Vues: 603 Created: 2022.07.03 Mis à jour: 2022.07.03

Maddy en visite chez des amis

Le petit copain

Le petit déjeuner fut sans incident, si ce n'est que Maddy rougit quand Louise lui présenta deux pruneaux dans une coupelle. Manger lui ayant activé les boyaux, Maddy ressentit un besoin naturel. C'est encore plus rouge encore qu'elle se présenta à Louise pour lui dire qu'elle avait « fait ».

Maddy n'en pouvait plus d'embarras lorsque Louise admira le résultat. Elle avait l'impression d'être une petite fille de deux ans toute fière d'être allée au pot.

« Déculotte-toi.

— Mais pourquoi ?

— Je veux vérifier si tu es propre. »

Louise passa du papier toilette dans l'entrefesse de Maddy.

« Mmh. Tu t'es essuyée mais il y a des traces. Tu ne t'es pas lavé les fesses ensuite ?

— Non…

— Quand tu fais caca un peu mou comme ça c'est plus prudent. Passe sur le bidet et lave-toi au moins à l'eau. »

Maddy se lava l'anus avec son gant de toilette et de l'eau sous le regard de Louise.

Le reste de la matinée fut agréable pour Maddy. Elle pouvait se détendre dans le jardin. Le T-shirt à l'effigie d'un personnage de série pour adolescentes et l'absence de soutien-gorge la ramenaient à son rôle de gamine, et cela lui plaisait.

Peu avant le repas, le trio partit pour la gare récupérer Samuel, le petit ami de Maddy. Le déjeuner fut plutôt gai. Maddy a eu son petit embarras à devoir prendre un pruneau, sous le regard interrogateur de Samuel.

Les choses prirent un autre tour le repas terminé et la vaisselle lancée.

« Samuel, vous sentez la sueur. Vous allez prendre une douche.

— Excusez-moi, je vais y aller. Où est la salle de bain ?

— Je vous conduis. »

Ce que Samuel ne prévoyait pas, c'est que Louise, au lieu de simplement lui indiquer le lieu et lui présenter son gant et sa serviette, resta et lui intima de se déshabiller.

« Madame !

— Que veux-tu, ta copine est une grande gamine et je soupçonne que toi aussi. Alors tu vas sagement te déshabiller histoire que je puisse m'occuper de toi. »

Samuel ne bougeait pas.

Louise alla à la porte et appela Maddy, qui arriva.

« Maddy, Samuel ne veut pas se déshabiller pour que je m'occupe de lui. Tu ne l'avais pas prévenu que tu voulais que nous nous occupions de vous deux pendant votre séjour ?

— Si, je lui avais dit… mais il est un peu timide. »

Samuel ne savait plus où se mettre. Louise lui demanda de retirer son T-shirt. Il obéit. « Le reste, maintenant. »

Samuel enleva son pantalon. Louise s'impatienta et lui descendit elle-même le slip. Samuel, interloqué, mit ses mains devant son sexe.

« C'est donc ça qui t'embarrasse ? Ce zizi ? Tu t'imagines que c'est le premier zizi que je vois ? Allez, enlève tes mains. »

Samuel obéit. Louise se baissa et décalotta Samuel, avec une légère difficulté. Elle mit ainsi en évidence une substance blanchâtre, un peu comme du fromage, sous le prépuce du jeune homme.

« Ah oui je vois pourquoi tu veux le cacher. Tu ne te laves pas là ? »

Samuel, cramoisi, ne savait que répondre.

« Tu sens la sueur. Ton sexe sent beaucoup la sueur, et tu ne te l'es pas lavé depuis un bout de temps. Voyons maintenant… »

Louise prit un morceau de papier toilette et le passa dans l'entrefesse du jeune homme. Elle lui montra une trace marron. Maddy étouffa un ricanement.

« Pas propre de là non plus.

— Je suis allé aux toilettes dans le train !

— Oui, oui. L'important est que tu prennes de bonnes habitudes, mais à l'impossible rien n'est tenu. Simplement, tant que tu seras ici, tu te laveras le derrière sur le bidet après avoir fait caca, sauf si zéro doute de propreté. Et tu te laveras devant et derrière tous les soirs, et quand tu te laveras devant tu décalotteras bien ton zizi pour laver dessous. Compris ?

— Oui madame.

— Maintenant, dans la baignoire. Maddy, tu restes. »

Comme Maddy la veille, Samuel subit une toilette méthodique. Lorsque Louise en vit au sexe, elle ricana à nouveau devant les saletés.

« Tu sais ce qu'on fait aux bébés garçons, aux États-Unis, pour qu'ils soient bien propres là ?

— Non…

— On leur coupe le prépuce ! Comme ça c'est plus facile à laver ! On aurait dû te le faire, tiens… »

Samuel en avait la gorge serrée. Quant à Maddy, elle souriait de l'embarras de son copain. Samuel ne protesta pas quand Louise lui lava le sexe, ni quand elle lui savonna l'entrefesse. Il émit un petit grognement quand elle lui introduit légèrement le doigt, couvert du gant, dans l'anus.

« Tu n'avais qu'à mieux t'essuyer. »

Enfin, Samuel fut sec. C'est alors que Maddy objecta :

« Tu lui laisses ses poils ?

— Pour le moment oui. Nous n'avons pas le temps cet après-midi de nous occuper de cela. »

Samuel jeta un regard furieux à Maddy. Mais il était temps de se rhabiller, et de partir en promenade.