Vues: 660 Created: 2010.07.21 Mis à jour: 2010.07.21

Biographie d'un infirmier militaire

Épisode 10 : Petite fièvre

Encore quelques jours étaient passés sans qu'il n'y ait de nouveautés. Nous continuions chaque jour des tâches diverses. Avec Coralie, notre nouveau jeu sexuel était resté de planter des doigts dans le derrière de son ou sa conjointe avant et pendant nos rapports, sans aller plus loin pour l'instant.

Pendant cette période calme, Sylvia et Coralie en avaient profité pour partir commander des nouveaux matériaux pour les locaux dans un autre camp militaire.

Le jour de leur retour, je me réveillai avec un horrible mal de tête. Enora remarqua tout de suite que j'étais malade quand je lui annonçai que je n'avais pas envie d'aller prendre mon petit déjeuner.

Elle qui était plutôt de nature distante avec moi, vint gentiment s'asseoir près de mon lit et posa sa main sur mon front.

-Tu es un peu chaud. Tu veux que je vérifie ta température pour être sûr ?

-Oui, s'il te plaît.

-Ok, je reviens, le temps d'aller chercher un thermomètre et de quoi te remettre sur pied.

J'espérais recevoir le fameux thermomètre rectal par les soins de la petite Enora, mais en revenant dans la chambre elle préféra me le mettre dans la bouche, m'assurant qu'il était propre. Elle ne souhaitait probablement pas me toucher au derrière.

Tout en maintenant la tige de verre dans ma bouche, elle suivait la jauge de mercure. Dans cette position, presque penchée sur moi, je voyais quasi entièrement ses deux gros seins sous sa chemise.

-Oups, désolée, fit-elle en se redressant pour refermer quelques boutons. Attention où tu balades tes yeux !

Je rougis de honte qu'elle m'ait surprit en train de la mater, mais elle ne semblait pas fâchée pour autant. Elle retira le thermomètre et lut la température.

-Et bien mon pauvre ! Tu as 39.5 de température ! Je crois que tu va rester au lit aujourd'hui. En attendant tu vas prendre un suppositoire contre la fièvre.

J'écarquillai les yeux de surprise. Recevoir un suppositoire par Enora ! Je n'en attendait pas autant de sa part, ça promettait de me laisser de bon souvenirs !

-Quoi ? Fit-elle en me voyant ainsi étonné. Tu veux que je demande à Lucie ou Théo de s'en occuper ?

-Non, c'est bon je veux bien en avoir un.

-D'accord, dit-elle en déballant un suppositoire qu'elle avait apporté.

Le médicament était tout blanc : je reconnus sur l'emballage que c'était un doliprane.

-Retournes-toi sur le ventre. [...] Ok maintenant pousses un peu.

Après qu'elle m'avait baissé mon caleçon, je sentis le petit suppositoire me rentrer dans le cul d'un centimètre environ, puis le doigt puissant d'Enora vint se planter alors que je poussais. J'attendis mais elle ne ressortait pas son doigt.

-Qu'est-ce que tu fais, Enora ?

-Ça te fait plaisir, hein ? Allez avoue-le.

Je m'attendais à tous sauf ça, et ne savais par conséquent quoi lui répondre. Elle n'enlevait toujours pas son index.

-C'est gênant Enora. Je sors avec Coralie...

-Je sais, mais elle n'est pas là aujourd'hui, et je ne lui dirai rien c'est promis.

Elle remua son doigt dans mon rectum.

-Alors ? Tu n'as pas encore répondu. C'est agréable ?

-Oui, c'est plaisant, avouai-je enfin.

Elle retira alors son doigt, et glissa sa main sous mon corps, atteignant mon pénis en pleine érection.

-Ouah, je vois ça ! Coralie ne te fais pas de petites gâteries comme ça pour s'occuper de toi ?

C'était gênant, et je n'avais pas vraiment envie de lui résister en même temps.

-Si, mais je n'ai pas vraiment envie de parler de ma relation avec elle, c'est notre vie privée.

Enora me retourna, elle paraîssait étonnée.

-Tiens, je ne pensais pas qu'elle était comme ça. Je la voyais plutôt comme une petite infirmière bien sage. Mais si tu veux, je peux faire mieux si tu aimes ça.

-Non merci, Enora, si on nous surprend ainsi...

-Ne t'en fais pas, me coupa-t-elle. Personne n'en saura rien, et c'est juste pour s'amuser entre nous, d'accord ?

Son sourire était si irrésistible que je finis par hocher la tête.

-Ok, juste pour s'amuser alors.

-Oui, ce sera notre petit secret !

Elle m'accompagna en bas, et annonça aux autres qu'elle allait me soigner en salle d'examen. Les autres ne se posèrent aucune question en voyant mon visage pâle. Une fois là-bas, elle ferma la porte à clé et me fit coucher sur la table.

-Allez, retires-moi ce caleçon, mon grand. Je vais te préparer un bon lavement.

-Un lavement ?

-Oui, je suis sûre qu'un bon litre d'eau te fera le plus grand bien.

Elle était maintenant penchée au-dessus de l'évier, dos à moi, et commençait les préparatifs. Je me levai et allai observer ce qu'elle faisait. En me penchant par-dessus son épaule, je laissai ma main se poser sur sa croupe. Elle ne fit aucune remarque, se contentant de sourire en sentant le contact de ma paume, et après avoir assemblé un nécessaire à lavement, s'occupait de le remplir d'eau.

Je passai sous sa jupe d'infirmière et glissai main dans sa culotte, sans la faire réagir plus que ça. J'avais du mal à y croire : je venais de glisser ma main sur le cul d'Enora, je sentais ses petites fesses douces et fermes sous ma paume !

-Tout est prêt pour ton lavement. Il ne reste plus que toi.

-Je m'installe comment ? Demandais-je, n'ayant jamais pratiquer de lavement.

Elle m'expliqua qu'il fallait que je m'allonge sur le côté, les deux genoux repliés sur moi-même, et m'aida à me mettre en position.

Enora m'étala d'abord beaucoup de vaseline, elle rentrait son doigt et le sortait, en appuyant de temps en temps sur ma prostate, ce qui me donnait l'impression d'éjaculer.

-Tu fais ça souvent ? Lui demandais-je.

-Quoi ? Des lavements ? Oui ça m'arrive, fit-elle d'une voix neutre. Les prisonnières qui refusent d'aller à la selle devant tout le monde en prison ne sont pas rares, il faut bien les déboucher !

-Non. Je veux dire ... une partie de plaisir avec quelqu'un d'autre.

-Tu penses à Théo ? Non, je n'ai jamais rien fais avec lui, il est trop orgueilleux. Je préfère les hommes plus timides comme toi.

Je sentis mon muscle anal s'écarter davantage : Enora continuait le massage et venait de planter un deuxième doigt dans mon derrière.

-Ça va, pas trop mal ? À moins que tu ne veuilles avoir mal ? Demanda-t-elle en forçant avec ses deux doigts.

-Ok, Enora, mais n'y va pas trop fort non plus.

Elle ajouta progressivement deux autres doigts. Mon muscle rond commençait à me brûler. Pendant un moment j'ai cru qu'elle comptait mettre son poignet entièrement mais elle stoppa le massage et me montra une canule bien trop grosse pour être à but purement médical.

-Allez, on va te planter ça dans ton culcul, dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

Ses mains étalaient de la vaseline sur l'engin. Elle se remit derrière moi et écarta mes fesses, puis fit passer le canule en force malgré la dilatation précédente.

-Alors, prêt à recevoir l'eau ?

-Oui, je n'attend que ça !

Elle ouvrit le robinet, et je sentis le liquide tiède inonder mon intestin. Enora commença à me masturber pendant le lavement, et reçut bientôt sans s'y attendre toute ma semence sur les avants-bras. Elle s'essuya à l'aide de mouchoirs et prépara une bassine, me rappelant les conséquence d'un tel lavement.

Quand le bock fut vidé, elle m'installant cette fois debout et légèrement retiré en arrière, le cul au-dessus de la bassine. Elle tira sur le canule et libéra ainsi mon anus qui laissa passer un flot d'eau et bientôt de selles, je ne pouvais plus m'arrêter, l'envie de me soulager était trop forte. Enora me soutenait sous les bras pendant que je terminais d'évacuer.

Puis vint le moment où elle m'annonça que c'était finit. Elle nettoya tout et me rendit mon caleçon pour que je regagne ma chambre, me conseillant de rester au lit la journée.