Vues: 1002 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 5

Une romance imprévue - 17 ► 20

Je suis en slip face à Chantal. Bien sûr, je bande et elle ne peux pas ne pas le voir. Elle ne fait pas de commentaire sur ce point et chausse son stéthoscope. « En fait, dit-elle, la visite se limite à l'auscultation du cœur et des poumons, à l'examen génital, puis à la prise de température et de la tension. Je ne me suis jamais senti aussi calme à une visite médicale. Debout face à moi, Chantal joue quelques instants avec les poils de ma poitrine et s'attarde un peu plus longuement sur mes petits tétons. Elle pose ensuite le disque de son stéthoscope sur différents endroits de ma poitrine, semble en trouver un qui la satisfait et regarde sa montre, tout en m'auscultant. « Aujourd'hui, j'ai une trotteuse », fait-elle en souriant. Un long moment passe, une vague inquiétude me reprend : et si j'avais quelque chose au cœur ? Chantal me gratifie d'un large sourire. « Aujourd'hui, ton cœur est tout calme, ...et il bat parfaitement bien. Tu es à 80 pulsations par minutes, même avec ta fièvre, alors qu'avant-hier, tu étais à 130. Tiens, écoute, fait-elle en me passant les écouteurs de son appareil. Je perçois en effet la différence avec avant-hier. Le bruit sourd est toujours fascinant. Chantal retire le disque de ma poitrine et le place, comme l'autre jour, sur son Tshirt, juste au bord de son sein, sauf qu'aujourd'hui, comme hier, en mon honneur, elle a retiré son soutif. J'ai l'impression que le cœur de Chantal bat maintenant plus vite que le mien. Ce qu'elle confirme : « Si mon cœur bat un peu plus vite aujourd'hui, c'est parce que je suis amoureuse ». Je dis à Chantal que j'ai trouvé « sympa » qu'elle me fasse écouter mon cœur (et le sien)et que cela ne m'était jamais arrivé. « Oui, dit la jeune femme, je fais souvent ça avec les enfants ou les lycéens angoissés à la visite médicale ». Alors que je ne me lasse d'entendre son cœur, elle ajoute : « Mais, tu sais, aux Etats-Unis, il y a des psychologues qui disent que les enfants peuvent avoir peur du bruit de leur cœur qu'ils découvrent et être traumatisés . » Chantal reprend son stéthoscope et me demande de me tourner pour un examen rapide des poumons. Alors que je respire profondément par la bouche, elle me dit : « Tes poumons m'ont l'air parfaits aussi...Tu ne fumes pas, c'est bien.....surtout ne commence pas. »

Je suis de nouveau face à Chantal. La jeune femme s'assoit sur un tabouret devant le bureau du maître des lieux. Sa tète est au niveau de mon bas-ventre. Levant les yeux, elle me fait un grand sourire alors que ses mains saisissent l'étoffe de mon slip. Je sais ce qui va se passer. Le moment que je redoutais tant lors de toutes les visites médicales. Là, je suis calme. Chantal abaisse le vêtement jusqu'aux chevilles. Mon sexe se dresse devant elle. Je suis un peu gêné. Elle a dit qu'elle n'aimait pas que les gens qu'elle examine bandent. « Tu es splendide, une vraie statue antique. Je vois que tu n'as plus peur de moi » apprécie Chantal avec un sourire entendu. La doctoresse prend mon pénis en main, apprécie sa fermeté. « Là, normalement, je vérifie que tout fonctionne bien, je décalotte et recalotte plusieurs fois. C'est un peu plus difficile quant le petit lycéen bande, comme toi aujourd'hui. » J'ose une question que je me suis souvent posée : « Tu en as beaucoup qui bandent ? ». « Chez les lycéens, je dirais: un sur trois, répond Chantal qui continue d'apprécier la fermeté de mon sexe, et après, parmi ceux qui bandent, il y a ceux qui le font involontairement et que j'essaie de rassurer, et ceux qui le font par provocation ». Chantal passe à mes couilles. Elle les soupèse, puis les fait rouler entre ses doigts. J'interroge à nouveau Chantal : « C'est là que tu leur demandes s'ils sont vierges ». Chantal me dit : « En général, c'est l'infirmière qui pose cette question et pas moi. S'il ne sont pas vierges, elle leur demande combien de partenaires ils ont eu.....et là, je suis sidéré quand j'entends des mecs de 17,18 ans, dire qu'ils ont couché avec plus de cents filles, parfois sans même savoir combien ». Exerçant une dernière pression assez forte sur mes petits testicules, elle conclue : « Moi, je suis peut-être pas une sainte, mais je me souvient de tous les mecs qui m'ont baisée ».

L'examen génital est terminé. J'avoue encore à Chantal que, en plus de mon angoisse naturelle, à chaque visite médicale, j'étais affolé à l'idée qu'on risquait de me demander si je me masturbais. Je m'imaginais que les médecins pourraient voirsi c'était le cas. Chantal m'assure que, depuis des années, les médecins scolaires ne posent pas cette question, ils savent que tous les jeunes se masturbent et ne veulent pas les perturber avec cette question.

« Maintenant, dit Chantal, je vais te prendre la température. On va changer un peu le scénario, si tu es d'accord, bien sûr. » ajoute-t-elle avec toujours son large sourire. Considérant mon accord comme une évidence, la jeune femme me dit : « Tu vas te mettre à quatre pattes sur le lit d'examen, mon amour... »

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Chantal m'a invité à me mettre à quatre pattes sur le lit d'examen, elle précise : « prend appui sur les genoux et sur les coudes ». Elle poursuit : « C'est la meilleure position pour le médecin, le rectum est aisément accessible ». Je constate pour ma part que pour le patient, cette position est moins confortable que celle que je considérais comme normale, allongé sur le ventre. Chantal se tient à coté de moi. Elle ne peut s'empêcher de me répéter que j'ai un beau cul. Elle me dit : « Avant la fin de nos « dix jours », je m'amuserai à te faire un petit toucher rectal, mais aujourd'hui, comme tu as tes coups de soleil, je t'épargne ça et tu auras juste le thermomètre ». Toujours avec une infinie douceur, accentuée par la volonté de ne pas faire mal à mes brûlures solaires, Chantal m'écarte les fesses et glisse le thermomètre. Toujours cette sensation extraordinaire, peut-être accentuée par la position qu'elle m'a fait prendre , j'ai l'impression que le thermomètre est encore plus enfoncé que les fois précédentes dans mon sphincter.

Depuis deux jours, mon petit cul aura été gâté. « On dit cinq minutes ?... » propose Chantal tout en maintenant le tube de verre en place. Rapidement, elle impulse au thermomètre des mouvements de faible ampleur, mais que je ressens vivement, d'aller et retour, puis de rotation. Je repense à la réponse que m'a faite hier ma copine, je pense que je peux la qualifier ainsi maintenant , elle voulait que je lui laisse le thermomètre en place « pour l'éternité ».

Tout en jouant avec le thermomètre, Chantal revient sur mon coup de fil de ce main qui a interrompu une prise de température. « C'était un mec d'une trentaine d'années, il avait une sorte de grosse grippe et il n'avait pas pris sa température. Il a un peu renaclé avant d'accepter que je la lui prenne . Il m'a dit que la dernière fois qu'on lui avait mis un thermomètre dans le cul, c'était à l'armée, le jour de la visite de libération ».

Profitant de la confiance que je crois instaurée entre nous, j'interroge Chantal sur ses pratiques en matière de prise de température. « Tu la prends à tous tes clients ? ». « Non , répond-elle, mais à tous les lycéens au cours des visites médicales que je fais passer ».

Les cinq minutes sont passées. Chantal retire le thermomètre. Elle constate que ma température continue à descendre. Je suis à 37,9, pas très loin de la normale à cette heure-ci. « Je pense qu'entre toi et moi, il n'y a plus d'effet blouse blanche » observe Chantal. « D'ailleurs, on va vérifier avec la tension, remet-toi sur le dos. J'obéis. Toujours nu, le sexe toujours dressé, d'autan que la prise de température n'a pu que le stimuler, je sens le brassard du tensiomètre serrer mon bras à plusieurs reprises. Chantal manie la petite poire et le stéthoscope avec dextérité. Elle annonce : « 13 - 7 », commente : « C'est parfait » et conclue : « Tu n'as plus peur des visites médicales, du moins avec moi....Je ne suis pas sûre que ce serait le cas avec un autre médecin... ».

Nous réalisons que nous avons oublié de me mettre la pommade sur mes coups de soleil. Chantal prend un plaisir évident à l'exercice. Elle fait pénétrer l'ongment sur ma poitrine, sur mon ventre, puis me fait retourner pour tartiner de pommade mes petites fesses, partie de mon corps la plus atteinte. La douleur que je ressens encore se dissipe petit à petit alors que Chantal imprègne mes fesses de la pommade. La sensation est extraordinaire, la pression des mains de Chantal sur mes fesses est ferme et douce. « J'adore tes petites fesses, me dit Chantal, elles seront encore plus belles avec un peu de bronzage..... Il fallait que tu sois vraiment timide pour être encore puceau à vingt ans avec un cul pareil ». Chantal lit sur le mode d'emploi qu'il faut étendre la pommade matin et soir. « Tu auras du mal à le faire toi-même, observe la jeune femme, et même si elle te couve, je ne pense pas que tu puisses demander ça à ta maman, parce que je suppose que tu ne lui a pas dit que tu étais tout nu sur une terrasse quand tu as attrapé tes coups de soleil ». Elle propose: « Je te mettrai ta pommade moi-même, d'ailleurs c'est un peu de ma faute, non ?.... Il suffira que l'on se voit chaque matin et chaque soir d'ici ton départ, .. C'est plus ou moins ce qu'on avait déjà décidé, non ? » Je me range aux arguments de ma copine, même si je la trouve un peu « bossy ».

« Maintenant, je t'amène dans mon studio, déclare Chantal, j'ai encore des choses à t'apprendre, mon petit ex-puceau »

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Le studio de Chantal que le Dr Blom met à sa disposition se trouve à dix minutes à pied du cabinet. Nous y allons ensemble, main dans la main, je sens toujours le pouce de Chantal qui frotte contre la paume de ma main. Est-elle consciente de ce geste, qui ne me déplait pas ? Tout en marchant, Chantal se laisse aller dans ses propos : « Tu sais, j'ai tellement envie de toi. On n'a pas encore fait l'amour aujourd'hui, mais je t'ai vu nu deux fois, avec une belle érection en plus , et je t'ai pris deux fois la température. Je rêve de ta queue ». Je suis heureux de marcher avec une fille qui me tient la main, même si j'ai un peu peur de croiser quelqu'un qui me connaisse et qui irait « cafter » auprès de ma mère.

Nous arrivons au studio, qui se trouve dans un immeuble moderne et chic. C'est un véritable appartement dont dispose Chantal. Comme elle le dit, le Dr Blom soigne ses remplaçants. En plus d'une cuisine et d'une salle de bain séparées, une grande pièce fait office de chambre et de living. Après le coin conversation avec deux fauteuils massifs quelque peu usagés, Chantal me montre le lit en soulignant : « On peut y dormir à deux,... je voudrais faire ça avant la fin de nos « dix jours », … tu penses que tu pourrais arranger ça avec tes parents ? ». Tout ce que je trouve à répondre est : « Ca me parait difficile ». Chantal réplique : « Tu ne peux pas dire : j'ai une copine et je veux dormir avec elle ? ».

La question reste en suspens. Chantal me serre contre elle, m'arrache littéralement mon Tshirt, se colle à moi et me roule une pelle. Elle ouvre mon jean et saisit mon pénis. « Tu es dur, c'est bien » me murmure-t-elle. Je lui caresse maladroitement ses seins sous son Tshirt. Soudain, la jeune femme se dégage, se retourne et se colle contre le dossier d'un des fauteuils, me présentant sa croupe encore vétue. « Je fantasme sur ce fauteuil depuis que je suis là,...prends moi là, tout-de-suite ». Malgré mon inexpérience, je saisit l'attente de ma copine. Je lui retrousse sa jupe et lui descend sa petite culotte. Mes mains se posent sur ses fesses si douces, et écartent les deux globes charnus. Je fais glisser mon slip et glisse mon sexe tendu dans la raie des fesses de la doctoresse. « Oui .. Prends-moi » supplie la jeune femme. Je place ma queue à l'entrée de son vagin et m'apprête à la pénétrer. « Attends...gémit Chantal... Je te veux plutôt dans mon cul....Ne t'inquiète pas, je suis assez chaude... ». Que faire d'autre que d'obéir. Mon sexe se place contre le petite corolle de son trou du cul et force l'entrée. Chantal hurle au moment où mon pénis force son sphincter, mais me supplie de continuer. Le gland est entré et mon sexe investit petit à petit ses intestins. Je vais et viens en elle et craint de lui faire mal. Le contact de ses fesses contre mon bas-ventre est extraordinaire. Elle a au moins un orgasme avant que je vienne, trop vite de toute façon. Je sens mon sperme se répandre en elle. Je me retire. Elle fait un pas et se laisse tomber sur son lit où elle m'invite à la rejoindre. « C'était si bon, m'assure Chantal, tu sais, j'aime sentir ta grosse queue dans mon petit cul ».

Nous reprenons lentement notre souffle, allongés tendrement dans les bras l'un de l'autre. Je caresse Chantal sur tout son corps, en m'attardant sur ses seins et ses fesses. Elle joue d'abord avec mes petits tétons, puis s'attarde plus longuement sur mes petits testicules. « En tant que médecin, je sais que tout vient de là, commente Chantal, tes petites couilles m'ont donné un plaisir fou ».

Je gâche notre belle sérénité en disant une nouvelle fois à Chantal : « Tu sais, je n'ai plus du tout envie d'aller en Californie si c'est pour te perdre... ». Ma copine m'arrête : « Tu m'as bien dit,hier ou avant-hier, que ce voyage était le rêve de ta vie. Je ne te laisserai pas tout gâcher bêtement pour une nana, même si c'est moi la nana....Et puis, on est « ensemble » depuis deux jours sur les dix qu'on a, ou que j'ai, prévus, on a tout le temps de s'engueuler et de se fâcher avant ton départ ». Elle poursuit : « D'ailleurs, réfléchie, si tu ne t'étais pas inscrit pour ce voyage, tu ne serais pas venu à ma consultation pour ton certificat médical et on ne se serait jamais connus ». Elle conclut : « Tu partiras bien gentiment en Californie, même si je dois te mettre de force dans l'avion ». Devant mon air consterné, elle ajoute, reprenant son sourire charmeur : « Et si nous, c'est vraiment sérieux,et si au cours de ton séjour en Californie, tu résistes aux sirènes de Malibu et aux binoclardes de Paris4, c'est plutôt celles-là qui m'inquiéteraient, te connaissant un tout petit peu, à ton retour on pourra éventuellement aviser. »

Un ange passe. Je retiens avec satisfaction ou du moins soulagement que Chantal semble maintenant prête à accepter que notre « histoire » pourrait durer plus que les « dix jours » qu'elle avait fixés. Retrouvant sa gaité naturelle, Chantal fait glisser le tiroir de sa table de nuit, en extrait deux tubes en plastique dont la nature me semble évidente et annonce, radieuse : « On va faire un petit jeu ».

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Toute enjouée, Chantal, tenant en main les deux thermomètres, explique les règles de son petit jeu : « On peut appeler ça le jeu du pronostic.... On va se prendre mutuellement la température et avant, chacun va prévoir le niveau de sa propre température...Celui qui sera le plus proche de son résultat gagne et pourra imposer un gage, sexuel de préférence , à l'autre ». L'idée de ce jeu ne me déplait pas. Pour dire quelque chose, j'objecte : « En tant que médecin, tu n'es pas un peu avantagée ? ». « Je ne suis pas sûre, reprend Chantal, et en plus on t'a pris la température deux fois aujourd'hui et pas à moi....Et tu as vraiment peur de mes gages ? ». Le jeu se met en place et nous inscrivons chacun sur un papier notre prévision. Compte tenu de mes coups de soleil et de ma fatigue, je me promets un petit 38.0 , Chantal se prévoit 37.8 . « Allez, on commence par toi » fait Chantal.

Déjà intégralement nu, je me mets en place sur le lit moelleux de Chantal, pour ce qui, il y a trois jours, m'aurait terrorisé. On va me mettre un thermomètre dans le cul. Là, je suis serein. Je sens les mains fraiches et douces de Chantal qui se posent sur mes fesses et les écartent avec toujours ce mélange de douceur et de fermeté. « Là, tu as un peu chaud, on dirait, tu est sûr que ça va ? » me demande la jeune femme en glissant son thermomètre entre mes fesses. Elle l'enfonce doucement, lentement mais profondément dans mon sphincter. Toujours cette sensation extraordinaire. « Je te le laisse dix minutes, ..D'accord » fait Chantal.

« Je me répète, dit la jeune toubib, mais je ne me lasse pas de contempler ton petit cul, même si il est encore plus mignon avec un thermomètre entre tes jolis fesses ». Un peu gênée par l'énormité de ce qu'elle va dire, elle déclare : « Tu sais, je voudrais avoir une bite pour te défoncer ton petit cul, mon amour ». Tout en prononçant ces propos plus qu'osés, elle joue avec le thermomètre de manière à le faire aller et venir avec une lenteur programmée dans mon rectum en un simulacre de coït. Je suis aux anges et au bord de la jouissance quand, tout à coup, Chantal annonce : « Les dix minutes sont terminées » et retire avec un maximum de douceur le thermomètre de mon rectum.

Elle a une expression curieuse quand elle lit le résultat de cette prise de température. Elle constate : « Tu as un peu de fièvre, mon chéri, 38.7 ». L'hypocondriaque que je suis panique. Je perds la belle érection qu'avait provoqué la prise de température par Chantal. Je ne me sens pas bien. Serais-je vraiment malade ? Risqué-je de ne plus partir en Californie ? (est-ce-que ce n'était pas mon objectif il y a quelques heures?) Vais-je mourir à 20 ans ? Chantal observe : « Tu as l'air complètement paniqué, mon pauvre petit,... tes jolies petites fesses en tremblent », « c'est très, très mignon en plus, tu sais », ajoute-t-elle en me gratifiant de son splendide sourire. Est-ce qu'elle ne se foutrait pas un peu de moi en plus ? J'essaie de me calmer, de me raisonner et de me convaincre qu'être malade et soigné, dorloté, chouchouté et materné par Chantal ne serait peut-être pas si désagréable. Chantal propose : « On revérifiera ta température plus tard, pour le moment, on continue notre jeu,...c'est vrai que j'ai toutes les chances de gagner maintenant. Tu es à -5 ou +5 comme tu veux » .

J'essaie de me concentrer sur la prise de température que je dois effectuer sur Chantal. La jeune femme, nue à plat ventre sur son lit est particulièrement craquante. Je tente de lui retourner ses compliments sur mes fesses. « Tu as aussi des fesses splendides, lui dis-je, bien rondes, tu me rappelles un tableau de Watteau avec une fille, nue à plat ventre, qui lit un livre ». Chantal juge ses fesses un peu trop grosses et réplique : « Mouais, limite gros cul, non ? ». « Mais non », l'assuré-je . Avec toute la douceur dont je suis capable, je lui écarte les fesses et glisse le thermomètre dans son rectum. Je manie l'instrument en le faisant aller et venir dans le fourreau qui l'accueille. Cependant, tout à coup, je ressens une vive chaleur sur tout mon corps et me mets à dégouliner de sueur. Quelque chose ne va pas. L'instant d'après, je suis pris de frissons et me mets à grelotter. Chantal constate que je ne manipule plus le thermomètre. « Qu'est-ce-qui ne va pas, mon trésor ? » demande-t-elle.

« Je crois que je suis malade » murmuré-je avec anxiété. Chantal retire elle-même le thermomètre que j'étais sensé contrôler et en vérifie l'affichage . « 37.9, je crois qu'il est resté assez longtemps et que j'ai gagné ». Elle me prend dans ses bras et essaie de me conforter : « Ce n'est sûrement rien de grave et je suis là pour te soigner ». Elle ajoute : « Comme j'avais gagné à mon jeu à la con, je pensais te sucer jusqu'à la moelle et avaler ta semence, mais on pourra faire ça plus tard....Pour l'instant, laisse-moi t'examiner..... »

Comments

jojofun73 Il ya 11 ans
n/a Il ya 11 ans
patou39 Il ya 11 ans
jojofun73 Il ya 11 ans
dudu Il ya 11 ans
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patou39 Il ya 11 ans
clyso Il ya 11 ans
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