Le grand jeu.
Ce soir là, quand je rentrais dans la chambre à coucher, je compris tout de suite que j'allais avoir droit, à ce que nous appelions “le grand jeu”.
Sur l'étagère, au dessus du lit mon épouse avait mis trois poires à lavement, bien en évidence afin que je me prépare. C'était un traitement qu'elle me réservait, quand elle en avait envie, connaissant bien mon goût pour la chose.
Pendant que je me déshabillais, je sortis une alèse et des serviettes éponges que je disposais sur le lit.
J'entendais dans la salle de bain l'eau chaude couler pour remplir un grand saladier en verre et ensuite le bock. Elle avait monté sur la petite canule une longue canule souple de plus de trente centimètres.
Elle revint dans la chambre avec le saladier d' eau bien chaude qu'elle déposa sur la table de chevet et le bock un peu plus loin.
Je lui tournais le dos, l'anus lubrifié et je l'entendis remplir les poires. Ah, ce glouglou, annonciateur de plaisir. Les poires étaient de taille différentes avec des canules plus ou moins fines et plus ou moins longues. Je pris les trois avec l'envie de ce qui allait suivre. Mon épouse, derrière moi n'était vêtue que d'un peignoir léger qui me permettait de lui carresser les seins, voire son sexe déjà bien humide.
Elle posa le bock au dessus du lit et commença à introduire la longue canule, centimètre par centimètre afin que je puisse bien sentir la progression en lui imprimant quelques mouvements de va et vient. Ensuite, elle enleva son peignoir et se coucha face à moi. Je la caressais et son sexe était maintenant trempé. Je passais un doigt dans son minou et avec le pouce stimulais son clitoris puis elle prit mon sexe qu'elle introduisit dans le sien.
Le bock était pratiquement vide et ma jouissance déclencha son orgasme, aussi violent que le mien. Elle n'a jamais voulu prendre de lavement mais j'apprécie ces jeux qui pimentent notre sexualité.