Jean maintenant était en age de nouvelles conquêtes. Marie fille de gendarme se retrouvait seule à la caserne avec Angélique.

Angélique bien qu'un peux enveloppée était une ravissante fille qui pour son malheur était amoureuse folle de moi, qui a part en profiter lâchement, me laissait indifférent.

J'aurais pu tout lui demander mais une certaine bigoterie hérité de la mère décédée la faisant rougir, mais me laissant lui caresser les seins, glisser ma main dans sa culotte, mais si j'avais pu investir un anus surpris mais consentant, le sexe ne pouvait être conquis que par un mariage qui ne me venait pas même a l'esprit.

Elle avait adopté avec moi une curieuse attitude en quelque sorte, profitant des"restes de sa sœur".

Marie, elle robuste fille d'un mètre quatre vingt et de quatre vingt seize kilos mais si bien répartis qu'elle ne semblaient pas"grosse". Sa poitrine ferme lui aurait permis de prendre une douche sans se mouiller les pieds. Ses fesses fermes en proportion. Visage avenant, rieur, mais suffisamment forte pour ne laisser personne l'embêter.

De pseudo études d'art lui permettais d'être pionne dans une école de fille

Et comme en ce temps la les filles ne portaient pas de pantalon j'avais eut le privilège de l'inviter au ciné.

Des la projection des actualités ma main se trouvais sous sa jupe a hauteur de ses cuisses qu'elle ouvrait en protestant mollement. Bien sur les jarretières atteintes je sus que la chose était possible, d'autant que mon index ne trouva pas de culotte mais un sexe rasé et humide.

Je voulus m'y engager mais me heurtais a un refus catégorique. Elle me laissa plonger plus avant entre ses cuisses grandes ouvertes, longer le périnée et atteindre le petit monticule ridé.

Pas d'objection a ce que mon doigt recueille la cyprine et j'allais en humecter le petit trou que je commençais d'investir. L'inondation de cyprine me fit comprendre qu'elle venait de jouir !

Pendant tous le film je ne cessais de la pistonner à un, deux, et même trois doigts alors que prenant conscience de ma tension elle ouvrit la braguette pour accéder à ma verge tendue.

Comme je ralentissais elle me murmura"continue"Et elle me pris en bouche, mais n'eut pas grands efforts à fournir pour me faire jaillir au fond de sa gorge.

Elle déglutis puis repris sa suçait, mais bien sûr il me fallait recharger mes accus.

Décidé elle glissa sa main pour faire descendre mon caleçon et mon pantalon a mis cuisse et ne s'interrompant dans sa sucions que le temps de lécher son doigt et me l'introduisit dans l'anus.

Immédiatement au garde a vous elle ne poussa pas son avantage, d'ailleurs le film finissait

Le retour a la caserne fut un supplice je bandais si fort !

Et elle avait sur sa jupe une tache de cyprine révélatrice.

Entrés en douce dans la petite maison de fonction (réservée aux officiers) je l'accompagnais dans sa chambre, mais il fallut vérifier que la petite (sic) dormait.

En effet à cause de la chaleur, les fesses ont l'air, nue et si charnelle.

D'une voie normale elle me déclara"quand elle dort comme ça impossible de la réveiller tu veux voir ?"et elle se pencha sur la dormeuse et lui ouvrit les fesses dévoilant son petit trou.

Se penchant elle aspira la petite pastille et entrepris d'y glisser sa langue.

Tu veux y goûter ? Moi j'adore. Allez goutte et ensuite tu me le feras. Je m'exécutais, y trouvant une douceur indescriptible.

Mais Marie m'entraînait déjà, mais en quittant la chambre je vis le regard bien ouvert et lucide d'Angélique sur moi !

Je crus me déboîter la mâchoire a force d'introduire ma langue, mais heureusement je pus y mettre les mains et bientôt mon sexe qui enfin y trouva sa part.

Il ne fallait pas en promettre à Marie et malgré toutes mes manipulations je dus (heureuse récupération de la jeunesse) éjaculer un grand nombre de fois pour m'entendre dire "Je dois être constipée ! Tu veux bien me mettre des suppositoires de glycérine ?"

Le reste de la boîte y passât, cinq ou six. Puis elle me réclama une injection à la poire ou au bock a mon choix ?

Elle eut droit à un bock de deux litres avec une canule que je soupçonnais d'un autre usage.

Enfin repue, elle s'endormait, quand je quittais la chambre.

Mais Angélique m'attendait dans le couloir et m'entraîna dans sa chambre où se mettant nue sur le lit me demanda de lui faire comme à"elle". Avec beaucoup d'hésitation je caressais ses fesses offertes et le petit trou quêtait son envahissement.

"Je voudrais être propre là aussi". Elle sentait le savon de petite fille, mais elle était loin d'en être une !

Mon sexe déjà mis à rude épreuve par sa sœur se manifestait tandis qu'elle se prêtait à l'introduction de suppositoires.

Quelle famille ! Mais après s'être soulagée et lavée elle me tendait un tube de lubrifiant !

Ma queue convenablement graissée, je lui vidais bien la moitié du tube dans l'anus malgré son sursaut du a la froideur de la crème.

Je lui mis ma verge dans la main et ce fut elle qui la présenta au centre de la pastille qui dégorgeait la crème.

D'une poussée lente elle me fit là pénétrer jusqu'à sentir la bague de son anus distendu contre mon ventre. Je la laissais s'habituer à ma présence et ce fut elle qui commença à bouger.

Nos jouissances furent longues à venir, mais caressant son bouton je réussis à provoquer un spasme si fort qu'il m'entraîna et tandis que je me vidais en elle, elle me pissait dans les doigts sa cyprine remplacée peut à peut par son urine.

Je m'arrachais péniblement de son anus et rentrais chez moi au petit matin.

Quelques jour plus tard son père étais muté a l'autre bout de la France et j'eu la lâcheté de ne pas répondre aux quelques lettres que m'envoyèrent ces coquines, ayant comparée leurs sensations elles firent souvent usage de la canule.

Maintenant, mariées toutes deux, je croisais leur chemin par hasard et elle me firent toutes deux comprendre que j'étais assuré de leurs arrières. Il faut dire que cette voie avait été dûment visitée mais que mes soins auraient été accueillis avec plaisir.

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