Baby-sitter au ski
Chapitre 7
Apres 5 heures de surf sur piste nos sommes de retour épuisées au chalet. J’ai vraiment apprécié ma couche lors de mes chutes cette après midi. Une cheminée crépite à l’intérieur du chalet. Fred et Antoine nous attendent devant des chocolats. Venez les filles réchauffez vous, enlevez vos moufles et vos anoraks. Fred met à sécher nos gants devant la cheminée pendant que nous retirons nos cagoules.
- Comment s’est passé le surf Solène ? Etes vous êtes mouillées les filles ?
- Non,non tout va bien - Vous êtes sure Solène ? Viens me voir Zoé que je vérifie ton body.
Sandrine a déjà baissé le pantalon de Zoé. Elle passe sa main sur le collant.
- Mais tu n’avais pas mis de couche dit donc ?
Zoé est morte de honte devant moi. Le collant baissée, le body déboutonné, sa mère l’oblige à se coucher sur le tapis, sort un change complet de son sac à dos pour changer sa fille devant tout le monde. Aussi tôt fait elle remet debout zoé, fixe les boutons du body sous la couche avant de lui remonter collant et pantalon.
- A vous Solène venez ici. Je suis furieuse que vous n’ayez pas habillé convenablement Zoé. Vous êtes la baby-sitter ne l’oubliez pas. J’ai l’impression d’avoir trois enfants. N’est ce pas ? Vous serez punies toutes les deux ce soir.
Tout en parlant Sandrine commence à baisser mon pantalon et mon collant puis avec son doigt elle écarte le body pour sentir l’intérieur de ma couche.
C’est bon, votre change n’est pas mouillé. Asseyez vous buvez votre chocolat !
Zoé et moi sommes humiliées d’avoir été déculottées et changées en public devant Antoine. Il s’amuse de nous et lance des regards moqueurs. Deux grandes filles en couche buvant des chocolats.
Dès que vous avez fini, allez vous laver et vous préparer pour la nuit, j’arrive !
Nous obéissons comme deux gamines. Zoé m’a pris par la main. Elle m’aide à monter dans notre chambre. Ses mains caressent mon entrejambe dans l’escalier. Arrivée dans notre chambre, Zoé commence à descendre mes collants sur mes genoux. Je suis incapable de réagir comme saoulée par le surf et le grand air de la montagne. J’ai juste la force d’enlever ma cagoule. J’entends les scratches de la couche se détacher. Elle m’a allongé sur le lit et commence doucement à caresser mon ventre. Elle est toujours en pull. Je vois sa cagoule bleue se pencher vers mon sexe. Sa langue commence à caresser mon clitoris. Elle varie le rythme à me rendre folle. Elle redresse sa tête, me sourit puis fait demi tour pour me présenter son entrejambe en lainée sur ma tête. Je me retrouve tête bêche bouche écrasée contre son pubis recouvert par le collant. Sa langue est repartie à l’attaque de mon sexe. Je lui attrape ses fesses ouatées, la déculotte, lui arrache sa couche avant d’embrasser son sexe imberbe. J’essaye avec ma langue de faire comme elle. Nos mains vont et viennent sur nos fesses. Le plaisir monte. C’est à ce moment que Sandrine nous interpelle :
Alors les filles, ça y est vous êtes habillées pour la nuit ? Vous pouvez descendre !
Zoé s’est relevée pour attraper les lingettes, le talc et les changes. Occupe-toi de moi vite, on doit descendre rapidement. Je lange Zoé qui me regarde en souriant, lui enfile son col roulé. Elle fait de même avec moi sans s’attarder, les scratchs refermés serrés une nouvelle couche. L'heure est venue de descendre toutes deux en couche et collantées pour apercevoir devant la cheminée, à coté d’Antoine et de Sandrine, deux jeunes adolescents en tenue de surf.
- Zoé tes cousins souhaitent vous emmener surfer demain. Malheureusement je leurs ai dit que vous étiez punies.
- Oh maman s’il te plait laisse nous y aller.
La situation est humiliante, le bruit de nos couches s’entend à chaque marche que nous descendons. Sandrine se lève devant eux pour boutonner nos body sous nos couches puis nous enfile chacune notre baby gros boutonné dans le dos. Les cousins nous regardent comme au spectacle. Ils proposent à Sandrine de prendre soin de nous et de bien s’occuper de nous.
- On verra demain. Les filles sont fatiguées ce soir. Elles sont punies. Enfilez vos cagoules et maintenant vous embrassez tout le monde et vous allez au lit tout de suite sans dîner…
Dommage qu’il n y ait pas la suite
J’…