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Vues: 671 Created: 2020.07.22 Mis à jour: 2020.07.22

Les études de Marie-Jeanne

Guérison et détente

La journée se passa sans encombre et sans nécessité de courir aux toilettes. De retour chez madame Granlean, Marie-Jeanne remercia celle-ci

« Merci de vos soins, je n’ai guère été incommodée pendant la journée.

— Pas de selles ?

— Non.

— Je vais tout de même aller vérifier votre température. »

Marie-Jeanne se retrouva encore une fois déculottée à plat ventre sur son lit, thermomètre cette fois-ci enfoncé par madame Granlean.

« Pensez-vous nécessaire de reprendre une purge ? Si votre ventre s’est calmé, ce n’est pas forcément nécessaire, mais cela dépend de comment vous le sentez.

— Je pense que ça va aller merci. »

38,4°, tout à fait normal. Marie-Jeanne se sentait guérie.

Après dîner, les deux femmes firent, comme à leur habitude maintenant, la vaisselle ensemble. À l’issue de celle-ci, madame Granlean attira Marie-Jeanne contre elle. Marie-Jeanne se blottit contre elle. Elle appréciait qu’on s’occupe d’elle ainsi.

Madame Granlean était d’ailleurs d’humeur à dorloter Marie-Jeanne. Après l’avoir envoyée aux waters (« non pas de selles, madame »), elle s’offrit de lui faire sa petite toilette, à savoir lui laver l’entre-fesse et le sexe sur le bidet. Marie-Jeanne apprécia cette attention. Elle eut d’ailleurs une petite idée.

« Et vous, madame Granlean ? Ne faudrait-il pas aussi vous laver ?

— Vous avez raison. »

Madame Granlean se dévêtit et, dignement, s’assit à son tour sur le bidet pour se faire laver le sexe et l’anus.

Les deux femmes se rendirent dans la chambre de madame Granlean et tombèrent enlacées sur le lit. Elles se caressaient avec de petits rires.

« Ah madame, je crois tout de même que vous aimez me prendre la température et me donner le clystère.

— Hé oui. J’aime bien m’occuper de vous, et… oui j’aime bien m’occuper de votre fondement. Je n’irais pas vous donner des lavements sans une bonne raison de le faire, mais je trouve amusant de vous les donner.

— C’est curieux à recevoir. Très embarrassant, inconfortable voire parfois très inconfortable, et en même temps j’avais envie que vous me les donniez.

— Je comprends parfaitement. »

Madame Granlean embrassa alors Marie-Jeanne sur la bouche. Les caresses s’intensifièrent. Les doigts de Marie-Jeanne parcoururent le sexe de la veuve. Elle se les lécha le regardant madame Granlean dans les yeux, puis en enfonça deux dans le vagin de son initiatrice et commença un massage interne en poussant vers le nombril, comme elle lui avait appris.

« Pourriez-vous… pourriez-vous essayer de me lécher tout en me mettant vos doigts ? »

Marie-Jeanne ne se fit pas prier. Elle qui aurait trouvé cela dégoûtant il y a quelques mois n’avait qu’une envie : se frotter le visage contre le sexe de son initiatrice, goûter le suc de son vagin, sentir la douceur de ses lèvres intimes et de son clitoris contre sa bouche, et lécher tout ça… Elle s’agenouilla sur le plancher, madame Granlean présenta son sexe, Marie-Jeanne assouvit ses envies buccales, puis renfonça ses doigts tout en essayant de lécher. Son massage interne énergique tira des gémissements de madame Granlean, qui l’éloigna de son clitoris.

La veuve, essoufflée, attira Marie-Jeanne contre elle dans le lit.

« Vous avez vite appris. C’était très bon… »

Un grand moment de tendresse suivit. Madame Granlean brisa le silence

« Et vous ? Vous méritez aussi beaucoup de plaisir… »

Madame Granlean regarda Marie-Jeanne avec tendresse, puis sortit. Marie-Jeanne était interloquée, encore plus quand elle la vit revenir avec la Vaseline et une petite boîte.

« Allez installez vous au bord du lit. »

Madame Granlean commença par des petits baisers sur la vulve, puis se mit à lécher Marie-Jeanne. Les choses étaient bien lancées quand Marie-Jeanne sentit quelque chose contre son anus, comme un doigt lubrifié. Madame Granlean s’écarta un instant de l’objet de son attention buccale.

« Marie-Jeanne, poussez, s’il vous plaît. »

Marie-Jeanne s’exécuta, et le doigt la pénétra profondément. Elle émit un petit cri de surprise. Mais déjà madame Granlean la léchait à nouveau. Le doigt bougeait légèrement.

Marie-Jeanne comprit que madame Granlean avait voulu lui prodiguer la réciproque de son massage intérieur, mais, ne voulant risquer de brusquer son hymen, avait choisi l’autre orifice. Les sensations étaient bizarres, légèrement inconfortables mais en même temps excitantes.

Marie-Jeanne atteint l’orgasme un doigt planté dans son rectum. Madame Granlean se retira et lui montra sa main « J’ai acheté des doigtiers en caoutchouc, comme cela pas de risque de blessures ou de saletés avec les ongles… »

Madame Granlean torcha Marie-Jeanne avec un morceau de papier toilette qu’elle avait apporté avec la Vaseline et la boîte de doigtiers, puis sortit se laver les mains.

Les deux femmes s’installèrent pour la nuit.

« Je ne m’attendais pas à cela.

— À mon doigt dans votre derrière ?

— Oui.

— Mais vous avez aimé ?

— Oui, même si c’était embarrassant et parfois un peu inconfortable.

— Alors le but est atteint. Je veux vous donner du plaisir, mais pas toujours de la même façon, afin de vous instruire. »

Lorsque Marie-Jeanne se réveilla au milieu de la nuit aux côtés de madame Granlean, elle repensa à ce doigt inquisiteur dans son orifice le plus honteux. L’idée était étrangement excitante… Madame Granlean avait parlé de la proximité de l’anus et des organes génitaux, cette proximité semblait aussi exister dans le plaisir. Quel bon professeur !

Comments

clyso Il ya 4 ans