Les études de Marie-Jeanne
À mon âge !
La journée suivante, les deux femmes furent mal à l’aise. On sentait bien que la fierté de madame Granlean avait été mise à mal par la punition qu’elle avait pourtant demandée, comme si ses sentiments d’égalité et de justice livraient un combat à sa dignité de bourgeoise mûre. Elle se souvenait de ses fesses offertes, de ses petits cris lorsqu’elle avait reçu la pantoufle…
Elle aborda le sujet au dîner.
« Marie-Jeanne, je dois vous avouer que j’ai encore un peu de mal à accepter ma punition d’hier. Je ne nie pas que ma conduite ait été dangereuse, mais, vous comprenez, c’est difficile.
— Je vous comprends, madame. Cela a été difficile pour moi aussi lorsque vous m’avez punie.
— Vous êtes presque une enfant.
— Oui, mais vous m’enseignez à devenir une femme indépendante.
— Vous avez raison. Et même quand on est comme moi une femme indépendante…
— Parfois on sent qu’on a fauté et qu’on se sentirait mieux après une punition ?
— Oui, même si cela est dur à admettre.
— Et vous pensez que la meilleure punition est une fessée déculottée ?
— Oui, oui, Marie-Jeanne, mais j’en ai honte. »
Madame Granlean se jeta dans les bras de Marie-Jeanne. Les deux femmes s’enlacèrent.
« Vous savez je tiens beaucoup à vous.
— Moi aussi… »
La fin du repas fut gaie, et la soirée se finit en câlins avant un sommeil réparateur.
Le lendemain, la journée d’études fut longue. Après la vaisselle, madame Granlean fit une proposition :
« Voulez-vous un bain à deux, pour vous détendre ? La baignoire est petite mais nous pourrions essayer… »
Sitôt dit, sitôt fait. Dans l’eau chaude, elles manquaient un peu de place pour manœuvrer. Marie-Jeanne finit une jambe de chaque côté de madame Granlean et se fit masser les mollets. Les deux femmes riaient.
Dans le lit de madame Granlean, elles multiplièrent caresses et baisers. Madame Granlean finit par s’ouvrir de ses désirs :
« Marie-Jeanne, cela va sans doute vous paraître pervers mais j’aimerais… j’aimerais… que vous me donniez la fessée. Oh, pas forte comme l’autre jour, hein, juste une petite.
— Oooh madame. C’est vous qui m’avez expliqué qu’avec la définition de la perversion comme tout ce qui n’a pas comme but le coït génératif, masturber son mari ou sa femme est pervers, même s’embrasser entre mari et femme est pervers.
— C’est vrai. Je ne suis pas très cohérente entre ce que je dis et ce que je ressens.
— Allez madame, tranquillisez-vous et laissez vous aller. Je vais m’asseoir et vous allez vous allonger sur mes genoux. »
Les deux femmes se mirent en place. Marie-Jeanne soupesa les fesses de madame Granlean, les prenant franchement dans ses mains, les écartant même pour faire apparaître l’orifice honteux.
« Si vous vous sentez déraisonner, il faudrait peut-être que je vous prenne la température ! »
Madame Granlean eut un petit rire, mais déjà Marie-Jeanne mit une petite claque, puis une deuxième. Elle entama une fessée douce, les claques étant suffisamment appuyées pour être ressenties comme telles et non comme des caresses, mais pas au point d’être douloureuses. Madame Granlean se laissait faire. Elle écartait de plus en plus les jambes. Toutefois Marie-Jeanne s’en tenait au programme demandé, c’est-à-dire la fessée douce.
« S’il vous plaît Marie-Jeanne, je n’y tiens plus… votre main… mon sexe… s’il vous plaît »
La main de Marie-Jeanne descendit, trouvant une vulve bien humide. Elle se lécha le pouce puis l’enfonça dans le vagin de son aînée, puis masturba le clitoris de son index et son majeur tout en simulant le coït avec son pouce. Elle appuyait de plus en plus fortement en direction du nombril. Il ne fallut pas longtemps pour que madame Granlean tressaillît. Marie-Jeanne sentit le vagin se faire encore plus humide autour de son pouce.
Madame Granlean mit un peu de temps à retrouver ses esprits, toujours allongée sur les genoux de Marie-Jeanne à se faire caresser le dos et les fesses. C’est par sa langue qu’ensuite, agenouillée, elle amena la jeune fille vers le plaisir.
J'adore cette succession d'histoires !
Toujours aussi délectable.
Marie-Jean…