Souvenirs de Jean
Chapitre 3 - Jean et le docteur
Enfin Jean est 'grand' et bénéficie de vacances même si il ne peut partir, un bouquin et un coin tranquille dans le parc suffisent à son bonheur.
"C'est bien ce que vous lisez ?"
Zut un casse pieds et en plus comme c'est'' les 120 jours du divin marquis' ce n'est pas a montrer.
"Très bien mais je ne crois pas que ..?"
"Je suis confus, je me pressente docteur x mais je n'exerce plus".
"Enchanté : Jean mais je n'ai pas encore pus exercer"
Satisfait de ce que je crois être une bonne blague je me replonge dans mon bouquin tout en observant a la dérobée le 'toubib'
"Ah ce divin marquis, il est un peut répétitif et a mon goût trop sanglant"
Bon il faut discourir !
"Je trouve les descriptions trop sommaires ou trop détaillées, pas de caresses, n'y de contraintes partagées en douceur, on taille on coupe, on tranche, on perfore ce n'est que ventre forcées anus dévastées bouches déchirées ça devient grotesque si ce n'est que Hors licence a cette époque ! On a du faire bien pis dans les salons et encore de nos jours …"
"Bravo jeune homme et vous-même tout neuf vous plairait-il de connaître mes ouvrages ou même de jouer à être patient ou docteur ou même les deux ?"
Me redressant je le toisait
"Je vous suis."
A quelques distance je vous prie ?"
"Celas vas sans dire"
Il résidait dans les beaux quartiers et son ancienne plaque de cuivre était couverte de sparadrap.
Au troisième la sonnette discrète fit ouvrir la porte sur un charmant minois de soubrette qui me guida dans une salle d'attente où il n'y avait plus qu'une chaise et pas de revues.
Déjà la porte s'ouvrait sur lui et il me guida dans une salle d'auscultation et munie d'un bureau.
"Où soufrez-vous ?"Avec un clin d'œil Je compris que le jeu commençait !
"Juste sous la verge et dans le rectum !"
"Je vais vous examiner"L'examen fut complet et il failli me faire éjaculer a plusieurs reprise.
"Vous semblez très sensible ?"
"Je voudrais vous y voir"
"J'espère bien"
"Je vais vous administrer un lavement pour nettoyer et préparer le terrain"
Il prit une grosse poire munie d'une grosse canule mais qui semblais très flexible et face a moi m'écartant les jambes, après m'avoir soigneusement vaseliné m'introduisit cette curieuse canule qui ne prenait que la place qu'on lui laissait mais toute la place.
En serrant les fesses je réduisais le jet, mais ne pouvais totalement l'interrompre ce qui semblait être délicieux.
Le retrait fut aussi discret et un bassin sous mes fesses attendait que je me relâche.
Je réussis à tenir une demi-heure puis me vidais d'un seul coup.
Il m'essuyât puis doucement écartant sa bouse exhiba une verge potable qu'il me rentra dans l'anus.
Je le laissais faire ne me resserrant que par politesse et tandis qu'il augmentait son allure je lui saisis les fesses pour le plaquer contre moi et avec un râle il éjacula !
Je pus évacuer son don et il en profita pour enlever le bassin. "Tu n'as pas joui ? Si tu le veux ma nièce que tu as vu tout a l'heure peut me remplacer ? Tu jouerais le rôle de docteur ? Marie tu peux venir ?"
Il me tendit une blouse et un stéthoscope que j'enfilais. Marie arrivait, pas belle mais jolie et délicieusement perverse.
"Cher ami je dois vous prévenir que ma nièce Marie souffre de pertes mais je préfère vous laisser la soigner. Marie voici le docteur Jean qui va s'occuper de toi et j'en suis certain te soulager si tu permets je l'assisterais ?"
"Bien sur mon oncle !"
"Nous allons donc commencer par un examen normal pour examiner ensuite les particularités si celas vous convient cher confrère ?"
"Si mademoiselle veut bien découvrir sa poitrine ? Il me semble que les renseignements sur la taille le poids etc. sont déjà dans son dossier, oui allongez-vous sur la table d'examens."
Les petits seins pointé vers eux se prêtèrent a une sérieuse palpation, aucun nodule ou grosseurs n'aurait pus échapper aux doigts qui trituraient sa poitrine, en faisant saillir les tétons.
"Comme je ne fie pas a ma sensibilité tactile mais plus a ma sensibilité buccale je vais prendre en bouche la pointe de vos seins et exercer une légère sucions gomme un enfant qui voudrait boire un lait que bien sur vous n'avez pas encore. Vous voudrez bien me dire si vous en éprouvez une sensation, si elle est agréable etc."
Le téton qu'il prit en bouche lui sembla s'allonger et grossir démesurément. Elle se tortillait sur la table et pressait sa tête contre lui.
"Finissez donc de vous dévêtir mais vous pouvez garder votre culotte en plastique d'on vous semblez avoir grand besoin ! Mais retirez votre couche que l'on puisse juger à travers la transparence des effets produits ! Vous semblez gauche, sans doute de la fièvre ?"
Et le docteur lui tendit un thermomètre et un pot de vaseline.
"Baissons un peut cette culotte et comme il serait souhaitable de prendre votre température vaginale pour comparer je suppose que vous n'êtes pas vierge ?"
Comme elle secouait la tête négativement il mit des gants de latex et après avoir enduit son doigt de vaseline le glissa entre les lèvres du sexe découvert. Rose, soigneusement épilé, il accepta le doigt inquisiteur qui se mit à l'explorer sans se soucier de la cyprine inondant les lieux.
Il caressa le col de l'utérus et sa petite ouverture mais surtout il rechercha le fameux point 'G' trouvant une zone légèrement plus rugueuse et la voyant se tordre manifestement de plaisir il réclama un spéculum pour voir cette fameuse zone.
Tous deux se régalèrent de cette vision et il prétendit faire un frottis pour exciter encore mieux cette zone la faisant pisser de plaisir. La culotte plastique rapidement remontée pour protéger d'un jet trop puissant il attendit la fin et écartant le bas vida la culotte dans un bassin.
Le thermomètre dans le vagin bien sur ne fut qu'une formalité "36°9 c'est parfait pour ici. Vos dernières selles datent de quand ?
Trois jours. Bien on va d'abord vous soulager. Je vous place deux suppositoires de glycérine pour commencer ?"
Et le doigt ganté et vaseliné força la petite ouverture qu'il venait de découvrir. Apres avoir largement tourné dans tous les sens il présenta la petite ogive gélatineuse que l'orifice s'empressa de gober, un deuxième le suivit et comme il restait entrouvert, il présenta un ovule de la taille d'un œuf de pigeon qu'il força de la paume a glisser dans un rectum distendu tandis qu'il lui serrait les fesses par précaution.
Puis la culotte remontée il lui caressa le ventre et les cuise doucement tendit que la diabolique glycérine faisait effet et que déjà l'anus luttant de toutes ses forces commençait à s'entrouvrir.
"Faites un effort déjà que je devrais vous injecter un lavement si vous ne faite pas d'effort je devrais choisir une grosse canule pour dompter votre petit trou."
Tout en tapotant le plastique tendu sur l'anus saillant il aggravait sciemment les difficultés de rétention et quelques gouttes troubles apparurent puis l'anus s'ouvrit comme une bouche qui baille et en un jet libérateur elle vida ses entrailles avec quelques jets complémentaires.
Bien sur la culotte ne pouvant pas contenir ce flot commença a déborder, heureusement la bassine était la pour recueillir cette inondation Jean avait fini de jouer au 'docteur' mais attend vos commentaires