Sylvain
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Vues: 959 Created: 2013.03.10 Mis à jour: 2013.03.10

Fessées éducatives et familiales

4 – Sylvie

Quelques années plus tard, j’utilisais ma cuisante expérience personnelle et les méthodes de ma chère tante pour motiver celle qui allait devenir ma femme, alors que nous commencions tout juste à sortir ensemble depuis quelques mois, en bons copains.

Sylvie, une collègue de travail, m’avait demandé de l’aider à préparer un examen professionnel en lui donnant des cours de mathématiques. La réussite à cet examen devant lui permettre une évolution de carrière intéressante, elle m’avait recommandé de faire preuve à la fois de patience et de persévérance pour la faire travailler et d’utiliser tous les moyens pour faire entrer coûte que coûte dans sa tête de ravissante étourdie les leçons qu’elle refuserait sûrement d’apprendre et de retenir.

Sans contraintes familiales, nous passions plusieurs soirées par semaine et les samedis matins à réviser et à travailler ensemble dans l’appartement de ses parents. Mais plus les difficultés augmentaient, moins Sylvie faisait preuve d’ardeur et de volonté. Il ne me fallut pas longtemps pour me rendre compte qu’elle refusait d’apprendre tout ce qui ne lui plaisait pas. Je lui en fis la remarque et avons cherché ensemble les moyens de la remotiver. A un moment, je lui dis :

« Si tu avais dix ans de moins, je n’hésiterais pas et je te donnerais une bonne fessée comme l’a fait ma tante lorsque j’avais 16 ans. Mais à ton âge, il me semble que tu as dépassé l’âge de recevoir la fessée ! »

Elle rétorqua par un « pourquoi pas ! » et je lui demandais, à la fois intimidé et surpris, si elle plaisantait. Elle affirma qu’elle était sérieuse et conclut son discours d’un « chiche ! »

Je regardais cette grande fille brune aux yeux verts, à peine plus petite que moi, vêtue d’un pull marine et d’un kilt long, les jambes gainées de nylon clair et chaussée d’escarpins en lui demandant si elle était sérieuse :

« De toute façon les mecs vous êtes tous les mêmes : plus les filles vous provoquent, plus vous vous vantez, mais vous ne tenez jamais vos promesses ! »

Elle avait un sourire moqueur en affirmant :

« Qui te dit qu’une bonne fessée ne me motiverait pas ? »

J’étais au pied du mur ! Il n’était plus question d’hésiter et de perdre de temps, l’occasion ne se présenterait peut-être pas une seconde fois. Je me levai, fermai la porte donnant sur le couloir et plaçai une chaise au milieu de la pièce. Sylvie vint d’elle-même s’allonger à plat ventre en travers de mes cuisses, la tête en bas et les fesses en l’air, et je me retrouvais avec une jolie fille sur les genoux, prête à recevoir une fessée. C’est ce que je fis aussitôt : tout en la maintenant par la taille, je lui claquais les fesses sur le fond de sa jupe. Les premières claquées la laissèrent silencieuse, puis elle se mit à rire en se moquant :

« Tu appelles cela une fessée, ça ne fait même pas mal ! »

« Ah bon ! Que portes-tu donc sous ta jupe ? »

« Un collant et une culotte… pourquoi ? »

La maintenant toujours par la taille, je retroussais amplement son kilt en rabattant le tissu au dessus de ses hanches. J’exposais ainsi une paire de fesses rebondies que je pouvais deviner à travers le collant clair et la culotte blanche.

« Mais que fais-tu donc ? Arrête !… Tu vas filer mon collant !… Mais il voit ma culotte !… Arrête tes bêtises ! »

Tout en parlant, elle se tortillait et essayait de rabattre sa jupe sur ses cuisses tandis que ma main claquait sèchement alternativement la fesse droite puis la gauche. Je me pris au jeu et augmentai la force et la cadence de la fessée. Sylvie se débattait pour tenter d’échapper aux gifles tombant sur ses joues fessières, tandis que j’observais le changement de couleur de ses fesses potelées, mais fermes et musclées, à travers le collant et la culotte qui les protégeaient.

Je dois en effet avouer que jamais je n’ai levé les yeux au plafond pendant toute la durée de la fessée. Je préférais admirer mon travail et me délecter du passage au rose puis au rouge du derrière de cette sale gamine dont les fesses tressautaient sous les claques et les jambes battaient l’air tant et si bien qu’elle en perdit ses escarpins !

Je ne sais pas combien de temps dura cette fessée ni combien de claques tombèrent sur le derrière de Sylvie, mais quand il fut écarlate, elle me supplia d’arrêter, promettant d’être sage et de bien travailler. C’est ce que je fis. Sylvie se releva aussi rapidement qu’elle s’était allongée, ses joues du haut aussi rouges que celles du bas, ses yeux verts brillant de rage. Tout en me faisant face, elle se massait les fesses des deux mains glissées sous sa jupe et se plaignait non seulement d’avoir mal aux fesses, mais aussi que celles-ci lui chauffaient et lui brûlaient !

« Tu peux être fier de ce que tu m’as fait !… Je ne peux plus m’asseoir !… Et tu crois me motiver en me traitant comme une gamine ? »

« Écoute, si tu persistes à mettre de la mauvaise volonté alors que tu m’as demandé de t’aider, la prochaine fessée je te la donne déculottée ! »

« … Tu n’oserais pas ? »

Il faut croire que cette fessée la motiva car, en fin de compte, elle réussit l’examen haut la main. Cependant, durant les jours de préparation qui précédèrent, elle participa à nos séances de révision en pantalon ! Par provocation, elle me réclama des « dommages et intérêts » pour le repassage par le teinturier de son kilt froissé et le remplacement de son collant prétendument filé. Pris au jeu, au lieu de la rembourser, je lui offris plusieurs paires de collants aux tons variés et l’invitai au restaurant. Nous commençâmes ainsi à sortir ensemble et plus seulement en bons copains…

Par la suite, la fessée « conjugale » fit partie de nos jeux. Sylvie pouvant être tantôt étourdie, tantôt capricieuse, tantôt colérique, les occasions ne manquaient pas et régulièrement elle se retrouvait couchée sur mes genoux, la jupe retroussée pour y recevoir une bonne fessée. Après un bon nombre de fessées, Sylvie s’était calmée. Mais un après-midi d’automne, après avoir était relativement « sage » depuis assez longtemps, elle multiplia insolences et provocations, jusqu’à ce que je réagisse :

« Toi, il y a trop longtemps que tu n’as pas reçu une bonne fessée et ça doit te manquer ! »

« De toute façon tes fessées ne m’impressionnent pas ! »

Quand elle se rendit compte de son insolence, il était trop tard : je l’avais déjà entraînée vers le canapé du salon et renversée sur mes genoux. En relevant sa jupe, j’eus l’agréable surprise de découvrir que Sylvie portait des bas, une petite culotte et un porte-jarretelles noirs. L’occasion faisant le larron, je descendis d’un seul coup sa culotte jusqu’à la bloquer par ses jarretelles.

J’avais ainsi à ma disposition le joli derrière dénudé de ma chère et tendre. Dès qu’elle sentit que je l’avais déculottée, elle poussa un « oh ! », qui devait être à la fois de surprise, d’indignation et aussi de honte, tout en serrant les fesses. Je lui administrais aussitôt une magistrale fessée déculottée en restant insensible à ses cris, à ses menaces puis à ses pleurs car, pour une fois, voulant la punir pour son insolence, je ne me contenais pas.

Plus la fessée durait, moins ses joues fessières se contractaient et moins elles étaient fermes. Sylvie cachait ses larmes dans un coussin du canapé qu’elle mordait à pleines dents. Je m’arrêtai seulement lorsque la paume de ma main fut aussi brûlante que la paire de fesses qu’elle venait de corriger. Inerte et sanglotant bruyamment, Sylvie resta un bon moment les fesses à l’air, allongée sur mes genoux, avant de se relever et de s’agenouiller au bord du canapé. La petite culotte toujours à mi-cuisses et la jupe fripée autour de la taille, elle massait des deux mains ses fesses dont le rouge tranchait avec le noir de ses dessous. Après quelques minutes entrecoupées de sanglots puis de rires, elle me félicita :

« Maintenant, tu sais bien fesser les vilaines grandes filles ! »

Depuis ce jour, Sylvie est toujours déculottée avant d’être fessée.