Christophe, jeune homme naïf

Christophe est débouché

Cécile et Christophe profitèrent du premier week-end de stage pour faire ensemble du tourisme dans la ville. Peut-être pourraient-ils se permettre de louer une voiture le week-end suivant pour visiter les environs ?

Le stage de Christophe était particulièrement prenant. Soucieux de bien faire, le jeune élève ingénieur se démenait, prenant peu de pause à midi et mangeant rapidement. Au bout de dix jours à ce régime, il ressentit quelques difficultés. Il voulut aller à la selle avant dîner, mais cela ne passait pas…

« Tu viens ?

— Oui j’arrive.

— Ça va ? Tu y es depuis un bout de temps.

— Je suis juste un peu constipé, rien de grave. »

Il n’eut guère d’appétit à dîner. Cécile le remarqua, mais ne dit rien. Toutefois, une fois la vaisselle faite à deux, elle revint sur le sujet.

« Dis donc mon chou, tu as mal au ventre ?

— Un peu, oui.

— Je vais préparer le bock.

— Non mais non je n’en ai pas besoin. Je… demain j’irai acheter un laxatif. »

Cécile le regarda dans les yeux.

« Mon petit Christophe, tu as visiblement le derrière bouché et mal au ventre. Je te propose un remède simple et immédiat. Tu préfères passer une mauvaise nuit ?

— Tu n’as pas plutôt des suppositoires ?

— Non j’ai oublié la boite. Bon, assez parlé, déshabille-toi et viens dans la salle de bains. »

Cécile avait rangé son bock dans le placard sous le lavabo. Il fut vite plein d’eau.

« Mais qu’attends-tu ! À genoux tête en bas fesses en l’air ! »

Christophe s’exécuta. L’embout vaseliné porta sur son anus.

« Pousse ! »

Il obéit. L’embout le pénétra. C’était plus fin qu’un doigt, pensa-t-il. Puis vint l’eau ; une sensation nouvelle. C’était chaud mais pas trop, il la sentait dans ses boyaux. Au début, ce n’était pas désagréable… mais bientôt il eut une sensation désagréable.

« Cécile ça fait mal.

— J’arrête l’eau. Je vais te masser le ventre. »

La difficulté passa. Cécile rouvrit le robinet, tout en continuant de masser.

Était-ce le flux de l’eau, ou la sensation de la main de Cécile passant entre ses jambes, contre ses bourses, contre sa verge, pour lui masser le ventre, mais Christophe sentait son érection poindre. Son gland était bien sûr découvert en temps normal, mais il sentait comment les parties normalement encore dans un repli se retrouvaient exposées à l’air.

Cécile s’en aperçut. Elle lui toqua la verge, maintenant durcie, d’un air taquin « tiens ? », puis lui palpa doucement les testicules.

« C’est fini, tu as tout pris. Je vais te laisser. Prends garde, souvent on a encore envie après avoir expulsé une première fois. »

Christophe passa sur le trône. Comme Cécile l’en avait averti, après une première expulsion et essuyage des fesses, il eut encore envie. Finalement, dans cette affaire, jugea-t-il, c’était l’expulsion le plus désagréable, en raison des spasmes dans le ventre. Il se lava les mains et les fesses. Il ressentait maintenant comme une forme d’apaisement.

Cécile l’attendait.

« Ça va mieux ?

— Oui. Enfin, je crois.

— Hé bien maintenant nous allons pouvoir nous amuser un peu. »

Cécile lui mit la main aux fesses et l’entraîna vers le lit. Elle le caressa sous différents angles, puis lui prit le gland dans la bouche. La verge de Christophe était dressée, presque douloureuse.

« Maintenant à toi de bosser. »

Cécile s’installa sur le dos. Elle était déjà bien lubrifiée et Christophe n’eut pas de mal à rentrer, même si pour la forme il passa d’abord un doigt, qu’il suça d’un air mutin. Les mains de Cécile sur son dos, ses reins, et ses fesses, il fut dûment mis à contribution. Cécile finit par jouir, et Christophe s’activa pour lui laisser la preuve crémeuse de son plaisir.

Le lendemain matin, Cécile tança un peu Christophe : « tu aurais pu mettre le bock à sécher ! ».