Une romance imprévue
Chapitre 4
Une romance imprévue - 13 ► 16
Je suis un peu surpris de la demande que vient de me faire Chantal. Elle me demande à moi, le petit étudiant à peine dépucelé de la sodomiser. D'un coté, je me dis que la sensation doit être extraordinaire de pénétrer le fourreau étroit que constitue le sphincter anal de la jeune femme, de l'autre, je me dis que cette pénétration doit être difficile et douloureuse pour la fille. Toujours assis à coté de Chantal nue sur le ventre, je formule maladroitement et crument ma pensée « Tu veux que je te mette ma queue dans ton trou du cul, c'est ça, mais est-ce qu'elle n'est pas trop grosse ? »« Petit prétentieux, va, répond Chantal en partant d'un franc rire, ta queue n'est pas si énorme que ça. Mon copain dont je t'ai parlé en avait une largement aussi grosse que la tienne et il m'enculait joyeusement tous les week-end ». Un peu atteint dans mon amour propre par les propos de ma copine, je pense que je peux la qualifier ainsi après ce qui s'est passé aujourd'hui, je me place assis sur ses cuisses et je glisse mon pénis dans la raie de ses fesses charnues, sans cependant pénétrer encore le sanctuaire du rectum. Chantal a comme un sursaut « Attention, je te demande pas de me défoncer le cul à sec comme un sauvage, tu vas me préparer doucement avec ta langue et tes mains, avec toute la tendresse dont tu es capable,...tu vas suivre mes instructions.... d'accord mon petit.. ». Elle a une hésitation, elle ne peux plus m'appeler « son petit puceau » Elle opte, à défaut de trouver mieux, pour « mon petit étudiant ».
L'idée de prendre une leçon en sodomie ne me déplait pas. Moi qui était encore puceau ce matin, je rattrape mes petits camarades en expertise sexuelle à grand pas. Comme précédemment et légitimement, Chantal prend la direction des opérations.« Mets ta tête entre mes jambes et embrase mon cul avec ta bouche... puis avec ta langue, tu me suces, d'abord autour du trou, puis tu glisse ta langue dans mon trou et tu essaie d'aller le plus loin possible, mais toujours avec douceur ». Elle ajoute en riant encore ; « J'espère que l 'odeur ne te gêne pas trop ».« Oui, tu fais ça bien », commente Chantal. Je lui arrache des gémissements et elle a de plus en plus de mal à me donner des instructions . J'improvise et elle en semble très satisfaite.
Elle m'invite maintenant à stimuler son anus avec mes mains et me demande de lui enfoncer mes doigts dans son cul, un, puis deux, puis trois. Elle gémit de plus en plus. Je réalise qu'elle a un orgasme rien qu'en étant sodomisé par mes doigts. « Tu es extraordinaire, tu apprends vite » dit-elle dans un râle. Récupérant de son orgasme, elle me dit : « Maintenant, tu peux me mettre ta bite, tu vas voir, ça va rentrer tout seul. Je me replace sur elle, mon sexe se glisse dans la raie des fesses et trouve l'entrée de la grotte sacrée. Je suis en effet surpris par la facilité avec laquelle son cul accueille ma queue.Assis sur les cuisses de la jaune femme, je vois mon sexe s'enfoncer entre les fesses charnues de Chantal , puis resortir. Le contact de ses fesses rebondies avec mon bas-ventre est extraordinaire. La sensation est divine, même si je ne suis pas sûre que l'église approuverait notre actuel comportement. Le sphincter est étroit, ce qui limite l'ampleur des mouvements de va-et-viens, mais je suis vite au bord de l'extase. Chantal va d'orgasme en orgasme et ne cesse de me répéte combien elle m'aime, tout en me suppliant de lui défoncer le cul. Finalement, je viens, trop vite...., et sens ma semence qui se répand dans les intestins de la jeune femme. Elle hurle sa jouissance. Mon sexe, endolori par l'étroitesse du sphincter , me fait mal, mais je suis bétement satisfait d'avoir sodomisé ma copine.« Tu vois, me dit Chantal, c'est simplement une autre façon de faire l'amour, de se faire du bien. D'ici dix jours, c'est moi qui t'enculerai avec un gode-ceinture et je pense que tu aimeras ». Je regarde Chantal d'un air inquiet. Elle s'en rend compte et se reprend : « Mais non, je blague, mon petit étudiant
Six heures sonnent au clocher d'une église proche, peut-être Notre Dame. Chantal propose que nous regagnions notre banlieue. Sur le trajet, nous continuons de nous embrasser. Arrivés au bout de notre ligne de métro, la d'où nous sommes partis ce matin, Chantal me dit : « Ce bon Docteur Knecht me fournit un studio tout près de son cabinet....si tu veux, on ira demain ». Nous nos embrassons avec fougue. « J'espère que tu n'as plus peur de moi » dit la jeune femme. Après cette dernière étreinte, elle me dit : « Tiens, j'ai une idée pour ces dix prochains jours,...Chaque jour, je te ferai passer une petite visite médicale, différente chaque jour ». J'hésite un peu, mais donne mon accord. « OK, alors demain, tu as rendez-vous à 14 heures à mon cabinet pour une visite médicale, comme hier.... »
Chantal s'éloigne, je mesure le chemin que nous avons parcouru en deux jours et me demande comment vont se poursuivre ces dix jours. L'idée commence à faire son chemin dans mon 'esprit d'envoyer paître ce voyage en Californie, dont j'ai tant révé et pour lequel mes parents ont payé si cher, pour que ces dix jours avec Chantal se prolongent et deviennent un mois . Je rejoins le pavillon de mes parents avec cette idée en tête.
Une romance imprévue - 14
Après cette après-midi mémorable sur la terrasse de Chantal, je traîne dans ma chambre en attendant l'heure du repas familial et j'ai tout-à-coup une sensation bizarre, l'impression d'avoir très chaud, notamment à la tête, et des douleurs assez vives sur tout le corps,sur la poitrine, le ventre, les cuisses et même les fesses. Je me précipite dans la salle de bain, m'enferme à double tour, et me regardant dans la glace, je me fais presque peur . Mon visage est rubicond, je me suis pris un méga-coup de soleil. Je ne déshabille et je constate que tout mon corps n'est qu'un gigantesque coup de soleil avec des zones particulièrement atteintes qui commencent à me lancer, le torse, le ventre, les cuisses. En me contorsionnant devant la glace en pied, je réalise que mon dos n'est pas trop touché, mais que, pour la première fois de ma vie, mes fesses paient le prix de leur exposition au soleil . Mon pénis semble indemne. Je panique un peu : que dire à mes parents au repas qui s'annonce ? Bah, la vérité ou presque : que la copine que j'ai vu a une terrasse et que nous y sommes restés pour « travailler ». Je décide de vérifier ma température. Debout, appuyé contre le lavabo, je glisse mon thermomètre attitré dans mon rectum. Fermant les yeux, je repense aux prises de température dont Chantal m'a gratifiées ces dernières heures, ce qui durcit mon pénis, je ne suis donc pas si malade. J'aurai un prétexte pour aller voir Chantal demain. Je retire le thermomètre au moment où ma mère m'appelle pour le diner. Je regarde le thermomètre qui affiche 38,8, j'ai vraiment de la fièvre en plus.
« Mais qu'est-ce-que tu as fait ? »me demande ma mère en voyant mon visage rubicond. Mes fesses me font mal quand je m'assoie. Je n'ai pas très faim. « On dirait que tu as pris de l'avance sur ton séjour en Californie » fait mon père qui ajoute : « ta copine qui a une terrasse à Paris a bien de la chance ». « Tu devrais peut-être voir un médecin, dit ma mère, c'est vrai que tu as une peau très blanche, il te donnerait sûrement une crème pour la Californie ». Je proteste : « il suffit d'aller à la pharmacie, je pense ». « J'oubliais que tu as peur des médecins » reprend ma mère. Je manque m'étouffer quand ma petite soeur de 12 ans propose : « Tu veux pas aller voir la gentille doctoresse qui t'a fait écouter ton cœur l'autre jour ? »
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Après le diner, je vérifie une nouvelle fois ma température dans la salle de bain : 38,9. Comme je dispose d'un téléphone personnel dans ma chambre, j'appelle Chantal qui m'a donné le numéro de son studio « just in case ». Son numéro sonne occupé plusieurs fois. J'ai une brève poussée de jalousie. Qui peut bien l'appeler, a-t-elle un autre copain ou raconte-t-elle sa journée à une amie ?
Elle finit par répondre : « Dr Chantal Knecht,....Ah, c'est toi.....Tu as essayé de m'appeler,...Je parlais avec mes parents pour leur dire que j'avais passé une merveilleuse journée...rassure-toi, je n'ai rien dit, ou presque rien, sur toi.....c'est gentil de m'appeler...tu as un problème pour demain ? »
.Je lui décris mes symptômes. « Tu as déjà pris ta température, c'est bien, tu es vraiment un patient modèle.. j'aurais aimé te la prendre, tu sais.. »
Elle pose son diagnostic : tu as un beau coup de soleil, rien de grave...la fièvre est normale, elle devrait tomber pendant la nuit ..prend des aspirines et couche-toi vite, ….j'espère que tu pourras quand même dormir »
Elle poursuit : « Je suis désolé, ...encore une fois, tout est de ma faute,...j'aurais dû penser que, avec ta peau, tu risquais d'attraper des coups de soleil,....je suis vraiment nulle, je te demande pardon.... »
Elle me propose que je vienne plus tôt demain, dans la matinée à sa consultation normale : « 10 heures, ça te va ? ». « Tu sais, je t'aime vraiment très fort » m'assure-t-elle avant de raccrocher.
Je suis les conseils de ma doctoresse favorite, mais je passe la quasi-totalité de la nuit à me tourner et me retourner pour essayer d'avoir moins mal. Mes fesses me font particulièrement souffrir. Je suis puni par là où j'ai pêché . J'ai l'idée d'une punition pour ce que j'ai fait .Je m'endors à l'aube.
Je me réveille en sursaut vers 9 heures. Mes brûlures me font un peu moins mal. Je vérifie ma température avant de me lever : 37,9. Mieux qu'hier, mais pas encore parfait. Je me lève et me prépare à sortir. Je dis à ma mère que je me sens mieux et que je passe à la pharmacie et faire quelques courses pour mon prochain voyage. En fait, je me rends au cabinet de Chantal. Il y a plusieurs personnes dans la salle d'attente. Je m'assoie sur une chaise, mes fesses me brûlent toujours. Au bout de dix minutes, une jeune femme avec un petit garçon sort du cabinet, escorté par Chantal. Cette dernière, toujours en jupe et Tshirt, me désigne : « Viens » fait-elle avec son sourire le plus enjôleur . Elle s'excuse auprès des autres patients : « Désolé, une urgence » et me précède dans son cabinet.
« Tu ressembles à un peau-rouge, et tu es superbe comme ça, ça fait ressortir tes cheveux blonds » dit Chantal en se collant à moi pour me rouler une pelle.. Je sursaute quand elle plaque ses mains sur mes fesses.
« Oh, pardon, je t'ai fait mal ? » fait Chantal en se dégageant. Elle m'interroge : « Alors, la nuit n'a pas été trop pénible ? … Tu as pu dormir ? ….Et tu as repris ta température ce matin ?... De toute façon, on va revérifier , tu t'en doutes... »
« D'abord, je veux voir la situation, alors mets toi complètement nu, mon amour ».
Une romance imprévue - 15
Comme moins de deux jours plus tôt, je suis dans le cabinet du Dr Blom, occupé par Chantal, et elle me demande de me mettre nu devant elle. Les choses sont cependant un peu différentes . Entre temps, nous avons passé une journée ensemble à faire l'amour et je n'ai plus aucune gène à me déshabiller devant la jeune femme. Mon appréhension face à elle en tant que médecin a également disparue, même si son stéthoscope en sautoir me rappelle sa position sociale.
Je suis nu devant elle, exhibant les rougeurs qui sont apparues hier soir. M'exhibant devant la femme qui m'a dépucelé hier, je ne peux empêcher mon sexe de se dresser. « Je t'ai dit que je n'aime pas les clients qui bandent devant moi, dit Chantal en souriant, mais toi, je te pardonne, tu m'as si bien baisée hier... ». Elle m'invite à me tourner. Ce sont les fesses qui me font le plus mal. Elle s'approche de moi, passe sa main sur les zones rougies de mon corps. Elle se montre rassurante : « Rien de grave, la douleur va s'atténuer et tu devrait pouvoir dormir la nuit prochaine...Les lésions seront complètement guéries pour ton départ aux States, mais fais attention là-bas . ...Je vais te donner une pommade à mettre sur les endroits touchés et une crème solaire haute protection pour si tu glandouilles autour des piscines là_bas...En attendant, pendant nos « dix jours », tu te couvriras si on retourne sur notre terrasse ». « Encore une fois, je suis désolée...je me sens coupable....J'aurais gâché ton souvenir de ta « première fois » . « Mais non » assuré-je Chantal.
« On va quand même vérifier ta température, annonce la jeune femme en m'invitant à me mettre à plat ventre sur le lit d'examen. Mes brûlures au ventre et au thorax me font un peu mal, mais cela reste supportable . Chantal m'écarte les fesses en s'excusant de ma faire mal et glisse un thermomètre dans mon rectum. J'apprécie toujours cette sensation lorsque le thermomètre s'enfonce dans mon intimité. « Tu n'auras droit qu'à trois minutes, me dit Chantal, là, ce n'est pas pour jouer ». La jeune femme reste assise, à coté du lit d'examen, elle maintient le thermomètre enfoncé. « Tes fesses seront encore plus mignonnes avec un peu de bronzage » affirme Chantal. Peut-être parce que nous sommes dans son cabinet, même pas le sien d'ailleurs, elle s'abstient de jouer avec le thermomètre et elle ne me caresse pas les fesses en raison de mes coups de soleil. Une prise de température un peu décevante, donc, mais qui suffit quand même à maintenir mon érection. Chantal annonce : « 38,2 » Elle commente : « Comme avant-hier, je crois, mais pour d'autres raisons . La fièvre devrait tomber d'ici ce soir».Je me lève du lit d'examen. Chantal prend un moment dans sa main mon pénis dur , puis me palpe les testicules . Elle respire bruyamment. « Avant-hier, j'ai cru devenir folle quand je t'ai vu bander après la température, j'étais à deux doigts de te violer..... Aujourd'hui, j'ai du monde qui attend et qui nous imagine peut-être en train de..... , mais je crois qu'il vaut mieux être sage...habille-toi vite ».
Chantal s'est installé au bureau du Docteur. Elle rédige son ordonnance. Elle me demande de revenir à 14heures comme prévu, elle m'annonce que je ne suis pas dispensé de la petite visite médicale qu'elle avait prévue, et qu'elle m'amènera après à son studio. « Amène ta pommade, dit-elle encore, cela m'amusera de te la mettre, en particulier sur tes fesses ». Chantal me roule encore une pelle, en s'agrippant à mes hanches cette fois et me raccompagne avec son air le plus sérieux hors de son cabinet avant d'appeler le client suivant.
Une romance imprévue - 16
Après la visite rapide chez Chantal, je passe à la pharmacie et je rentre gentiment chez moi, c'est-à-dire chez mes parents. Dans ma chambre, je réfléchis à la situation. Pour la première fois de ma vie, j'ai une copine. Je pourrais même dire que je suis amoureux, alors que l'amour, en tant que sentiment m'avait toujours paru ridicule jusqu'à aujourd'hui. Je me sens bien avec Chantal, j'ai l'impression que c'est la seule personne au monde qui me comprend (un peu) et je me sens perdu quand je ne suis plus avec elle. Je me demande dans quelles dispositions d'esprit, elle est elle-même. Il me semble qu'elle est moins amoureuse que moi et plus plus consciente que moi des obstacles à notre amour. Elle me dit qu'elle m'aime, mais son idée à elle est celle d'une « parenthèse » de dix jours ,alors que je rêve d'une vie avec elle. Pour le cours terme, je n'ai plus du tout envie d'aller en Californie si c'est pour perdre définitivement Chantal......
Comme souvent pendant ces périodes de vacances, je déjeune avec ma mère. J'essaie d'avancer mes pions et je lui dit : « Tu sais, Maman, avec ces coups de soleil, je n'ai plus très envie d'aller en Californie, là-bas, ce sera pire. » Ma mère réagit vivement : « Mais tu es complètement fou. Je croyais que ce voyage étais le rève de ta vie ? Tu nous a dit que tu en avais marre d'aller à Brighton, Londres ou Oxford et que tu voulais voir l'Amérique...Et, à cause d'un petit coup de soleil, tu veux annuler... ». Je veux amadouer ma mère : « Tu sais, ces coups de soleil me font très mal, je n'ai pas dormi la nuit dernière et je me sens tout drôle ».« Tel que je te connais, reprend ma mère .je pense que tu as pris ta température.... ». « J'avais 38,2 ce matin » annoncé-je. Ma mère semble inquiète, : « Ca ressemble plutôt à une insolation, je pense que ta petite sœur a raison. Tu devrais aller revoir la doctoresse que tu as vue avant-hier. Elle te donnera quelque chose pour tes coups de soleil .- Mais, maman, tu sais bien que j'ai peur des médecins.... - Même d'une jeune fille qui a presque ton age ? »- Elle est médecin, ça suffit à me rendre malade. Et ca ne l'a pas empêché de me laisser nu pendant toute la visite et de me prendre la température comme à un bébé..... »- Pour un coup de soleil, elle ne vas pas te manger,....et tu as dit qu'elle t'a examiné en détail avant-hier.....Et puis ce serait bien si tu avais un médecin avec lequel tu puisses être en confiance -Mais Maman, c'est une remplaçante, Le Dr Blom revient le 1er septembre.« Allez, fais moi plaisir, me demande ma mère, appelle la »Je cède, pour la forme, au chantage affectif de ma mère. Je me lève de table et me rends dans la pièce à coté ou se trouve le téléphone. J'appelle le numéro du cabinet du Dr Blom. Je reconnais la voix de Chantal qui répond. Je suis sûr que ma mère écoute. J'espère que Chantal comprendra la situation.« Allo, Docteur,....Je suis venu vous vois avant-hier pour un certificat médical et hier, j'ai attrapé un gros coup de soleil, alors ma mère m'a suggéré de vous demander conseil....Est-ce-que je pourrais passer vous voir-Pas de problème, viens à 14:00, répond Chantal, qui semble avoir compris....Excuse-moi, j'ai un patient dans une situation un peu embarrassante »Elle raccroche vivement. Ma mère est satisfaite. Elle repart dans son idée ; « Je suis sûre qu'une copine médecin te ferait le plus grand bien, tu devrais proposer à cette jeune femme de prendre un café avec toi..... » « Maman, reprends-je, tu délires, tu sais que je suis trop timide pour draguer une fille, alors une femme plus agée que moi, médecin en plus et dans son cabinet par dessus le marché. Je suis sûr qu'elle me considère comme un gamin.. »Ma mère me laisse pour aller rendre visite à une vieille tante. En partant, elle me dit ; « Et qui sait, c'est peut-être elle qui va faire le premier pas »
.Marchant vers le cabinet du Docteur, à quelques minutes de chez moi, je repense aux propos de ma mère et à la situation qui commence à devenir vaudevillesque. J'ai été demander un rendez-vous pour une rencontre déjà prévue. Tout à coup, un doute me vient ; et si une bonne âme m'avait vu hier avec la jeune toubib et avait été le raconter à ma maman, qui aurait joué au chat et à la souris avec moi....J'en suis là de mes réflexions quand j'arrive à la salle d'attente vide de Chantal.Chantal m'accueille en rigolant : « J'ai bien ri en recevant ton coup de fil. Ta mère te couve vraiment, elle ne serait pas un peu juive par hasard.....Celui qui a moins apprécié, c'est le mec à qui je prenais la température au moment où le téléphone a sonné... ».Je raconte à Chantal le détail de ma conversation avec ma mère.« Bon, fait la jeune femme, avant d'aller chez moi, j'ai décidé de te faire subir la visite médicale que je fais passer à mes petits lycéens. D'accord ?Je ne peux pas ne pas être d'accord. « Pour respecter le scénario de la visite, mets-toi en slip » dit Chantal, en me gratifiant d'un regard égrillard.
Merci, pour cette suite sympathique à l…
Bravo pour cette suite ...
Une visite quand même pas trop stricte.…
Oui bravo pour cette suite comme le sou…