Vues: 1376 Created: 2010.11.15 Mis à jour: 2010.11.15

Un fantasme que j'ai et que je vais peut être enfin réaliser.

Un fantasme que j'ai et que je vais peut être enfin réaliser.

Un fantasme que j'ai et que je vais peut être enfin réaliser.

Paris, aéroport d'Orly. 8h00 assis dans un avion! Que c'est long, on a hâte d'arriver. C'est d'autant plus long que ce voyage qui devrait être uniquement consacré au travail est cette fois ci très différent. J'ai en effet repris contact avec Perla. Vous la connaissez? C'est une femme très sympa, très douce, très jolie, très sensuelle, bref elle gagne à être connue. Je l'ai déjà rencontrée une fois, il y a deux ans. La rencontre s'était bien passée, mais le jeu n'était pas celui que j'attendais, en fait je crois bien qu'à l'époque je ne savais pas bien ce que je voulais.

Mais vous ne me connaissez pas. Alors, je suis Arnaud, j'ai 38 ans, je suis mince, j'ai les cheveux longs et je travaille comme traducteur. Mais bon là n'est pas l'essentiel. Ce n'est pas ça que vous attendez de moi. Comme vous vous en doutez je prends plaisir à porter des couches. C'est étonnant, rien que d'écrire le mot j'en ai des frissons. Oui, j'aime porter des couches. C'est ambigu d'ailleurs, car c'est un mélange de plaisir et de honte. D'ailleurs je crois que c'est de là que vient cette émotion si forte quand j'écris le mot "couche culotte". Je ne peux pas partager ce plaisir avec ma femme car, bien qu'elle connaisse ce coté de ma personnalité, cela ne l'intéresse pas. Elle trouve cela trop bizarre, pour elle cela ramène à Oedipe, donc à un tabou très fort.

Pour moi ce n'est pas ça, c'est un fantasme, un trouble érotique, comme quand ma femme met de la belle lingerie, une lingerie rien que pour jouer ensemble.

Bon, j'arrive à Paris. Je prends le taxi, hôtel, deux jours de travail, et puis enfin, le moment que j'attendais arrive. Nous sommes jeudi matin. Il est dix heures. J'ai rendez-vous à 11h00 avec Perla, dans un café. Je me prépare. Elle m'a dit de m'habiller comme j'en avais l'habitude, sauf que je ne dois pas porter de slip: "tu n'en auras pas besoin! interdit!". Je me doute un peu de ce qui va arriver mais je me demande pourquoi elle veut que je vienne sans slip. Qu'est ce que ça change que j'ai un slip ou pas pour aller à la "nurserie".

Quand j'arrive au café je ne la vois pas. Je finis ma cigarette avant d'entrer. Je suis très nerveux, très ému, et en même temps très excité, d'ailleurs ça coince un peu dans mon pantalon; j'ai un peu peur que ça se voie. Bon, allez, courage!

Je rentre, il n'y pas beaucoup de monde, heureusement. Je m'installe à une table, il est 11 heures pile. Le serveur vient vers moi, je m'apprête à commander quand mon téléphone sonne: "Je serai un peu en retard, cinq minutes, commande nous deux grands Perrier, j'imagine que tu as soif comme moi", et elle raccroche avant même que j'aie eu le temps de dire quoi que ce soit. Sa voix était chaleureuse, mais aussi un peu autoritaire. Rien que de l'entendre l'émotion que sentais grandir dans mon pantalon s'est accrue. J'arrive à peine à commander, je bafouille: "Deux Perriers, heu, s'il vous plaît, des grands. J'attends quelqu'un". Pourquoi est-ce que j'ai ajouté cette dernière phrase? Il n'en à rien à faire le serveur! Un ou deux Perriers, qu'est ce que ça change?

"Voilà, Monsieur". Il pose les deux boissons, je règle et il s'en va. J'attends un peu. Après tout ce ne serait pas poli de boire sans elle. 11h05, 11h10, 11h15. Cinq minutes, cinq minutes, j'ai soif moi. Bon allez, je bois. Le téléphone sonne.

"Je ne pourrais pas arriver, il y a des embouteillages. Rejoins-moi directement au local, ce n'est pas loin, 22 rue jean Alcard, dans le 11eme". Et encore une fois je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit. Je finis ma boisson, vite, car je suis impatient de la rencontrer. Téléphone encore. Tiens c'est un texto! "Bois le deuxième Perrier, MAINTENANT". Mais je n'ai plus soif moi. Allez je pars, sans le boire, de toute façons elle ne le saura pas. Alors, 22 rue Jean Aicard, 11eme. Ah oui c'est juste à côté. Mais pourquoi elle ne m’apas dit d'y aller directement, et en plus elle ne m'a pas donné le code. C'est casse pied ces codes à Paris!

C'est une toute petite rue, mais je reconnais, c'est la boutique fétichiste Démonia. J'ai du mal comprendre les indications. "Arnaud! hou, hou." Elle est juste dans l'entrée et me fait signe de rentrer.

-Bonjour, tu vas bien?

-Ouichh, j'arrive à peine à parler, et vous?

- Jusqu'à il y a peu oui. Mais là je suis un peu en colère.

-Ha, les embouteillages! C'est chiant.

-Pas de gros mots devant moi. Un peu de respect quand même.

-Pardon, excusez moi! Mais qu'est ce qui lui prend ?

-Et puis c'est pas les embouteillages. C'est toi qui m'énerve.

-Moi? qu'est ce que j'ai fait.

-Je croyais que je pouvais te faire confiance! Et tu m'as déçue.

-Mais, pourquoi, je suis venu aussi vite que j'ai pu.

-Et le Perrier? hein, menteur. J’tais devant le café, je t’ai observé. Tu ne l’as pas bu.

Elle parle fort et on risque de nous entendre.

-Mais c'est que j'avais plus soif. Désolé.

-Non, pas de désolé, tu as désobéi et tu as menti. Suis-moi.

Elle quitte l'entrée de la boutique et marche à pas rapide dans la rue. Je la suis.

-Tu veux te faire pardonner ? Alors viens avec moi.

Et sur ce elle rentre dans un café situé au coin de la rue.

-Perriers, lance t'elle au serveur, deux.

Je m'assois en face d'elle. Qu'elle est jolie. Ca y est mon trouble reviens et je suis obligé de croiser les jambes pour ne pas qu'on voie la bosse de ma braguette. Nous sommes au fond de la salle, je tourne le dos à la vitrine.

- Mais qu'est ce que tu as à t'agiter comme ça me dit-elle.

-Heu, rien, je suis un peu nerveux. L'émotion sans doute. Si elle savait comme cette émotion est dure, à en faire mal.

-Mouais. Oh, mon sac à main! En effet son sac vient de tomber. Elle se baisse pour le ramasser et au passage pose sa main sur ma braguette.

-Mais, tu es tout dur?

-Bah ...

-T'as pas honte?

-Heu..

-Et voilà les Perriers Messieurs Dames. Le serveur pose les boissons sur la table. J'espère qu'il n'a rien entendu. En tout cas heureusement qu'il est arrivé ça me permet d'orienter la conversation sur autre chose. Paris, les Antilles, le travail, et puis au bout d'un moment je commence à avoir envie de faire pipi. Deux Perriers ça fait beaucoup.

-Monsieur, où sont les toilettes s'il vous plaît?

-Après le bar à gauche.

-Merci.

-Interdit! Perla me regarde droit dans les yeux.

-Pardon, je comprends pas.

-Excité comme tu es. Tu crois que je vais te laisser tout seul dans les toilettes? A mon avis tu n'as pas du tout envie. ce que tu veux c'est te toucher.

-Mais non! Pas du tout. J'ai envie, c'est tout.

-J'veux pas le savoir. Tu m'as déjà menti d'ailleurs.

-Mais?

-Tu veux qu'on arrête? C'est ça. Tu sais vraiment pas ce que tu veux. Non, je veux surtout pas qu'elle s'en aille. Alors je retrouve ma position assise sur la chaise. -Hé puis finalement je n'ai pas soif et je m'ennuie, on s'en va. On va pas laisser ce Perrier se perdre. Allez Arnaud, bois le!

-Mais je n'ai plus soif, et puis...

-Tu n'as toujours pas compris hein. Bois le Perrier. Elle détache les mots qui cinglent comme un ordre.

-Ok, ok.

Je bois.

-Plus vite je t'attends.

Je me dépêche. A ce train là ma vessie va exploser.

-Allez, suis-moi.

Elle repart à toute allure et reprend le chemin que nous avons fait à l'aller. Et hop, elle entre chez Démonia. Là, je ne comprends rien.

-On ne va pas à la nurserie?

-Suis-moi! Là encore elle articule chaque mot lentement.

Nous rentrons et je la suis dans les rayons. Il y en a pour tous les goût. Cuir, vinyl, latex, dentelle, sex toys, menottes, fouets ... tout l'attirail des jeux fétichistes. pourtant Perla ne semble pas trouver ce qu'elle cherche. Voyant ses hésitations une vendeuse vient vers elle. -Je peux vous aider?

-Ha, oui, merci. Répond Perla. Je cherche une culotte en plastique.

-Quelle taille?

Perla me regarde.

-38, je crois que ça ira.

-Alors, nous avons plusieurs modèles. Fermée, à pression, discrète, bruyante, en coton.

-Non, non, c'est pas ce que je cherche.

-Avec cadenas ...

-Ha, ça c'est intéressant. Faites voir.

La vendeuse lui montre la culotte. Elle est transparente, le tour de taille est bien du 38, mais l’entrejambe est très large on peut y glisser de grosses couches, le vinyle craque bruyamment quand Perla la déplie pour l'examiner, et en effet je vois un cadenas à la ceinture qui permet d'empêcher celui ou celle (c'est quand même pas pour moi!) qui la porte de l'enlever. -Le seul inconvénient, explique la vendeuse, c'est que ce plastique est un peu bruyant.

-Tant mieux. C'est exactement ce que je voulais. Répond Perla. Arnaud va payer! Je t'attends dehors.

-Heu, oui, d'accord. Je suis la vendeuse et paye. Je sors, Perla m'attend.

-Tu as été bien long!

-Ma carte ne passait pas, j'ai du faire un chèque.

-Hum, dis plutôt que tu reluquais la jolie vendeuse.

-Mais non.

-Ha, ne contredis pas s'il te plaît.

-Allez, je ne suis pas garée bien loin, on y va.

Je la suis. Nous marchons dix bonnes minutes. J'ai l'impression que le sac que j'ai à la main, et pourtant il est très discret, est complètement transparent, que tout le monde peut voir ce qu'il contient. Nous arrivons à côté d'un parking souterrain, et je me dis qu'enfin nous allons aller à la nurserie, et que là je pourrais aller aux toilettes.

-Ha, c'est bête. J'ai oublié d'aller acheter des couches. Viens Arnaud, on y va, il y a une pharmacie au là bas.

Pharmacie du Boulevard. Nous entrons. Quelques personnes font la queue. Puis le tour de Perla vient.

-Madame?

-Je voudrais des couches culottes, s'il vous plaît.

-Pour un enfant de quel âge?

-Non, non, pour adulte.

-Des protections pour incontinence?

-Oui c'est ça.

-Quelle marque?

-Arnaud, laquelle tu préfères?

Je manque de m'évanouir? Perla s'est retournée vers moi, et m'a balancé cette question comme ça, sans prévenir, j'ai l'impression d'avoir reçu un coup de poing dans le ventre. Et je manque d'en mouiller le slip que je ne porte pas.

-Que, quoi, comment? Je bégaie, je rougis, mais aucun mot cohérent ne sort de ma bouche. -Quel marque de change complet préfères tu, Arnaud? Je te parle.

-Gue, bu, ba, jsaipadeqoivouparlémadam. Mes propos sont incompréhensibles.

Perla s'impatiente, tape du pied.

-Qu'est ce que vous avez de plus absorbant?

-Molicare. C'est fait pour la nuit, donc c'est très absorbant.

-Très bien.

-En quelle taille?

-Arnaud, tu fais du combien en tour de taille.

Là, je meurs, sur place, elle m'a achevé. Elle a réussi son coup, ce n'est plus une émotion érotique qui déforme ma braguette, c'est de la colle épaisse qui envahit mon cerveau, je vais m'évanouir, j'en suis sûr.

-Incroyable, il ne répond pas. Donnez moi une petite taille. Et puis aussi des couches droites traversables.

-Voilà Madame. Au revoir, bonne journée.

Perla me fiche les paquets dans la main et se dirige vers la porte mais je suis paralysé, impossible de bouger, elle me prend par la main et me guide vers la sortie.

-Qu'est ce que tu peux être bête quand même. C'est bien ce que tu voulais non? Et puis cette vendeuse, très jolie d'ailleurs, elle en a vu d'autres, c'est son métier après tout. -Oui, oui, vous avez sans doute raison. Enfin ...

-Ta ta ta, j'ai bien lu tes mails, j'ai cherché les annonces que tu as passés sur internet, je sais que c'est exactement ce dont tu rêvais, hein petit cochon?

-Heu, oui, enfin je crois.

-Ho, moi je ne crois pas j'en suis sure. Ha voilà ma voiture.

Je ne comprends pas, le parking est encore un peu loin, et puis c'est un parking souterrain, comment peut-elle la voir?

-Parfait Caroline est à l'heure!

Et là je vois, garée en double file, un monospace avec une jolie femme au volant, qui attend avec les warnings allumés. Allez monte, je viens à l'arrière avec toi. En deux temps trois mouvements nous sommes dans la voiture et Caroline démarre.

-Caroline!

-Oui?

-Rentre dans le parking, je crois qu'il y a des toilettes pour Arnaud.

-Ho oui sans doute.

J'en avais oublié mon envie. Mais maintenant qu'elle en reparle je n'arrive plus à penser à autre chose.

-Oh, oui, vite s'il vous plaît. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.

La voiture commence à descendre la rampe d'accès, et Caroline accélère juste avant le ralentisseur, puis pile devant la barrière. La ceinture appuie sur ma vessie et quelques gouttes s'échappent.

-Pardon, s'excuse Caroline en ricanant, je suis vraiment une piètre conductrice.

-Oui, mais moi j'ai envie de faire pipi. Alors, sans vouloir, mais c'est vraiment pressé.

-Ho, qu'est ce qu'il est grognon. Caroline envoie un clin d'oeil à Perla. Il est toujours comme ça ?

-Il peut être très gentil, mais je crois que je l'ai un peu chamboulé tout à l'heure. Hein Arnaud?

-Ha ça.

Caroline tend le bras par la vitre pour attraper le ticket, mais c'est trop loin.

-Pas moyen. Il faut que je descende, dit-elle. Comment ça marche cette portière?

Elle tripote la poignée, la condamnation centralisée, mais rien n'y fait. Et moi pendant ce temps je gigote, je me trémousse.

-S'il te plait Caroline!!! Dépêche toi, j'en peux plus. J'en pleurerais tellement j'ai envie. -Ha, Arnaud, sois gentil. S’exclame Perla. Je ne crois pas que tu sois en position de demander quoi que ce soit.

-Oui mais...

-Pas de mais. Tu attends patiemment.

Caroline ouvre enfin la portière. Elle descend de la voiture, prend un ticket et remonte dans la voiture. Tout ça prend un temps infini, et quelques gouttes s'échappent et mouillent mon pantalon. Pas beaucoup mais ça commence à se voir. Elle redémarre et avance la voiture dans le parking.

-Mais, Perla, vous êtes sures qu'il y a des toilettes dans ce parking?

-Je crois bien oui. Tu les vois Caroline?

-Non, je ne vois rien.

Nous tournons un moment. Pas de toilettes.

-J'ai du me tromper. Je dois confondre avec un autre parking. Explique Perla.

-C'est pas grave, je vais aller derrière un pilier. Tiens, là bas, derrière la camionnette, personne ne me verra.

-Ha, non. C'est dégoûtant, après ça va empester dans tout le parking. T'es bien un garçon toi! Réplique Perla. Tout en me parlant elle baisse les yeux sur mon pantalon et remarque les petites taches humides sur ma braguette.

-Mais, tu t'es pissé dessus! J'y crois pas.

-J'ai pas fait exprès.

-Je veux pas le savoir. Tu vas quand même pas tacher les sièges de ma voiture. Je viens de la nettoyer! Bon, aux grands maux les grands moyens. Alors voyons voir. Caroline, gare toi au fond du parking, là-bas, entre les deux gros 4x4.

Caroline manoeuvre, glisse la voiture entre les deux 4x4. Elle doit conduire prudemment car c'est très étroit. Tellement étroit qu'on ne va pas pouvoir ouvrir les portières.

-Mais comment je vais descendre?

-T'inquiète pas. On a bien acheté tout ce qu'il faut, non?

Oh, c'est pas vrai. Elle a fait tout ça exprès. Juste pour...

-Allez Arnaud, enlève moi ce pantalon. Et, vite! Quelqu'un pourrait bien arriver et te voir cul nu.

-Mais on peut pas, pas ici.

-Mais si. Et puis tu discutes pas, c'est moi qui décide.

-Mais...

-C'est ça ou Caroline et moi on te laisse tout seul dans ce parking, où, je te le rappelle, il n'y pas de toilettes. Alors, qu'est ce que tu veux? Que je te mette une couche, discrètement dans la voiture? Ou alors repartir en métro avec un pantalon trempé qui sent le pipi? Car à voir comment tu te trémousses dans cinq minutes ce seront pas quelques petites gouttes qui vont couler, ça va être les chutes du Niagara. Je fais un petit oui de la tête.

-Je n'ai pas bien compris. Tu veux que je te mette une couche?

-Oui.

-Tu as besoin que je te mette une couche Arnaud?

-Oui.

-Ou tu as envie que je te mette une couche. Réponds.

-Oui. Dis je timidement.

-Plus fort, et fais des phrases.

-J'ai besoin que vous me mettiez une couche!

-Besoin ou envie ?

-J’ai envie que vous me mettiez une couche.

Ca y est je l'ai dit. Un flot d'émotions me montent à la tête. Je n'arrive pas à y croire. J’ai dit tout haut que j’avais envie qu’elle me mette une couche.

-Tu as entendu comme moi Caroline? Arnaud veut que je lui mette une couche.

-Hé, oui Perla. Comme il est penaud, regarde il est tout rouge.

-Tu crois que je dois le faire ? Hein, Arnaud ? Tu le mérites, tu as si envie que ça de faire pipi?

Ma vessie va éclater. C'est la fin. Dans deux minutes je vais inonder la voiture et Perla, furieuse, me plantera là, en plein Paris, le pantalon trempé et je vais devoir prendre le métro pour rentrer à l'hôtel. Ma vie est foutue.

-S'il vous plait, je vous en supplie. Mettez-moi une couche.

-Plus gentiment Arnaud.

-S'il vous, plait, chère Perla, soyez gentille. Je ferais tout ce que vous voulez, mais mettez-moi ne couche.

-Tout? Tu m'obéiras bien sagement?

-Oui, je serai sage, très sage.

-Alors c'est d'accord. Allez enlève ton pantalon vite !

Je tripatouille ma ceinture, je gigote dans tous les sens, mais entre l'envie de faire pipi, le mélange de honte et d'excitation que je ressens, la trouille de me faire surprendre tout nu dans la voiture, je n'y arrive pas.

-Là, calme toi. Me dit Perla d'une voix toute douce. Et délicatement elle m'aide à enlever mon pantalon. Mais en fait, tu ex plus obéissant que le pensais. Regarde Caroline. Il n'a pas mis de slip. Comme je lui avais demandé.

-Ah oui. Mais regarde comme il est excité, il est tout dur. Ca va le gêner dans la couche. -Mais non. Elle sera bien assez grande. Et puis je vais mettre deux couches droites en plus, comme ça avec la culotte en plastique, pas de risque qu'il mouille les sièges ni qu'il se touche. Parce qu'il aime bien ça tu sais.

-Tu aimes te toucher Arnaud? Me demande Caroline.

-Bah, c'est un peu indiscret comme question.

-Arnaud. Qu'est-ce que tu as promis à Perla?

-D'être sage?

-Alors, réponds-moi. Tu aimes te toucher?

Oui.

-Perla, je crois qu'il va falloir trois couches droites, juste pour qu'on soit bien sûres. Parce qu’il est de plus en plus dur.

-Tu as raison. Allez Arnaud. Colle-toi dos à la portière. Tourne-toi vers moi et soulève les fesses.

Elle tend la main et sort tout l'attirail. De la crème, du talc, trois couches droites, une Molicare, et la culotte à cadenas. Elle prend un peu de crème et glisse la main entre mes fesses.

-Relaxe toi. Je suis là. T'inquiète pas. Nounou Perla va bien s'occuper de toi.

Elle glisse un doigt tout doux dans mon petit trou. J'ai un peu honte, mais en même temps je commence à me sentir bien. J'ai confiance en elle.

-Voilà, c'est bien. Comme ça, si tu as aussi envie de faire caca ça glissera tout seul.

-Non, j'ai juste envie de faire pipi moi.

-Je préfère prendre des précautions. Avec des petits cochons comme toi, on sait jamais.

Elle attrape le talc. Hum cette odeur! Je suis aux anges, mais en même temps je n'arrive pas à oublier que je suis dans un parking public. Mais ses mains sont si douces, comme je voudrais qu’elle me carresse, mais elle prend bien soin de tourner autour de mon zizi, elle ne fait que l’éffleurer. Et puis elle glisse les couches droites entre mes fesses. Comme c'est épais. C'est divin. La couche-culotte se referme sur ma taille. Je suis tout emmailloté. C'est tout chaud. Confortable. J'ai fermé les yeux et j'écoute Perla chantonner. Elle a des gestes surs, fermes et doux à la fois. J'entends le plastique de la culotte crisser. Je me concentre sur le déluge de sensations qui m'assaillent. Mon fantasme se réalise, et grâce à elle. Je lève les pieds pour qu'elle puisse m'enfiler la culotte. Elle la remonte le long de mes jambes. Les poils de mes jambes se dressent, je frissonne de plaisir au contact du plastique. Je lève à nouveau les fesses pour qu'enfin la culotte me serre la taille. J'entends enfin le clic du cadenas.

-Et voilà. Plus de risques de mouiller les sièges, et pas de touche pipi non plus.

-Ca lui va bien. Dit caroline.

-Oui, c’est pas mal. Commente Perla. Allez remet ton pantalon !

Je me glisse dedans mais je n’arrive pas à le remonter complètement. La couche est bien trop grosse.

-T’es vraiment maladroit Arnaud. Tiens prend ça et pose le sur tes cuisses, de toutes façons tu n’as plus besoins de pantalon. Elle me tend un plaid que j’étale rapidement sur mes cuisses car j’entends des pas s’approcher. Quelqu’un approche et vient vers nous. C’est une dame assez chic. Elle file droit vers le 4x4 de droite. Elle a pas l’air contente. Elle tapote la lunette arrière et regarde dans l’habitacle.

-Caroline. Je crois qu’on empêche cette dame de monter dans sa voiture. On s’en va. Caroline démarre et commence à manœuvrer. Quand nous sommes à la hauteur de la dame Perla ouvre la vitre et s’excuse auprès de la dame.

-Pardon de vous avoir bloquée, mais Monsieur avait une envie pressante, il a fallu s’occuper de lui d’urgence. On part.

La dame est interloquée et moi je deviens rouge comme une pivoine. Que va t’elle imaginer ? -Allez Caroline, on va à la nurserie.

Caroline sort du parking et nous tombons sur un gros embouteillage.

-Je cois qu’on en à pour une bonne demie heure, dit-elle.

-Une demie heure ? Mais je ne vais pas tenir.

-Et pourquoi tu te retiens encore ? Tu est bien protégé non.

-Oui, mais là avec toutes ces voitures autour.

-T’inquiète. Personne ne fait attention à toi. Et d’un coup sec elle tire sur le plaid. Tu vois personne ne te voit.

-Mais si ! La conductrice du bus bloqué à coté de nous à une vue plongeante sur jambes nues et surtout sur ma couche. Je suis coincé dans un embouteillage et une conductrice de bus me regarde et voit que je porte une énorme couche et culotte en plastique. Du coup mon érection retombe et ce qui devait arriver arriva. Maintenant que ne bande plus je suis incapable de me retenir. Je me vide dans ma couche qui s’imbibe et gonfle. Cela dure longtemps. Je sens le liquide chaud m’envelopper, mais la couche tient bon, rien ne fuit, Perla maîtrise vraiment bien sa technique. Elle baisse les yeux sur moi.

-Et voilà ! T’es vraiment un petit cochon. A peine t’ai je mis une couche que tu prends un malin plaisir à la mouiller.

-C’est que je peux pas me retenir.-Tu t’es bien retenu tout ce temps non ?

-Oui, mais…

-Na, na, na. Tu as eu envie de mouiller ta couche.

-Mais, non.

-Tu veux que je te rende le plaid ?

-Ho oui. Car si maintenant nous roulons, et que donc les autres conducteurs sont concentrés sur leur conduite, je redoute que nous soyons à nouveau coincé.

-Alors sois gentil et avoue que tu voulais mouiller ta couche.

-Heu, je voulais mouiller ma couche. Dis-je en un murmure

-Tu entends ça Caroline ?

-Je n’ai rien entendu. Qu’est ce que tu as dit Arnaud ?

-J’ai dit que voulais mouiller ma couche, que j’en avais envie. Je peux avoir le plaid ?

-Allez, le voilà ton plaid. Tu vois Caroline, c’est un vrai DL.

-Hé oui. Mais on va bien s’occuper de lui. Car à mon avis il est encore plus cochon que ça. Il va voir quand on aura tout notre matériel à la « nurserie ».

Je frémis. Tout leur matériel ? De quoi parlent-elles ? Alors je ferme les yeux, et les doigts crispés sur le plaid j’attends que le trajet se termine. J’ai envie et peur d’arriver. Envie, parce que j’ai encore peur que quelqu’un me voit, comme cette conductrice tout à l’heure, et peur car je redoute l’imagination débordante de Perla. Et puis en même temps je suis très excité par tout ça. Caroline et Parla sont si jolies. Perla inspire tellement confiance mes résistances s’affaissent et que je désire m’abandonner complètement à elle.

Arnaud

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