Sylvain
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Vues: 987 Created: 2013.03.10 Mis à jour: 2013.03.10

Fessées éducatives et familiales

5 – Les cousines

Il m’a été donné d’assister à une fessée entre filles dans les années 80 et ce fut Claudine, une cousine de ma future femme Sylvie qui en fut l’« héroïne ».

Cet été là, j’étais venu retrouver Sylvie dans la maison de campagne familiale où elle passait ses vacances avec ses cousines. J’ai été ainsi pendant quelques jours, le seul garçon au milieu de quatre filles de 15 ans à 25 ans. Ma fiancée était l’aînée, puis venait Claudine, âgée de 21 ans et enfin les deux sœurs Carole 17 ans et Isabelle 15 ans.

Au cours d’une promenade en amoureux, Sylvie m’avait confié que Carole et Isabelle s’inquiétaient de savoir si j’étais gentil avec elle. Claudine, quant à elle, plus ingénue et qui connaissait son tempérament capricieux, lui avait demandé si je l’avais déjà fessée pour cela et avait ajouté que si je n’avais pas encore osé le faire, elle ne manquerait pas de me le recommander. Sylvie m’avait avoué que cette question l’avait embarrassée et qu’elle avait rougi, ce qui n’avait pas échappé à Claudine !

Un après-midi, alors que je cueillais des fruits avec les deux plus jeunes, Sylvie vint nous chercher pour participer à un « conseil de famille entre cousines ». Dès que nous entrâmes dans la pièce, à la tête que faisait Claudine, je présumai que c’était du sérieux ! Elle nous attendait assise sur une chaise devant un petit côté de la table basse, bras croisés dans le dos et regardant la pointe de ses chaussures. Pendant qu’elle s’asseyait devant un grand côté, Sylvie nous invita tous les trois à prendre place en face d’elle, Claudine se retrouvant ainsi entre elle et nous.

Sylvie nous annonça qu’elle avait surpris Claudine à fouiller dans son sac à main pour prendre de l’argent, qu’elle n’était qu’une voleuse et méritait d’être punie comme une gamine. Aussi proposa-t-elle que, malgré ses 21 ans, Claudine reçoive une fessée devant nous tous, en espérant que cela serve aussi de leçon aux autres. Cette proposition fit l’unanimité et Claudine ne contesta pas la sanction, mais seulement ma présence et demanda à être fessée « entre filles ».

Sans lui laisser le temps de négocier, Sylvie se leva, saisit Claudine par le bras et l’entraîna à côté de sa chaise. Une fois rassise, elle fit basculer Claudine à plat ventre en travers de ses cuisses et retroussa sa courte jupe d’été avant de faire glisser sa petite culotte blanche jusqu’à la pliure des genoux, dévoilant ainsi une belle paire de fesses bien rondes et d’un blanc laiteux. Tandis qu’elle la ceinturait pour l’empêcher de bouger, je voyais les fesses de Claudine se contracter, se serrer, s’apprêter à la correction – spectacle qui, je l’avoue, ne me laissa pas indifférent – et s’attendant au pire, la punie fermait les yeux et serrait les dents…

Le bras droit de Sylvie se leva et la paume de sa main se mit à marteler à cadence rapide la croupe de la coupable. Chaque fois que la main claquait le derrière tendu, une trace rouge s’imprimait sur le globe où elle venait de tomber tandis que la pièce résonnait d’un bruit sec suivi d’un gémissement faisant sursauter les deux jeunettes. Ceci me fit penser qu’elles avaient dû connaître pareille mésaventure de la main de leurs aînées et à voir leur sourire, il n’y avait aucun doute qu’elles se voyaient vengées des fessées qu’avait dû leur infliger Claudine !

Tout en se tortillant et battant des jambes pour tenter d’échapper aux claquées, Claudine poussait maintenant des petits cris de douleur et, entre deux sanglots, suppliait Sylvie de cesser. Mais Sylvie ne se laissait pas attendrir et savourait, sourire aux lèvres, cette fessée qu’elle administrait en laissant tomber sa longue et fine main sur un derrière qui avait perdu sa pâleur initiale pour rosir puis rougir en passant par toute la gamme des rouges et ressemblait maintenant à une tomate bien mûre ! La fessée ne dura pas très longtemps mais fut intense et lorsque Sylvie s’arrêta et la relâcha, Claudine avait les fesses écarlates et des larmes plein les yeux. Elle se releva aussitôt, remonta sa culotte et se précipita dans l’escalier pour regagner sa chambre tout en se frottant le derrière à deux mains sous sa jupe.

Sylvie sermonna Carole et Isabelle avant de les renvoyer continuer à cueillir les fruits, non sans les avoir menacées du même châtiment si l’envie leur prenait d’imiter Claudine.

Une fois seuls, Sylvie m’avoua qu’elle avait éprouvé un « certain plaisir » à claquer le derrière de jeune femme de Claudine et qu’elle comprenait le plaisir que pouvaient éprouver les garçons en fessant de « vilaines grandes filles » !