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Voyant la clé que me présente Chantal, son secret me parait évident. "Whaou, tu as un appart dans le coin, c'est super !" fais-je, impressionné. " Pas tout-à-fait, mais tu brûles, comme on dit..." répond la jeune femme.Nous marchons pendant quelques minutes dans les petites rues étroites entre le boulevard Saint-Germain et la Seine. Chantal m'a repris la main et je sens son pouce qui joue contre la paume de ma main. Elle me demande à nouveau pardon pour sa conduite au restaurant. Je ne voie pas ce que j'aurais à lui pardonner. Son aveu sur son copain qui l'a quitté m'a touché. Je voudrais pouvoir l'aider. Est-ce-que la laisser me baiser l'aiderait, serait une bonne action en quelque sorte?

Chantal s'arrête devant une maison qui paraît très ancienne. La jeune femme manipule le digicode et nous fait entrer. Elle me donne qulques détails: c'est une des plus vieilles maisons du quartier, et donc de tout Paris, on raconte que c'était la maison des Trois mousquetaires. Prouvant qu'elle n'est pas dénuée d'une certaine culture, elle ajoute: "Si non e vero, e bene trovato". "Maintenant, il faut monter sept étages, prévient-elle, et il n'y a pas d'ascenseur, ce serait trop compliqué d'en installer un ". Chantal plaisante : " Tu m'as dit hier que tu n'es pas sportif, alors, bon courage, mon petit puceau, pour les quelques 150 marches". La jeune femme semble en effet plus sportive que moi. Malgré nos agapes états-uniennes, elle arrive au sommet du vieil escalier branlant avant moi sans effort apparent, alors que j'ai l'impression de cracher mes poumons. Je crains un instant que Chantal ne retrouve ses réflexes de médecin et ne fasse des commentaires d'ordre médical, mais elle s'en abstient Chantal marchant devant moi, sa minijupe m'offre une vue "imprenable" sur ses cuisses splendides; Nous nous retrouvons sur un palier étroit , face à une porte métallique qui paraît avoir l'age de la maison. Connaissant manifestement bien le lieux, Chantal introduit sa clef dans la serrure et la fait tourner sans difficulté.

" Voila mon secret, annonce Chantal, manifestement satisfaite". Elle ouvre la porte qui grince terriblement et nous sommes éblouis par la lumière. La porte mystérieuse donne en fait sur une terrasse de dimensions respectable. "Bienvenue chez moi, dit Chantal, en m'invitant à la suivre au milieu de la dite-terrasse, je suis propriétaire de 100 m2 face à Notre Dame, dommage qu'il manque les murs et le toit. " Je suis néanmoins impressionné : la terrasse offre une vue splendide de Paris, sur la Seine et Notre-Dame, au niveau des toits des autres maisons. Quelques meubles de jardin sont disposés au hasard sur l'espace, il y a même un lit, en bois vermoulu, mais le matelas semble en meilleur état. Chantal a-t-elle prévu de me sauter là. Je commence à gamberger. Chantal continue de me faire l'article : " Ce qui est super, c'est que personne ne nous voie, tu peux imaginer tout ce que l'on peut faire ici : bronzer, baiser, bien sûr, petit obsédé,... mais aussi organiser une boom d'enfer comme disent les jeunes ou un diner chic ".Elle retourne à la porte, le referme de l'intérieur, donne un tour de clef et m'annonce, avec une lueur pour le moins coquine dans le regard : " Voila, maintenant, tu es mon prisonnier"

Une romance imprévue - 6

Chantal met la clef dans son sac et pose celui-ci sur une table branlante qui a vu des jours meilleurs. Elle reste debout alors que je me suis assis au bord du seul lit disponible dans cet espace. Elle annonce : « Je crois qu'il faut qu'on parle un peu, si tu es d'accord, bien sûr ». Je me demande un peu ce qu'elle veut m'annoncer, qu'elle veut me sauter parce qu'elle veut me faire du bien, ou simplement parce qu'elle se sent seule, ou bien au contraire que, malgré son comportement dans le métro et autre, elle ne veut pas me sauter, qu'elle me veut rien m'imposer, qu'elle trouve que ce serait une trop lourde responsabilité...

" Mais d'abord, comme il fait chaud aujourd'hui et que je veux profiter de ce beau soleil, je veux me mettre à l'aise et me déshabiller ». Elle joint le geste à la parole et retire promptement son Tshirt, elle n'a rien en dessous, on s'en souvient, puis sa jupe. Elle se débarrasse de ses ballerines avant de faire glisser sa culotte. Elle est nue à trois mètres de moi Dans la lumière de cette après-midi d'été, je découvre la nudité de Chantal, et en fait c'est la première fois que je vois une fille nue ailleurs qu'au cinéma ou dans les revues qu'il m'arrive de feuilleter. Je la trouve superbe. Ses seins, ronds et fermes avec leurs mamelons dressés, sont relativement volumineux par rapport à sa taille . Ses jambes, sveltes, s'arrondissent au niveau des hanches. Son ventre est plat. Sa touffe, sombre comme ses cheveux ( à l'époque, aucune fille ne se rasait) ne dissimule que partiellement sa chatte bien dessinée. Je sens mon rythme cardiaque qui s'accélère et mon pénis qui se durcit. Je n'ose lui demander de se retourner pour voir son cul. Elle semble lire dans mes pensées et me propose : « Tu veut voir mon cul, mon petit puceau ? » avant de se retourner effectivement. Elle a de très jolies fesses, dont la rondeur et le volume appréciable là-aussi souligne sa féminité

Me faisant à nouveau face, elle me fait observer que je suis encore tout habillé. Elle me dit : « C'est ta revanche pour hier, quand tu étais nu devant moi ». Elle ajoute : « Bien sûr, j'aimerais que tu te mettes à poil comme moi, mais je sais que tu as un problème avec ton corps et que cela te gêne, alors je n'insiste pas » Elle poursuit : « Et même si tu n'aime pas bronzer ton joli petit corps, en Californie, tu auras du mal à y échapper au bord des piscines, alors ce serait peut-être bien de préparer ta peau avec un peu de soleil parisien ». Elle se reprend avec un de ses sourires désarmants : « Excuse-moi, c'est encore le médecin qui parle »

En fait, j'hésite un peu sur la conduite à tenir. Je me dis que, si je me mets nu, je ferais plaisir à Chantal, et de toute façon, elle m'a vu hier nu pendant au moins une demie-heure. En plus, j'éprouve une satisfaction idiote de petit mâle parce que sa nudité à elle me provoque une érection tout à fait présentable. Alors, peut-être enhardi par les deux verres de vin de Californie que je viens de boire , je me lève et retire à mon tour mon Tshirt, mon jean, mes tennis, mes chaussettes et je me retrouve devant la jeune femme vétu de mon seul slip, du genre mini, qui ne cache rien de l'état de ma virilité. « Whaow, fait Chantal, non seulement tu te déshabilles sans y être obligé, mais en plus on dirait que tu bandes, et pas mal »

" Allez, retire-moi ce slip" fait Chantal..Je suis excité et ai envie de m'amuser : « baisse le moi toi-même » lui proposé-je. J'ajoute : « Comme aux visites médicales que tu fais passer ». « Avec plaisir » fait Chantal en s'asseyant au bord du lit face à moi. Ses mains se posent sur mon ventre juste au dessus du slip, apprécient la fermeté du sexe tendu à travers le tissu, puis elle saisit le vêtement entre ses doigts et le fait glisser jusqu'aux chevilles. Mon pénis se dresse, turgessant . Je crois que je n'ai jamais aussi bien bandé.

Chantal est visiblement troublée, mais reprend vite le contrôle de la situation. Elle prend seulement mon sexe en main un instant et me dit : « Whaow, tu me rends folle, tu sais, garde le comme ça pour tout à l'heure », elle revient à la position debout et se replace au milieu de la terrasse pour me tenir le discours annoncé.

Une romance imprévue - 7

Sous ce beau soleil de juillet, avec une température idéale de l'ordre de 25°, nous nous sommes mis nus sur cette terrasse. Nous sommes tous les deux debouts, à environ trois mètres de distance, exposant nos corps l'un à l'autre. Chantal a indiqué qu'elle voulait me parler. Je me fais peut-être encore un film, mais j'ai l'impression qu'elle ne peut détacher ses yeux énamourés de mon pénis bien dressé, prêt à la satisfaire. Pour ma part, la vision que j'ai du corps de la jeune femme m'aide à maintenir cette érection dont le petit puceau que je suis est assez fier. Je me dis que d'ici ce soir, je serai « normal », débarrassé de cette foutu virginité comme la plupart des garçons de mon age. J'attends ce moment avec de plus en plus d'excitation et de moins en moins d'appréhension. Chantal me plaît de plus en plus et j'ai complètement oublié qu'elle ne correspond pas à mon idéal de.femme.

Après un silence qui a peut-être duré une minute, Chantal prend la parole :

- Tu as compris que mon invitation à déjeuner n'était pas tout-à-fait innocente, ...pas innocente du tout en fait. Je ne sais ce que le Conseil de l'Ordre en penserait, … et en plus tu es mineur. Bref, je veux faire l'amour avec toi, te baiser, te sauter,...Appelle ça comme tu voudras. Mais avant, je voudrais quand même qu'on parle, d'accord... »La jeune femme marque une pause. Fixant toujours ma queue, toujours vaillante, peut-être même de plus en plus après la révélation qu'elle vient de me faire, de confirmer plutôt, elle semble soulagée d'avoir levé les dernière ambiguïtés entre nous. Avec mon accord tacite, elle poursuit :

- Tu sais, tu m'as plu dès le premier moment où je t'ai vu, à la porte de mon cabinet et j'ai tout de suite eu envie de toi. D'abord, tu es super mignon, « un ange tombé du ciel », tu dois le savoir quand même, mais ce qui m'a surtout plu, c'est ton coté affolé, paniqué. J'ai eu envie de te réconforter, de te materner. » Elle ajoute avec un sourire entendu : « Comme technique de drague, je suis sûre que ça marche pas mal,.. du moins avec moi ».

Chantal poursuit son monologue, même si je commence à me dire que nous aurions peut-être mieux à faire tous les deux. « La visite médicale que je t'ai fait passer a été un moment extraordinaire pour moi. Tu as peut-être remarqué que j'ai un peu alourdi le programme pour pouvoir t'avoir à ma disposition plus longtemps. j'ai eu encore plus envie de toi quand tu t'es mis nu devant moi et quand tu m'as dit que tu étais vierge. Et quand tu as été nu devant moi, j'ai apprécié que tu ne bandes pas bêtement, comme font beaucoup des lycéens que j'examine. Si tu avais fait ça, tu aurais cessé de m'intéresser et nous ne serions pas ici ensemble.... ». Elle s'interrompt pour me dire : « Je ne parle pas d'aujourd'hui, bien sûr , ….Aujourd'hui , nous sommes dans un autre type de relation et il est normal que tu bandes...et ça me plait. ».

Elle poursuit : « Et à plusieurs moments, pendant cette visite, j'ai cru que j'allais « péter les plombs » et me jeter sur toi, pour t'embrasser ou plus , quand je t'ai examiné ta jolie petite queue et tes petites couilles bien sûr, mais aussi quand je t'ai mis le thermomètre dans ton petit cul. Là, je t'avoue que j'ai un peu allongé les trois minutes où j'avais les mains sur tes adorables fesses. » Elle ajoute encore avec toujours le même sourire malicieux : « D'ailleurs,c'est le seul moment de la visite où je t'ai fait bander,....Là, je te pardonne et je comprends.... »

Elle conclut ses remarques sur cette visite médicale en évoquant son invitation à déjeuner : « J'avais envie de toi, mais je ne pouvais pas te « sauter », là, dans mon cabinet . Jai pensé te donner mon numèro de téléphone, mais cà aurait été une bouteille à la mer, non,....alors, juste avant que tu sortes de mon cabinet, je t'ai fixé ce rendez-vous. Pendant toute la nuit, je me suis dit que j'étais folle. En plus, j'ai cinq ans de plus que toi. Ce qui est dingue, c'est que dans l'autre sens, ça n'aurait aucune importance et serait considéré comme normal si j'avais un mec de trente, ou même de quarante ans. J'étais sûr que tu ne viendrais pas, mais j'ai retrouvé mes vieilles prières juives,,...oui, en plus, je suis juive, et toi pas d'après tout ce que j'ai vu en tant que toubib et que je vois aujourd'hui, j'espère que ce n'est pas un problème pour toi de te faire dépuceler par une juive ...pour demander à Dieu que tu viennes... »Il y a un nouvel instant de silence. Le fait que Chantal soit juive m'est relativement indifférent et me la rend peut-être encore plus sympathique. Mon père est protestant et ma mère catholique et ja crois être ouvert vis-à-vis des autres religions et cultures. J'ai un petit pincement au cœur en pensant que si notre relation devient plus sérieuse, elle risque (ou ses parents risquent) de me demander de me faire circoncire, ou peut-être pourrait-elle le faire elle-même en tant que médecin. Pour l'instant, Chantal me plait de plus en plus en tant que femme et j'ai hâte que nous passions aux actes.

Une romance imprévue - 8

Chantal a épuisé le sujet de la visite médicale qu'elle m'a fait passer hier, elle revient maintenant sur le déjeuner que nous venons d'avoir.« Ce déjeuner, que j 'ai gâché...., m'a plus que conforté dans mon idée de te dépuceler, et peut-être plus, si tu veux. Il m'a d'abord confirmé que tu es le garçon le plus gentil et le plus sympa que j'ai jamais rencontré, même s'il y a une différence d'age entre nous. J'ai constaté aussi que, si physiquement , tu es peut-être, excuse-moi du terme, un peu en retard sur les garçons de ton age, tu as une maturité intellectuelle très supérieure. Tu es largement à égalité avec moi de ce point de vue. Ou alors c'est moi qui suis un peu conne...

.Mais surtout, je ne sais pas pour toi, mais moi, j'ai été impressionnée par tous les goûts en commun que nous avons dans tous les domaines. J'ai eu l'impression de découvrir un alter ego comme on dit... »

Je confirme à Chantal que j'ai eu exactement la même impression.

« Bref, poursuit la jeune femme, nous serions faits l'un pour l'autre, s'il n'y avait pas cette différence d'age et si nous ne vivions pas dans des mondes différents. Toi, tu pars aux Etats-Unis dans dix jours, ...tu ne vas pas annuler ton voyage pour moi ?...et après, tu continueras tes études à Paris, et moi, quand j'aurai fini ce remplacement à la con, je retournerais dans mon Alsace travailler à l'Hôpital de Strasbourg et faire une spécialisation en cardiologie ». Ses yeux énamourés se voilent de tristesse. Il me semble que mon érection se relàche soudain . Je ne trouve rien à dire pour contester ce qu'elle a dit.

Retrouvant un peu de son optimisme, elle reprend :« Voila, je te propose qu'on fasse de ses dix jours avant que tu partes aux States, une « parenthèse » dans ns vies dont nous nous souviendrons avec émotion, mais qui ne débouchera sur rien, même si on pourrait se revoir un jour sur cette terrasse ou tu pourrais venir à Strasbourg. En attendant, si j'ai bien compris, nous sommes libres tous les deux, sans fiancé ou copine, et nous pouvons nous éclater sans faire de mal à personne. Pour commencer, je te propose de te dépuceler dès aujourd'hui, là , tout de suite... ». Après une pause, Chantal me demande : « Tu n'as pas d'objection, ...sinon on peux tout arrêter. J 'ouvre la porte et tu peux t'échapper. On peux même décider, mais je ne suis pas sûre que ça marcherait, qu'on va vivre cette parenthèse platoniquement, en frère et sœur. Moi,je n'en ai vraiment pas envie... ».

« Alors, tu es prét à te laisser violer par la méchante doctoresse, juive en plus ? . Cela ne te pose pas de problème moraux. Tu ne veux pas garder ta virginité pour la femme que tu épouseras, qui ne sera très vraisemblablement pas moi. Physiquement, je ne te déplais pas trop, même si je ne ressemble ni à Catherine Deneuve, ni à Faye Dunaway, que tu m'a citées tout à l'heure comme tes « icones »

« Je suis tout à fait d'accord avec ton programme » dis-je, avec un calme qui me surprend, à Chantal. J'ajoute : « Je suis frappé moi aussi par tous nos goûts en commun et tu me plais beaucoup. Je pense qu' aujourd'hui restera comme le plus beau jour de ma vie ».

Du fait de son age et de son expérience, Chantal prend nettement la direction des opérations. Elle me dit : « Pour la première fois, je vais t'aider ». Elle prodigue ses conseils : « Essaie d'être détendu , et dis-toi bien que ce n'est pas un concours ou une épreuve sportive ». Je suis debout face à Chantal, mon sexe toujours en érection. Elle me dit : « Tu vas t'allonger sur le dos, le plus confortablement possible, et je empaler mon vagin sur ton sexe, je pense qu'il est assez dur pour cela, et c'est moi qui vais bouger et te faire l'amour. » Je suis les recommandations de Chantal et m'allonge sur le lit. Mon sexe est toujours dressé vers le ciel. Le temps de me dire que le grand moment est arrivé, la jeune femme vient se placer, assise sur mon bas-ventre. Elle prend en main mon pénis et s'empale dessus sans difficulté. Ses jambes enserrent mon thorax. « Voila, tu n'es plus puceau » proclame -t-elle alors qu'elle commence à aller et venir sur mon sexe.

La sensation est en effet extraordinaire. Mes mains se crispent sur les fesses de la jeune femme. Tout en montant et descendant sur mon sexe, Chantal me dit : « Tu sais peut-être que l'on appelle cette manière de faire l'amour la position d'Andromaque ». Je ne sais pas et je m'en fous un peu. Tout en gémissant, elle ajoute : « En anglais, on appelle ça la cowgirl position ». « Pour un puceau, tu te débrouille très bien » commente la jeune femme. Je me sens merveilleusement bien, Le fait que la jeune femme fixe le rythme de nos movements ne me dérange pas . A un moment donné, elle se retire brusquement de mon pénis, se retourne rapidement, me présente ses fesses rebondies et s'empale à nouveau sur mon sexe dans cette nouvelle position. Elle me dit : « Ca, c'est la reverse cowgirl position, l'avantage, c'est que tu vois mieux les fesses ». J'apprécie en effet le spectacle, brièvement « Je préfère quand je suis face à toi » dit Chantal en revenant à la position initiale.

La jeune femme a manifestement un orgasme juste au moment où je sens ma semence se répandre en elle. Chantal cesse ses mouvements et se laisse tomber sur moi. " C'était super" m'assure la jeune femme en se dégageant. Elle me couvre de baisers sur tout mon corps, avant de me laisser récupérer. " Tu as été très bien, me dit Chantal, le souffle encore court, je te laisse récupérer quelques instants et puis ce sera toi qui bougeras et qui me feras l'amour."