Vues: 837 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 3

Une romance imprévue - 9 ► 12

Je ressens un mélange de plénitude et, il faut le reconnaître , de grande fatigue. Je suis satisfait d'avoir enfin fait l'amour avec une femme, même si c'est elle qui a fait une large part du travail. Je suis enfin comme les autres. Mais la mauvaise nuit que j'ai passée, les tensions de ces deux derniers jours, en particulier cette visite médicale qui m'a mis dans un tel état, le vin que j'ai exceptionnellement bu et enfin le fait d'avoir fait l'amour, tout cela s'accumule et fait que je me sens complètement vanné et prêt à piquer un somme, peut-être réparateur. Je ferme un instant les yeux, m'abandonnant au calme étonnant qui règne sur cette terrasse, au dessus de l'agitation parisienne. Chantal qui est assise au bord du lit à coté de moi, allongé, et me caresse paresseusement les poils et les tétons de ma poitrine, ne l'entend pas de cette oreille : « Tu ne vas quand même pas t' endormir maintenant, mon petit puceau, n'oublie pas que tu n'es pas encore vraiment dépucelé, puisque c'est moi qui vient de te faire l'amour ».

La jeune femme me pince vigoureusement les tétons. « J'espère que je ne te fait pas mal, s'excuse Chantal, j'avais remarqué dès hier que tu as de jolis petits tétons érectiles, tu sais que ça ne marche pas avec tous les garçons ». Continuant à jouer avec mes petits seins, peut-être pour être sûre de me maintenir éveillé, la jeune femme m'interpelle : « Est-ce que je peux te poser une question ? ». Je réponds : « Bien sûr » . « Même une question indiscrète ? ». Je me demande un peu où elle veut en venir et lui réplique : « Pose toujours ta question ? ».

Semblant hésiter un peu, Chantal me parle de sa voix suave : « Hier, au cours de cette visite, alors que tu étais continuellement craintif et sur le défensive, à un moment, j'ai eu l'impression que tu appréciais ce que je te faisais... »

Je crois deviner de quoi elle veut parler, mais je fais semblant de ne pas comprendre : « Ah bon, de quoi tu parles ?.... »

« Et c'est d'autant plus curieux que c'est un moment que mes clients en général n'aiment pas trop. C'est quand je t'ai pris la température. D'ailleurs, c'est le seul moment où tu as bandé....Alors, je me demande, est-ce-que tu aimes te prendre ou te faire prendre la température? »

Poussé dans mes retranchements, un peu géné, j'avoue : « Oui, je me prends souvent la température, enfin je me mets un thermomètre où tu sais ». J'ajoute : « Souvent, je me masturbe avec un thermomètre dans le rectum, aussi ». C'est la première fois que je fais cet aveu à quelqu'un, qui revient en plus à dire à Chantal que je lu ai menti hier. Je crains un peu sa réaction. Va-t-elle me prendre pour un fou, un malade , va-t-elle penser que j'ai des tendances homosexuelles ?

A ma surprise, le visage de Chantal s'illumine, elle m'embrasse avec fougue sur la bouche et s'exclame : « C'est formidable, tu sais, moi aussi je passe mon temps à me prendre la température et j'ai toujours rêvé de trouver quelqu'un à qui je pourrais avouer cette passion. Je n'ai jamais parlé de ça à personne, à part à mon copain dont je t'ai parlé, qui m'a traité de folle.

- C'est merveilleux, continue Chantal, on va pouvoir s'en donner à cœur-joie les dix prochains jours , et autre chose, comme j'espérais ta réponse, j'ai dans mon sac deux beaux thermomètres et on va pouvoir commencer dès aujourd'hui, quand tu m'auras baisée. » « Enfin, tout ça si tu veux bien » conclut-elle à son habitude.

Je suis aux anges . Non seulement, je me suis trouvé une copine, mais en plus, elle partage avec moi une passion que je croyais être le comble de la perversité.

« D'abord, reprend Chantal, on va terminer ton dépucelage avant de jouer avec nos thermomètres ». Elle continue de diriger les opérations, situation qui ne me déplait pas.

« Là, c'est toi qui va me pénétrer, toi qui va bouger , annonce-t-elle, et avant, tu vas « me préparer » un peu avec tes mains et avec ta bouche . Ne t'inquiète pas, je vais te dire quoi faire ».

Chantal s'étend sur le lit à coté de moi , les jambes légèrement écartées, offerte. Elle me dit : « Je suppose que tu n'as jamais vu l'intimité d'une femme. Je vais te faire un petit cours d'anatomie et te guider dans tes mouvements, d'accord ? »

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Chantal veut que je la baise, y compris avec des préliminaires, mais elle m'apporte son aide dans cette entreprise, toujours douce et enjouée. Après s'être assuré de la fermeté de mon pénis, elle me fait assoir, près d'elle allongée, et elle guide ma main aux différents endroits où elle veut que je la caresse. Elle écarte ses jambes de manière à m'exposer l'ensemble de sa vulve. Instinctivement, je suis fasciné par ce que je découvre. Elle m'invite à glisser un doigt, puis deux, dans l'entrée de son vagin, que mon sexe a déjà investi tout à l'heure et qu'il va visiter à nouveau très bientôt. Elle se montre réceptive à mes premières caresses, malgré leur manque d'adresse. M'affirmant que la majorité des gens ignorent jusqu'à l'existence de cet organe féminin du plaisir, elle amène ma main sur son clitoris et me supplie de la satisfaire en manipulant avec précaution ce bouton de jouissance. Soulevant ses jambes, elle exhibe pour moi son rectum et insiste pour que j'y glisse un doigt avant d'y mettre prochainement un thermomètre, et pourquoi pas, ajoute-t-elle, au cours de nos prochains jours qu'elle prévoit chauds, « ma joli petite queue ». Après ma main, c'est avec ma bouche que Chantal me demande de lui apporter du plaisir en la portant aux différents endroits de son entrejambes qu'elle m'indique.

Les gémissements que laisse échapper Chantal semble indiquer que je ne me débrouille pas trop mal. « Tu me rends folle, tu apprends vite » me murmure la jeune femme. Estimant que j'ai fait ma part des préliminaires à une « bonne baise », Chantal me dit : »Maintenant, c'est à moi de te préparer ». Elle me fait mettre debout, se place elle-même assise face à moi, sa tête au niveau de mon bas-ventre. Par acquis de conscience, elle me demande : « Tu ne t'es jamais fait sucer ». La réponse est bien entendu négative. Elle m'annonce : « Là, je ne laisserai pas jouir dans ma bouche, mais je te promets qu'on le fera... ». Elle prend mon pénis déjà dur dans sa bouche et le suce avec un mélange d'avidité et de douceur. En même temps,elle fait rouler mes petites couilles entre ses doigts. La sensation est extraordinaire, D'autant plus que je sens soudain que la jeune femme , en plus, a glissé un doigt dans mon rectum. Je crains de « partir », de venir trop vite. « Heureusement », Chantal abandonne sa fellation et m'annonce ; « Voila, maintenant, tu vas me baiser ».

Elle s'allonge, offerte. Je me place sur elle. Mon pénis trouve cette fois seul son chemin et je pénètre Chantal d'un vigoureux coup de rein. La jeune femme a un sursaut. Elle a noué ses jambes autour des miennes et je sens ses chevilles contre le haut de mes cuisses. J'entame mes mouvements de va-et-viens. Cette fois, c'est moi qui fixe le rythme. Chantal m'encourage et me fait des serments d'amour. Comme il y a quelques minutes, elle m'a mis un doigt dans le cul . J'essaie de retarder l'échéance. Je sens que je vais jouir. J'ai la satisfaction que Chantal ait un orgasme avant moi. Je sens que ma semence se répand en elle. Je tombe sur elle, crevé mais satisfait, je ne suis plus puceau.

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Après avoir fait l'amour, nous récupérons tous les deux, allongés côte à côte sous ce merveilleux ciel bleu de juillet. Nos respirations reviennent lentement à la normale. Nous nous tenons la main en un geste de tendresse innocente. Je remarque que Chantal continue à frotter son pouce contre ma paume . Je me sens bien, comme sur un nuage. Non seulement la toubib m'a dépucelé en beauté sur cette splendide terrasse , mais je me sens de plus en plus proche de cette jeune femme et je me réjouis de la perspective de passer du temps avec elle pendant ces dix prochains jours. Je me dis que j'ai enfin trouvé une copine pour baiser bien sûr, mais aussi pour tout le reste, il n'y a pas que le cul dans la vie. J'ai complètement oublié qu'elle est médecin et qu'elle a cinq ans de plus que moi.

Chantal me félicite de l'avoir si bien « baisé ». Nous nous promettons de recommencer, mais peut-être seulement demain. Pour l'instant, fidèle à sa promesse de tout à l'heure, la jeune femme propose que nous nous prenions mutuellement la température. L'idée nous excite au plus haut point, elle comme moi. Chantal se lève, marche jusqu'à son sac et en extrait deux tubes en plastique. « Le médecin que je suis toujours, annonce Chantal, te dira qu'il ne faut jamais partager les thermomètres sans les laver avec soin. Malheureusement, ici, je n'ai même pas d'eau ». « Donc , chacun le sien » conclut-elle en exhibant les deux tubes. Je me dis qu'elle a bien préparé son coup.

« On commence avec toi » propose Chantal. Je suis excité comme une puce. Quand je pense qu'il y a un peu plus de vingt-quatre heures, je me sentais humilié parce que la même Chantal me mettait un thermomètre entre les fesses. Là, toute humiliation a disparu. L'idée que Chantal va me prendre la température fait battre la chamade à mon petit cœur et stimule mon érection, Celle-ci est presque permanente depuis que nous sommes sur cette terrasse. Je me place donc sur le ventre et j'attends, serein. Chantal s'assiet au bord du lit, juste au niveau de mon postérieur. « Tes fesses sont si mignonnes » m'assure une nouvelle fois la jeune femme. « Hier, tu sais, j'ai cru devenir folle quand je t'ai pris la température, raconte-t-elle. J'ai dû résister à la tentation de jouer avec le thermomètre et j'osais à peine te caresser les fesses. « Aujourd'hui, c'est différent, tu vas voir » promet-elle.

Je réalise que, entièrement nu par ailleurs, j'ai gardé ma montre, quand Chantal, comme elle l'a fait hier l'enlève de mon poignet pour chronométrer la durée de la prise de température. Chantal se laisse aller aux confidences tout en me caressant avec amour les fesses : « tu sais, je prends la température rectale à tous mes petits lycéens quand je leur fait passer la visite médicale, certains prennent ça très mal, quelques uns pleurent comme des bébés, je t'avoue que ça m'excite, mais la plupart s'en foutent, je trouve ça triste ». Sur ces bonnes paroles, avec son infinie douceur, Chantal m'écarte les fesses, puis glisse le tube de verre dans mon anus et l'enfonce dans les profondeurs de mon rectum, le maintenant de sa main. Elle l'a bien enfoncé, la salope . Je n'ai plus ni appréhension, ni sentiment d'humiliation, j'éprouve une véritable sensation de plénitude. « J'ai l'impression que tu aimes vraiment ça, hein » observe Chantal qui m'annonce : « Je te le laisse dix minutes, d'accord ». Bien sûr que je suis d'accord. Ayant bien placé le thermomètre, Chantal lui impulse rapidement de petits mouvements de va-et-vient, puis de rotation, qui me mènent littéralement au bord de la jouissance. Délaissant de temps à autre le thermomètre, elle n'oublie pas de me caresser toujours aussi amoureusement les fesses. Les dix minutes paraissent très courtes. Chantal finit par me retirer le thermomètre. Elle lit les graduations du mercure et m'annonce : « C'est dingue, après avoir baisé, tu as une température plus basse qu'hier à la visite médicale, tu as un petit 37,8, presque normal à cette heure-ci. »

Chantal se met à son tour sur le ventre et me tend le second thermomètre. « Vas-y, bourreau, fait ton office », fait-elle de manière un peu grandiloquente, avec un large sourire un peu pervers.

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Comme Chantal l'a fait, je s'assoie au bord du lit à coté d'elle allongée sur le ventre. Elle a vraiment un cul superbe avec de belles fesses rebondies, pas trop grosses néanmoins. Personne n'oserait dire qu'elle a un gros cul. Je pose mes mains sur les fesses de Chantal. Sa peau est si douce. Peu avare de confidences, la jeune femme me dit de sa voix chaude : « Tu sais, je passe mon temps à prendre la température des autres, ...je ne dis pas que cela me déplaise, au contraire..., mais je n'ai personne pour me mettre un thermomètre dans mon cul à moi, quand je suis seule dans mon lit le soir, alors que j'adore ça ».

Je me dit que c'est la première fois que je prends la température à quelqu'un et je me demande si je serai à la hauteur. Avec le maximum de douceur dont je suis capable avec mon inexpérience, j'écarte doucement, mais à leur maximum, les fesses de la jeune femme. Le spectacle qui s'offre à moi me trouble profondément. La petite corolle de l'anus de Chantal au-dessus de sa vulve parfaitement dessinée m'excite au plus haut point. Je sens mon sexe qui se durcit encore plus. Je prends en main le thermomètre et le glisse au milieu de la corolle de son anus et le fait pénétrer le plus lentement possible le long du rectum de la toubib. Un râle de satisfaction semble indiquer que la jeune femme apprécie. « Oh, c'est bon, murmure-t-elle d'une voie soudain rauque, enfonce le bien s'il te plait ». Elle ajoute : « Ne viens pas me dire que c'est la première fois que tu fais ça, je ne te croirai pas ». C'est pourtant bien le cas. Je suis vierge aussi dans cette fonction.

Estimant que le thermomètre a investi son intimité de manière suffisante et alors que je commence à jouer avec l'instrument, lui imprimant de petits mouvements de va-et-viens pour son plus grand plaisir, semble-t-il, je lui propose : « Je te le laisse dix minutes aussi ».

« Non, répond-elle en riant, je le veux pour l'éternité, tu fais ça si bien ». Elle ajoute : « Tu te rends compte, un thermomètre dans le cul pour l'éternité, ce serait le paradis... »

« Ou l'enfer », suggéré-je en accentuant les mouvements du thermomètre dans son rectum.« Peut-être, fait elle sur un ton pensif, en tous cas, voilà un beau sujet de réflexion pour nos prochaines séances de thermomètre ».

Chantal gémit doucement au rythme des petits mouvements que j'imprime au thermomètre et de mes caresses sur ses fesses. Je ne me lasse pas du spectacle du cul de Chantal avec le thermomètre planté entre ses fesses. La doctoresse évoque à nouveau les visites médicales qu'elle fait passer et où la prise de température rectale est toujours incluse. « Tu sais, c'est marrant, ce sont les petits coqs qui se présentent devant moi avec leurs bites qui bandent ....excuse moi pour la vulgarité du propos... et qui, parfois, ne savent même pas combien de filles ils ont baisées, qui paniquent le plus, quand ils découvrent que je vais leur mettre un thermomètre dans leur petit cul , là, ils se sentent atteints dans leur virilité . Moi, je savoure ma petite vengeance sur ces débiles"

La montre indique que les dix minutes sont largement passées. Je retire le thermomètre très lentement. Je lis la température affichée : 38,2. Je commente : "aujourd'hui, tu as plus de fièvre que moi, Docteur." Restant allongée sur le ventre, Chantal répond : « C'est curieux, je me sens en pleine forme, ...C'est sans doute le soleil qui fait monter ma température ». Puis, elle ajoute de cette voix rauque qu'elle m'a fait découvrir il y a quelques instants. « Tu sais, tu m'as rendu folle avec ton thermomètre, maintenant je voudrais que tu m'encules …. »

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