Charlène O


Vues: 607 Created: 2009.09.14 Mis à jour: 2009.09.14

La Directrice de L'Institut Ospif

Episode 23: "Prof de latin"

La conversation avait été agréable, mondaine même.

La jeune femme, assise de l'autre côté de mon bureau, avait de la classe. Ellepostulait pour la place de professeur de latin et j'avais déjà conclu qu'elle ferait très bien l'affaire.

Ses cheveux courts lui donnaient un air énergique que j'aime bien chez mes professeurs, et les quelques fils d'argent qui parsemaient ses cheveux noirs trahissaient qu'elle était plus âgée qu'elle n'en avait l'air. Surtout son sourire me plaisait: il partait des yeux. Je devinais qu'elle pouvait être très sévère.

Madame Évelyne Delacolette réunissait en elle les trois éléments de base que j'exigeais pour chaque enseignante de l'Institut Ospif: de la classe, de l'autorité, et une connaissance approfondie de la matière qu'elle enseignait.

Juste au moment où Évelyne sentait qu'elle avait la place, je décidai de lui faire passer un dernier test. Si cette expérience se concluait d'une façon positive, Mme Delacolette me serait définitivement conquise...

"Levez-vous, venez jusqu'ici."

Un regard étonné, puis à nouveau ce sourire partant des yeux. Elle se leva lentement, contourna le bureau et vint vers moi.

J'avais reculé ma chaise et la contemplais de haut en bas.

Sa robe vert foncé, boutonnée par le devant, lui allait comme un gant. Sobre et de bon goût elle laissait quand même deviner qu'en dessous il y avait une femme bien féminine.

"Au moment où je me suis approchée de vous, vous m'avez regardée de haut en bas, comme un homme l'aurait fait, seulement votre regard était beaucoup plus doux que ceux des hommes que j'ai croisé."

J'eus un sourire amusé. Elle continua:

"Et puis, une femme avertie en vaut deux... Madame Rocarde m'avait expliqué à quoi je pouvais m'attendre... J'avoue franchement que j'avais un peu peur quand je suis entrée dans votre bureau... Puis nous avons eu notre conversation sereine et je croyais que j'allais échapper... J'ai même eu peur, un tout petit instant, que je ne faisais pas l'affaire, que je ne vous

plaisais pas... Puis vous m'avez fait lever. Mes genoux tremblaient, je n'arrivais plus à avaler. J'avais soudain chaud et froid. Je me rappelle encore: en m'approchant de vous, j'ai dû me retenir pour ne pas mettre mes mains devant mon ventre, en un réflexe d'autodéfense."

C'est vrai qu'elle m'avait un peu fait penser à une chèvre qu'on mène au tigre; toute sa superbe s'était envolée. J'allais continuer sur cette voie et lui montrer sa place - et la mienne - une fois pour toutes. Une bonne entente est très importante dans une équipe pédagogique.

Sans un mot je la fis approcher à me toucher. Je défis quelques boutons du bas de sa robe, puis, par gestes, la fit avancer encore. Elle dut ouvrir les jambes des deux côtés de mes genoux joints. Les mains sur ses hanches je la fis s'asseoir. Elle me regarda de ses immenses yeux apeurés. Je sentis cet agréable picotement au creux du ventre.

"Aimez-vous Wagner?"

Un regard étonné, tout près du mien, puis une réponse nette de quelqu'un qui se jette à l'eau: "Oui!"

Dans la situation où elle se trouvait, elle n'aurait pas eu le temps de se 'forger' une réponse.

C'est une tactique que j'employais de temps à autre: créer une situation extra-ordinaire, puis en profiter pour poser des questions qui vraisemblablement n'avaient rien à voir avec cette situation. Cela m'apprenait parfois des choses bien intéressantes.

J'avais remonté la robe sur son derrière, afin de lui permettre de s'asseoir; maintenant j'ouvris mes genoux autant que ma jupe me le permis, la forçant à écarter ses cuisses encore plus. D'une main je la ceinturais, l'attirant contre moi - elle avait une légère touche de l'Air du Temps de Nina Ricci -

l'autre main partit à la découverte...

La sage Madame Delacolette portait un short de soie dont les jambes larges étaient terminées par un bord de dentelle. L'avantage de ce genre de sous-vêtement largement ouvert est qu'on a l'impression de ne pas en porter, surtout sous une robe ou une jupe.

Mes doigts furent immédiatement en contact avec son intimité. Évelyne sursauta mais je la tint fermement contre moi. Sa respiration s'accéléra et je sentis son cœur battre la chamade.

Du bout des doigts je frôlais son sexe, du début de sa fente jusqu'à l'anus, puis dans la raie entre ses fesses.

Elle s'était raidie dans mes bras, respirait la bouche grande ouverte. Tout près de mon oreille cela fit comme un bruit de forge. Mon ventre prit feu.

Je sortis ma main de sa culotte et me mit à lui masser l'entre-jambe à travers la soie. D'abord de grandes ellipses comme si je voulais cerner la zone sensible, puis en une spirale de plus en plus petite qui se termina là où je sentais l'ouverture de son vagin.

En l'espace de quelques minutes, l'altière Madame Delacolette se transforma de pile à haute tension en poupée de son. Ses bras s'étaient refermés autour de moi et elle m'enlaçait comme un naufragé s'accroche à une bouée.

Bientôt je sentis sa bave mouiller la soie sous mes doigts. Je continuais mes cercles, ouvrant son vagin un peu plus à chaque tour. Je dus employer deux doigts tant elle était ouverte. Heureusement le tissu lâche n'entravait pas mes mouvements. Je l'enfonçais sans peine dans l'orifice trempé. Les hanches d'Évelyne se mirent à danser une discrète sarabande où, mine de rien, elle cherchait le contact de mes doigts sur son clitoris.

Mais comme j'aime diriger les opérations, je trouvais toujours moyen d'échapper à ses tentatives d'auto-caresse. Je ne pus m'empêcher de serrer et desserrer mes cuisses.

J'étais en train de bouger mes doigts qui étaient à nouveau tout près de sa perle quand résolument je sautai le périnée pour atterrir sur le renflement discret de son anus. A ma grande surprise je n'eus aucune peine à y enfoncer mes deux doigts, gentils soldats au garde-à-vous. Le professeur de latin semblait avoir des dons cachés.

A l'opposé de son vagin, son anus se serrait et se desserrait rythmiquement autour de mes doigts, chaque contraction s'accompagnant d'un gémissement lascif dans mon oreille. Heureusement que je portais une culotte en épais coton absorbant, car je me sentais devenir de plus en plus moite.

Quand mes doigts s'écartèrent pour lui exciter le rectum elle me vrilla la pointe de la langue dans l'oreille, m'envoyant des décharges de courant dans l'échine. Madame Delacolette contre-attaquait.

Il fallait que je reprenne la situation en main rapidement, si je ne voulais pas perdre mon prestige.

D'une bourrade je me levai. Je m'attendais à ce qu'elle se lève aussi, mais au lieu de cela, elle resta accrochée à moi. Mon dos souffrit un bon coup quand je la soulevai, mais je réussis à la coucher sur mon bureau, ses jambes et ses bras toujours agrippés à moi. Enfin elle se rendit compte qu'elle n'était plus à la verticale mais à l'horizontale, et me lâcha.

Les yeux fermés, un discret sourire aux lèvres, les jambes pendantes, elle gisait sur mon bureau comme un cadeau d'anniversaire. La robe verte couvrait sagement ses jambes jusqu'à mi-cuisses, mais n'arrivait pas à camoufler le

renflement de son mont de Vénus.

Elle ouvrit les yeux et nos regards se croisèrent. Je lus dans son sourire qu'elle se sentait forte, victorieuse même. Elle savait qu'elle venait d'obtenir la place de professeur.

J'eus heureusement le réflexe de contrôler mes mains et de ne pas les laisser filer entre mes cuisses, sinon Évelyne aurait sûrement repris son attaque - et qui sait, conclu notre rencontre à son avantage.

Avant qu'elle n'ait pu reprendre son souffle, je lui relevai les jambes et lui mis les pieds sur le bord de mon bureau. Assise entre ses jambes je voyais droit dans son intimité par les ouvertures du short de satin. Le sous-vêtement était poisseux là où mes doigts avaient frotté son sexe.

J'ouvris encore quelques boutons de sa robe, la dénudant jusqu'au nombril. Le satin mauve pâle brillait doucement dans la lumière.

Je mis un coussin sous la tête d'Évelyne - je voulais qu'elle voie tout ce que j'allais lui faire.

Assise plus bas qu'elle, mon visage à hauteur de son sexe, nos regards se trouvèrent juste au-dessus du renflement de son mont de Vénus. Une légère rougeur colorait ses joues. Elle ferma les yeux.

"Non! Ne fermez pas les yeux! Je veux que vous regardiez..."

Étonnée elle me regarda de ses grands yeux bleus.

"La culotte!"

Elle se mordit les lèvres, puis fit glisser la culotte de soie le long de ses jambes. Je l'en débarrassai, puis entreprit de lui sécher le sexe. La soie enroulée autour de mes doigts je suivis sa fente. Au moment où j'effleurais son clitoris, ses fesses décolèrent de la table. Son sexe était trempé.

Délicatement j'essuyai sa bave dans ses replis intimes, la faisant sursauter plusieurs fois comme un patin désarticulé. Même la raie entre ses fesses était glissante.

Après cet exercice, la culotte de soie ressemblait plus à un chiffon qu'à un sous-vêtement. Ostensiblement je reniflai la culotte. Le rosissement de ses joues fit place à une rougeur genre tomate bien mûre.

Enivrants. Les effluves emprisonnés dans sa culotte étaient tout simplement enivrants. Tenant l'attention d'Évelyne sur son short souillé je me permis d'effleurer discrètement mon intimité. J'étais trempée. Brûlante.

Je me levai pour lui faire sentir sa culotte et en me penchant je m'appuyais sans le vouloir sur son ventre. Elle sursauta sans raison apparente et se mordit les lèvres. Du bout des doigts je tapotais son ventre, juste au-dessus de son os pubien, et mes doutes furent confirmés: Madame Delacolette avait une grande envie de faire pipi. Bien entendu je pouvais ignorer ce besoin, la laissant avec cette sensation désagréable, cette peur de ne pouvoir se retenir; mais je me souvins avoir reçu quelques échantillons de produits médicaux et je décidai de la soulager à ma façon.

La laissant couchée sur mon bureau, les cuisses écartées et les genoux relevés comme chez le médecin, je cherchai dans mes tiroirs.

Dans le tiroir du bas je trouvai une sonde urétrale jetable.

J'enfilai une paire de gants et bien en vue je défis le plastique protecteur.

"Aaaaah!" C'était vraisemblablement la première fois qu'on lui mettait une sonde. L'orifice de l'urètre était petit, mais le bout arrondi de la sonde s'y inséra sans faire de dégâts. Bientôt je sentis la résistance du sphincter.

"Respirez à fond!"

D'un mouvement coulant je fis pénétrer la sonde dans la vessie. Nouveau cri. Du pouce je maintenais le tube de plastique fermé. Je réussis à y attacher une poche de plastique transparent avant de voir gicler l'urine. Je levai la poche qui se remplissait rapidement afin de montrer à Mme Delacolette ce qui se passait entre ses jambes. Clairement elle ne comprenait pas ce qui s'y passait. Il y avait cette légère brûlure dans son urètre, mais l'horrible tension dans sa vessie diminuait rapidement. Elle se rendit enfin compte que c'était le contenu de sa vessie qui changeait de récipient sans qu'elle puisse

intervenir.

Sa respiration se calma, son ventre montait et descendait à un rythme plus raisonnable. Mais cela ne dura pas. Je décidai de 'terminer' ce traitement - en partie à cause de la brûlure entre mes cuisses.

Les mains toujours gantées, je présentai deux doigts - les même petits soldats - devant l'ouverture anale. Je me mis à pousser.

Sa bouche s'ouvrit sur un cri muet et elle ferma les yeux un instant; puis elle se rappela que je lui avais interdit de les fermer et les écarquilla.

J'avoue que c'est une image qui m'émeut toujours: le regard chavirant quand je force l'anus de mes 'patientes'.

Rares sont celles qui s'y attendent, la plupart s'apprêtent à subir une pénétration vaginale.

Évelyne ne put s'empêcher de murmurer "Oh, c'est bon!" avant d'ouvrir la bouche en grand, cherchant de l'oxygène.

Son corps s'était couvert de chair de poule. La bave, accumulée sur le pourtour de son vagin béant me coulait sur les doigts, rendant la pénétration anale aisée.

De l'autre main j'écartais la sonde et mis à nu le clitoris. Sa perle nacrée luisait de mille feux. Au lieu de masser l'organe à travers le capuchon comme je le fais d'habitude, je me mis à donner de tout petits coups avec la pointe de ma langue droit sur le minuscule bouton.

Évelyne se cabra mais j'avais bien assuré ma prise et ne me laissai pas démonter.

Je profitai d'une accalmie - où ses muscles se relâchèrent un court instant - pour insérer un troisième doigt dans son derrière. Moins de quinze secondes après la tempête se déclencha.

Madame Delacolette gémit, bava, puis hurla comme je continuais à exciter son clitoris devenu ultra-sensible. Je ne m'arrêtai que quand elle demanda pitié, son corps tendu en arc de cercle...