La Directrice de L'Institut Ospif
Episode 24: "Bouffée d'oxygène"
"Ouhlàlà, quelle mine!"
Madame Françoise, jeune professeur de chimie, venait d'entrer dans mon bureau pour me remettre les bulletins mensuels. Elle était pâle et me semblait très nerveuse, au bord des larmes même.
"Je... euh... oui... Je pas... C'est pas la forme..." finit-elle par balbutier.
Les mots s'entrechoquaient dans sa bouche. Par bribes, elle me racontait ses problèmes privés. Depuis des semaines elle dormait mal, narrivait pas à se détendre. En deux mots: elle était horriblement stressée
J'en eus pitié. En plus, dans cet état elle n'était pas capable de donner cours d'une façon convenable.
"Venez avec moi, je vais vous soigner..."
"Mais Madame la Directrice, mon cours commence dans moins d'un quart d'heure!"
"C'est plus qu'il ne me faut pour mon 'traitement-miracle'!"
Le jeune prof me suivit vers le coin-salon de mon bureau. Je lui indiquai la table basse.
"Mettez-vous à quatre pattes."
Elle me regarda d'abord sans comprendre, puis, après avoir haussé les épaules, grimpa sur la table.
Je pris un des coussins du canapé et le lui donnai:
"Couchez votre tête sur ce coussin, mais gardez votre derrière en l'air."
La jeune femme obéit, prit le coussin dans ses bras comme si c'était un oreiller, et ferma les yeux. Elle avait des cernes mauves.
Poussant doucement sur ses reins, je lui fis cambrer le dos, ce qui poussait son fessier encore plus en l'air. Sa jupe pudique recouvrait sagement son derrière.
"Maintenant je vais vous demander de ne plus penser, d'accord? Je veux que vous vous relaxiez au maximum, sans vous préoccuper d'où vous êtes, ce qui se passe autour de vous etc. La porte de mon bureau se ferme électroniquement,
donc personne ne peut entrer; en plus les murs sont insonorisés..."
Comme toute réponse elle soupira profondément.
Je me mis à lui masser la taille. Je travaillais rapidement, malaxant, triturant la peau et les muscles latéraux de son ventre. Petit à petit je la sentis se détendre. Je poursuivis le massage vers les hanches qu'elle avait assez larges.
Elle soupira à nouveau, d'aise cette fois-ci.
Madame Françoise portait une jupe midi en tissu épais; aussi la lui ôtai-je pour mieux sentir sa peau.
Elle se raidit. Mais quand mes mains reprirent leur massage, elle parvint à nouveau à se détendre.
Elle ne portait pas de bas et je ne pus m'empêcher de sourire: cette digne enseignante portait des dessous noirs! La culotte montait assez haut sur son ventre, mais la moulait comme un gant - comme la plupart de nous Madame Françoise voyait assez petit quand elle achetait ses vêtements... Ah, si nous pouvions toujours garder la même taille!
C'était une culotte en nylon noir et mat, garnie de dentelles sans être vulgaire.
Je m'assis carrément derrière elle, entre des jambes écartées. Elle avait de splendides cuisses musclées qui disparaissaient dans la culotte noire. Son chemisier pendait et je pouvais entrevoir ses seins, eux aussi gainés de nylon noir.
Je respirais bien fort pour résister à la tentation d'enfouir mon visage dans son entrejambe qui se trouvait tout près de moi.
Mes mains massaient maintenant la partie la plus large de ses hanches.
Cela dura plusieurs minutes. Glissant vers l'extérieur de son bassin, je lui caressais l'aine du bout des doigts, par-dessus sa culotte. J'avoue que j'adore sentir le relief un peu rêche des dentelles en nylon. J'avais donc aucune peine à mettre le cur à l'ouvrage. Il y des corps qui réagissent bien, et il y en a qui réagissent mal; les pires sont ceux qui ne réagissent pas du
tout. Le corps de Madame Françoise réagissait bien. Imperceptiblement elle vibrait sous mes doigts et c'est exactement ce qu'il faut lors d'un massage: les vibrations éliminent les toxines et ravivent les cellules. Mentalement aussi la personne se calme et parvient à ce que j'appelle "mettre son esprit à zéro".
Sa respiration était devenue régulière. La masse de ses cheveux noirs cachait en partie son visage et ce que je pouvais entrevoir me semblait serein et détendu. Il était temps de terminer l'opération. Tout était en place: le masque d'oxygène était sur la table, près de son visage; mon fidèle appareil de massage était branché.
Doucement je fis glisser mes mains le long de ses hanches, vers l'élastique de sa culotte. Elle était vraiment trop petite d'une taille car l'élastique mordait dans la chair, y dessinant une ligne rouge. Prudemment je le pris des deux mains et commença à faire glisser sa culotte, comme on pèle une pêche. Il y avait vraiment lieu d'employer le mot 'pêche' pour designer les fesses de Madame Françoise: elles étaient parfaites. On avait envie d'y mordre. Pas un pouce de graisse, la peau lisse avait juste assez de grain pour ne pas paraître fausse. Je ne vis aucun poil entre ses fesses. Plus loin, un léger duvet recouvrait le sexe entr'ouvert. Chose assez rare, l'anus était à peine plus sombre que la peau adjacente, on aurait dit une bouche ronde de couleur rose pâle.
Madame Françoise ne broncha pas quand je fis glisser sa culotte jusqu'à mi-cuisses. Elle avait tenu parole et avait réussi à sortir de son corps.
Jamais la prude Madame Françoise aurait pu imaginer se retrouver un jour dans cette position assez mettons, exposée, pour ne pas dire franchement obscène : le derrière en l'air, les cuisses écartées, le flambant entre-jambe offert à son employeur
Mais la jeune femme n'en était pas moins physiologiquement parfaitement en ordre: son sexe était trempé et un filet de bave reliait l'entrée du vagin au fond de la culotte tendue entre ses cuisses...
C'est exactement ce qu'il me fallait pour que son traitement soit efficace.
Je m'efforçai de penser 'cliniquement', c'est à dire de bloquer, voir censurer, toute pensée érotique - sans quoi je n'aurais jamais pu terminer ce 'traitement', bien entendu!
Je pris mon appareil de massage de la main droite, le masque à oxygène de l'autre. Une dernière fois je contrôlai les réglages du masque: dès qu'elle l'aurait sur le visage, Madame Françoise respirerait de l'air nettement enrichi d'oxygène.
C'était un truc de pilotes de chasse. Un copain, pilote de F-16, m'a un jour avoué un grand secret: comment se peut-il que les pilotes de chasse puissent faire la nouba toute la nuit puis décoller sur leurs jets comme si de rien n'était? Tout simplement, une fois assis dans leurs cockpits (parfois ils devaient même y être hissés, vu leur état), ils branchaient leurs masques à
oxygène, et quelques minutes après, le cerveau irrigué de sang enrichi, toute trace d'ébriété, voir de gueule de bois avait disparu.
C'est ce que j'allais faire à cette jeune femme: lui donner une bonne bouffée d'oxygène. Et quel est le moment le plus propice pour administrer ce gaz?
Exactement! Le moment où elle jouit et respire à pleins poumons...
Mon appareil de massage fit entendre son ronronnement bien connu quand je l'approchais de ma patiente.
Ecartant doucement les grandes lèvres d'une main, je glissai la tête ronde en dessous, puis les laissai retomber; la chair rose recouvrait l'embout vibrant, seul la tige métallique qui le reliait au boîtier dépassait du sexe joufflu.
La jeune femme se mit à gémir, ou plutôt à ronronner, un peu comme l'appareil de massage. Comme je n'exerçais aucune pression, les vibrations étaient légères comme des baisers de papillons. Son ventre s'agita d'une discrète houle, son sexe s'enflamma. Je vis ses muscles fessiers se contracter puis se relaxer et ainsi de suite. Instinctivement son corps chercha le contact avec cette petite bête vibrante.
Tenant le masque à oxygène dans l'autre main, je me mis à augmenter rythmiquement la pression vibrante sur les petites lèvres, là où elles se réunissent et recouvrent le clitoris. Madame Françoise ouvrit les yeux et la bouche dans un mouvement de surprise intense. Elle approchait la jouissance à toute allure. Sans hésiter je lui appliquai le masque sur le visage. Elle
respira goulûment tandis que j'augmentais encore la pression de l'appareil contre son clitoris. Après quelques secondes son corps se crispa et elle se mit à crier dans le masque. Madame Françoise avait l'orgasme bruyant. J'en avais la gorge sèche et la culotte mouillée.
Bientôt la tonalité des ses cris changea et je retirai la tête vibrante. Elle aurait hurlé de douleur si j'avais continué à appliquer ces vibrations puissantes sur son petit bouton devenu horriblement sensible par son orgasme.
Je ne pus m'empêcher de glisser la pointe de ma langue le long de sa fente jusque sur son anus. Elle sursauta, mais cette caresse était si légère qu'elle ne cria même pas.
Sa pâleur maladive avait fait place à des pommettes un peu trop rouges, et Madame Françoise avait repris du poil de la bête.
Après lui avoir remis sa culotte en place, je l'aidai à se relever:
"Rappelez-vous, il ne s'est rien passé. Je vous ai fait respirer une bouffé d'oxygène, c'est tout. Maintenant, allez rejoindre vos élèves!"
Souriante, toute trace de stress disparu, elle ouvrit la porte et se retourna :
"Merci Madame!"
La chaleur dans son regard fut ma plus belle récompense.