Je retirai mon doigt et cela lui fit lâcher un pet, puis je décidai d'arrêter pour ne pas qu'elle se sente gênée.
On termina nos ébats, nos deux corps transpirant, et chacun se laissa s'écrouler dans les bras de l'autre pour une petite sieste bien méritée.