Billie à la piscine
Chapitre 1
Depuis plusieurs années déjà, je travaillais l'été en tant qu'entraîneur dans un club de natation féminin : mon passé sportif m'avait fait valoir cette place. Les séances d'entraînement étaient particulièrement excitantes car ce club était essentiellement composé d'étudiantes allant de 18 à 24 ans, chacune très séduisante avec leur maillot de bain très moulant. Je me distrayais souvent à les regarder penchées sur leur plongeoir en attendant mon coup de sifflet.
Un jour, en fin de soirée, alors que la séance hebdomadaire prenait bientôt fin, une des nageuses que je m'occupais : Billie, fit une sorte de malaise alors qu'elle terminait une longueur de bassin. Ses amies, avant qu'elle ne se noie, s'empressèrent de la ramener vers le bord où je la soulevai contre moi. La jeune fille respirait bien mais ne réagissait pas, ses yeux restaient clos comme si elle dormait profondément.
Une des amies de Billie proposa d'appeler un numéro de secours mais je lui fis signe que ce n'était pas la peine.
-Je m'en charge, lui dis-je. Je vais l'emmener dans le local de repos. Vous pouvez rentrer chez vous, l'entraînement est terminé pour aujourd'hui.
Je pris Billie dans mes bras et la portai jusqu'à la petite salle où je l'allongeai sur un lit dépliable. Une des filles m'apporta ses affaires qui étaient restées dans les vestiaires.
-Vous voulez que je reste aussi pour la surveiller ? Me proposa-t-elle.
-Non, c'est gentil, ça va aller tu peux y aller. À la semaine prochaine.
Elle me salua et quitta le bâtiment à son tour. Une fois la porte claquée, je reportai mon attention sur Billie : la jeune fille frissonnait, elle était encore trempée et il ne faisait pas très chaud. Il fallait la sécher si je ne voulais pas qu'elle tombe malade, cela impliquait de la dénuder complètement moi-même si elle ne se réveillait pas bientôt.
« Après tout, tant pis pour sa pudeur », me dis-je en la voyant frissonner, « j'ai déjà vu des filles toutes nues, je fais ça pour l'empêcher de choper un rhume ». J'entrepris donc de la redresser légèrement pour dégager ses bras de son maillot de bain une pièce, ses deux seins globuleux se dégagèrent tout seuls alors que je baissais le haut. Je ne pus m'empêcher de la contempler ainsi, ses bras ballants sur les côtés, la poitrine à l'air et la bouche légèrement entrouverte.
Je terminai son déshabillage, dévoilant une petite toison qui cachait son sexe. Ensuite je déposai sur une chaise le maillot de bain de Billie et saisit sa serviette qu'on m'avait apportée, puis commençai à la frotter un peu partout pour la sécher. Je me surpris à bander alors que j'essuyais son sexe et que je la retournais sur le ventre pour faire l'autre côté : ses fesses bronzées bien galbées m'excitaient terriblement, mais je n'osais regarder d'avantage et glissai juste la serviette une fois entre le haut de ses cuisses, puis je la remis sur le dos et déposai une couverture sur son corps avant de commencer à enrouler une autre serviette autour de ses cheveux.
Dix minutes plus tard, je revenais dans le local avec un téléphone : Billie ne s'étant toujours pas manifestée, et n'ayant les coordonnées d'aucun de ses proches, j'avais décidé d'appeler un numéro d'urgence.
Une standardiste me répondit. Je lui expliqua la situation depuis le début du malaise en essayant de ne pas l'affoler. À la fin, elle non plus ne semblait pas très inquiète.
-Ça arrive après de gros efforts, elle va sûrement se réveiller d'ici une bonne heure, vous voulez qu'on vienne la récupérer ?
-Non, c'est bon, je vais la laisser dormir ici et attendre qu'elle se réveille, je ne suis pas pressé. Il faut que je fasse quelque chose de particulier sinon ?
La femme au téléphone parlait d'un ton sérieux.
-Oui, vous pouvez surveiller sa température toute les demi-heure, prenez la température rectale, ce sera le plus facile si elle dort. Si ça descend trop bas, rappelez- nous et nous viendrons la chercher.
Je saluai la standardiste et raccrochai. N'osant pas trop penser à ce que j'allais devoir faire, je me dirigeai doucement vers la boîte à pharmacie de secours. En fouillant entre les pansements, désinfectants et autres bandages, je découvris un thermomètre en verre tout au fond de la boîte : une fine poussière déposée dessus m'indiqua qu'il n'avait pas servi depuis longtemps. Je passai l'instrument sous l'eau tiède et revint vers Billie qui dormait toujours sur sa couchette.
-Désolé ma grande, fis-je à haute voix. Je fais ça pour ta santé.
Je renversai la jeune fille sur le côté et m'assis sur le bord en repliant tout doucement ses jambes hors du lit pliable. Je soulevai une de ses fesses dans ma main et me penchai pour regarder l'endroit où je n'avais pas osé poser mon regard tout à l'heure : son petit trou bien propre était tout serré et encore un peu mouillé. Je n'osais toujours pas penser à ce que j'étais en train de faire à cette fille. L'idée que j'allais lui ... me laissait paralysé.
« Bon allez », me motivais-je, « je le fais maintenant sinon je n'y arriverai jamais ».
La pointe du thermomètre pénétra son petit orifice, je continuai de le pousser de plusieurs centimètres sans problème. Billie n'avait pas bronché dans son sommeil.
Je laissai l'instrument une bonne minute avant de me repencher sur elle pour le sortir de son cul. La tige de verre était très légèrement salie du fait de l'endroit où je l'avais mise, je lus la graduation : 37 degrés pile. « Pas de quoi s'inquiéter, elle a juste un peu froid », diagnostiquais-je.
Je la recouvris à nouveau et posai le thermomètre sur la chaise à côté de moi, en attendant un éventuel renouvellement de l'opération.
Très excitant ce début d’histoire.
Pa…
Très belle histoire. D'ailleurs je m'en…
très jolie comme réçit, mais pas vraime…
Nous souhaitons du temps à thermophil p…