Visite médicale du travail
Chapitre 1
J'étais à l'époque thésard, dans un laboratoire de physique du CNRS. J'avais 24 ans. Ma collègue de bureau Anne-Marie et moi avions dû partir en mission pendant deux semaines pour une conférence et quand nous sommes rentrés au bureau, nous avions chacun une convocation pour la visite médicale du travail. Nous avions rendez-vous le même jour, même heure, 14h, au centre médical.
Le jour venu, nous déjeunâmes ensemble, comme tous les jours et nous partîmes, ensemble, donc, pour nous rendre au centre médical.
Je suis dans ce laboratoire depuis moins de 4 ans. C'était pour moi la première fois que je devais passer ainsi la visite. Ma collègue, la trentaine avancée, l'avait déjà passée à plusieurs reprises. Je ne gênais pas avec elle car nous avions lié une certaine amitié. Mais cela me gênait quand même de lui montrer mon inquiétude. J'essayais tout de même de savoir comment cela se passait, étant de nature anxieuse devant les examens médicaux. Elle me dit que cela durait une heure avec la prise des urines et l'attente.
- On doit pas se mettre à poil ? lui demandai-je sur le ton de la plaisanterie.
- En slip, si.
Je pris l'air étonné. Elle reprit :
- L'année dernière, on ma bien regardée sous toutes les coutures...
Nous étions arrivés. Nous nous présentâmes à l'accueil. Des locaux froids, un accueil froid. On nous donna un flacon pour l'urine et des formulaires à remplir et on nous indiqua une salle d'attente.
Dans le formulaire figuraient les antécédents chirurgicaux. Je mentionnais ma hernie inguinale que j'avais eue enfant et dont la cicatrice était maintenant dans les poils pubiens. Je jetais un oeil sur celui d'Anne-Marie qui mentionna qu'elle avait eu un kyste sur un ovaire. Je songeai aussitôt à la batterie d'examens désagréables qu'elle avait dû subir.
On nous appela froidement et en même temps :
- Cabine 3 pour vous. Cabine 4 pour vous. Vous avez bien vos flacons d'urine ? Vous vous déshabillez. Vous gardez uniquement vos sous-vêtements. Le docteur vous appellera. Ce sera d'abord vous, madame. Puis vous.
Et nous voilà entrant dans notre cabine. Les cabines, contiguës, ressemblaient à des isoloirs de bureau de vote : les parois séparatrices ne descendaient pas jusqu'en bas. Par dessous, je voyais les pieds de ma collègues. Elle enleva d'ailleurs tout de suite ses chaussures et ses chaussettes. Puis, je pus suivre, à l'oreille son déshabillage, comme elle dut pouvoir suivre le mien. Je compris qu'elle avait enlevé sa chemise, puis la ceinture de son pantalon et son pantalon, et qu'elle s'était assise sur le petit banc. J'avais fait de même. Me voilà en slip, dans une cabine collée à une autre où une chercheuse renommée du CNRS, plutôt très jolie, était, elle aussi, en slip et soutien-gorge. Je regardais ses pieds blancs et ses chevilles. Je sentis mon slip se tendre et mon coeur accélérer.
La porte d'à-côté s'ouvrit :
- Madame Anne-Marie F. ? Entrez, je vous prie.
La porte descendait toutefois jusqu'en bas. Je me penchais vers la serrure, espérant trouver une fente, un trou, quelque chose. Rien. Je n'avais que mes oreilles pour épier. Je n'entendis alors que la voix du médecin, entrecoupée par des silences parfois longs et les réponses laconiques d'Anne-Marie. Il ne parla pas sinon pour mentionner laconiquement l'opération de l'ovaire. Il démarra directement l'examen clinique :
- Montez sur la balance. Bien. Vous pouvez vous allonger... Les ovaires, c'était il y a deux ans, c'est ça ?... Allongez-vous bien. Respirez bien lentement.
Stéthoscope...
Prise de tension...
Silence. Je compris qu'il lui palpait le ventre :
- Je vous fais mal ici ?
- Non.
Les palpations durèrent longtemps. Parfois, j'entendais une respiration plus forte de la part d'Anne-Marie, certainement un endroit inconfortable.
- Vous allez à la selle normalement ?
- Oui.
- Descendez un petit peu votre slip, je voudrais voir la cicatrice... Pas de douleur quand j'appuie ?... Et là ?...
Mon érection était à son comble, imaginant la main du docteur appuyant sur le ventre d'Anne-Marie. Je me demandais si elle diminuerait d'ici qu'on m'appelle dans la salle d'examen.
- Enlevez votre soutien-gorge.
Je l'entendis s'asseoir et s'exécuter. Puis silence lors de la palpation des seins.
Je sentis du liquide monter dans ma verge. Une goutte de liquide séminal mouilla mon slip.
- Bien. Avez-vous des question particulières ?
J'entendis Anne-Marie descendre de la table et répondre :
- Pas spécialement.
- D'accord. Bon, pour moi tout va bien. Je vous laisse aller vous rhabiller.
Anne-Marie rentra dans sa cabine. Je vis de nouveau ses pieds nus sous la paroi. Elle frappa un coup au mur :
- Toujours là ?
- Oui.
- Bon, je me rhabille et j'y vais. Tu me rejoins au bureau ?
- Ok. Ça s'est bien passé ?
- Oui. Il m'a bien palpouillée partout. Bonne pour le service. Bon courage !
A ce moment, je sentis une seconde goutte de liquide sortir de ma verge toujours très dure. J'entendis des mouvements, des va-et-vient dans la salle. La porte allait s'ouvrir pour moi. C'était catastrophique ! Mon érection avait un peu diminué mais était toujours bien prononcée...
La suite bientôt...
J'ai hâte de lire la suite de cette bel…