Fessées éducatives et familiales
6 – Martine
Lorsque j’avais un peu moins de 35 ans, j’ai partagé pendant cinq ans le même bureau que Martine qui frôlait la quarantaine. J’effectuais des contrôles de sécurité et à chacun de mes retours, Martine dactylographiait mes rapports. C’était la secrétaire idéale mais elle avait un gros défaut : celui de fumer cigarette sur cigarette, profitant de mes absences pour enfumer le bureau.
Nous en avions déjà parlé et Martine m’avait demandé de l’aider à ralentir sa consommation. J’avais tout essayé (calculer ses dépenses en tabac pour lui montrer tout l’argent qui s’envolait en fumée, confisquer ses cigarettes ou son briquet…), mais rien n’y faisait ! Un jour, en plaisantant autour d’une tasse de café, je lui affirmai que je ne voyais plus qu’une solution si je la surprenais encore à fumer : la fessée. Ceci la fit bien rire et elle se vanta même que j’aurais mal aux mains avant qu’elle ait mal aux fesses car avec toute la gymnastique qu’elle pratiquait, ses fesses étaient musclées et elle n’hésiterait pas à les serrer !
Quelques semaines plus tard, un soir en rentrant de mission, je découvris dans une atmosphère enfumée, Martine assise jambes croisées et fumant sa cigarette, qui m’attendait pour évaluer son travail du lendemain. Je lui donnai quelques explications et au moment de partir, je lui rappelai les termes de notre contrat sur sa cure anti-tabac et lui annonçai qu’elle venait de gagner la fessée qui était en sursis depuis plusieurs semaines. Ceci ne sembla ni l’impressionner, ni la surprendre.
Ce jour là, Martine portait un pull émeraude sur une jupe noire assez courte, des bas noirs et des escarpins. Je m’assis sur sa chaise, l’attirai à moi et la renversai sur mes genoux, elle bascula vers l’avant et posa ses deux mains à plat sur la moquette. Tout en la maintenant par la taille, je remontai sa courte jupe moulante jusqu’au dessus de la cambrure de ses reins découvrant ainsi la partie la plus charnue de son corps qui allait bénéficier d’une attention toute particulière de ma part, à la fois sonore, claquante et cuisante !
Je remarquai avec un certain regret qu’en guise de bas, elle portait un collant dissimulant à peine une ravissante petite culotte noire. Sans attendre, je lui claquais énergiquement et alternativement chaque fesse. Au bout de quelques minutes, Martine demanda grâce car elle avait le « rouge au front ». Je ne voyais pas son front, mais malgré ses dessous opaques, le rouge commençait à poindre sur ses rondeurs. Je concluais par quelques claques bien senties, avant de rabattre sa jupe et de l’inviter à se redresser. Martine se releva sans faire de commentaire et nous quittâmes le bureau.
Je pensais que cette fessée allait la faire réfléchir mais quelques semaines plus tard, je la surpris prête à allumer une cigarette. Après l’avoir sermonnée gentiment, je lui annonçai qu’elle avait gagné une nouvelle fessée que je lui donnerai immédiatement. Je lui fis signe de venir près de moi pendant que je reculai ma chaise. Elle obéit sans me faire répéter et dès qu’elle fut à ma portée, je la couchai en position en travers de mes genoux, retroussai sa jupe rouge sur ses reins, dévoilant ainsi un collant couleur chair sur une petite culotte gris perle.
Je la fessais aussi fermement mais plus longtemps que la première fois et je ne m’arrêtai que lorsque ses fesses furent devenues aussi rouges que sa jupe. Martine se releva et, sans prendre le temps de rabattre sa jupe, se massa les fesses à deux mains en regardant par-dessus son épaule l’ampleur des dégâts. Toujours troussée, elle me fit constater la rougeur de son derrière visible à travers son collant et me certifia que ses fesses lui brûlaient et lui cuisaient tant qu’elle ne pourrait pas s’asseoir dans l’immédiat. Ceci ne nous empêcha pas d’aller déjeuner mais durant tout le repas Martine resta assise du bout des fesses !
Notre collaboration ne se ressentit pas de ces fessées et notre relation resta tout aussi cordiale. Parfois, en souriant, Martine évoquait et commentait ses deux fessées en affirmant qu’elles renforçaient notre amitié car elle avait entièrement confiance en moi, ce jeu qu’elle qualifiait d’érotique, ne pouvant se pratiquer qu’entre adultes consentants et confiants.
Martine avait ralenti sa consommation de cigarettes mais elle profitait de mes déplacements pour fumer en cachette. Deux saisons passèrent avec chacune son lot de fessées puis l’été arriva.
Quelques jours après la reprise, je la complimentai sur son bronzage, et la taquinai en lui demandant s’il était intégral. Elle me répondit que chez la femme, comme chez le poulet, c’est le blanc le meilleur !
Je surpris Martine le lendemain en train d’allumer une cigarette. A croire qu’elle me provoquait et qu’elle cherchait la fessée ! Elle ne fut pas déçue : elle se retrouva encore en position en travers de mes cuisses. Mais cette fois, après avoir retroussé sa robe d’été, je profitai que sa petite culotte ne soit pas protégée par un collant : la maintenant plus fermement par la taille, je pris l’initiative de la déculotter pour la fesser ce que jusque là, j’avais réservé à Sylvie mon épouse. Martine eut beau protester et se débattre mais rien n’y fit et elle apprit qu’à 40 ans qu’il n’était pas trop tard pour recevoir une bonne fessée déculottée.
Soignant mon ouvrage, je prenais tout mon temps. Je m’appliquais à donner à ses fesses un hâle rougeâtre n’ayant rien à envier à celui de ses cuisses et de ses jambes qui battaient l’air en réponse à mes claquées. Tandis que Martine hurlait, menaçait, suppliait, promettait, ses rondeurs tressautaient dans tous les sens sous l’impact des gifles qui tombaient en avalanche !
A la fin de la punition, Martine se redressa en se reculottant, les yeux embués de larmes. Visiblement humiliée par cette fessée, elle me demanda entre deux sanglots ce qui lui arriverait si elle persistait à fumer. Sans hésiter, je lui affirmai que ses prochaines fessées seraient semblables à celle qu’elle venait de recevoir, mais qu’elle les recevrait devant toutes ses copines des pauses café-cigarette. Elle savait bien qu’elle ne pouvait pas espérer la moindre solidarité de leur part car, quand la fessée est en jeu, il n’y a pas de « solidarité entre filles » ! Le spectacle les ferait toutes rire, sauf elle Martine, bien sûr !
La leçon a porté : Martine ralentit sa consommation de cigarettes, ne fuma plus jamais au bureau et depuis quelques années, elle ne fume plus du tout !