Vues: 769 Created: 2010.11.16 Mis à jour: 2010.11.16

L'appareil

Canule art

Introduction : découverte dans le sous sol de la clinique

Le docteur découvrit cet étrange appareil alors qu’elle cherchait des dossiers mal classés. Pourquoi et comment ces dossiers avaient pu disparaître dépassaient son entendement. Après avoir occupé une grande partie de l’après-midi à chercher en vain dans les armoires d’archivage du premier étage et dans divers endroits possibles, elle s’était souvenue que des meubles de bureau réformés avaient été récemment descendus au sous-sol. Quand elle y pensa, il était déjà tard et elle devrait elle-y même descendre si elle voulait pouvoir terminer son travail aujourd’hui. Elle alla chercher les clés du sous-sol en se promettant de demander des comptes dès le lendemain matin. Ayant trouvé les clés, elle prit l’ascenseur qui la mena aux étages inférieurs. Dans les étages supérieurs, il y avait des infirmières de garde pour la nuit, mais là au sous-sol elle était seule. Elle chercha sans succès dans plusieurs salles d’archivage avant de tomber par hasard sur ce qu’elle cherchait. Elle était au comble de l’exaspération , quant à son grand soulagement elle découvrit ce qu’elle cherchait dans le tiroir d’un bureau. Près du bureau, il y avait deux caisses en carton. Pour s’assurer que rien d’autre d’important n’avait été descendu par inadvertance, le docteur les ouvrit et en inspecta le contenu. Le premier contenait divers livres et ouvrages techniques obsolètes. Elle les parcourut rapidement, ils dataient d’avant les années cinquante et n’avaient plus rien à voir avec les pratiques médicales actuelles. Le second carton plus gros que l’autre contenait un appareil à l’aspect étrange. Il était constitué d’un socle en fonte, d’un réservoir métallique, de deux réservoirs en verre, d’un tuyau de caoutchouc et de divers indicateurs, canules et robinetterie. Elle ne sut identifier ni le dispositif ni à quoi il pouvait servir, mais quelque chose en lui éveilla son attention. Plus elle le regardait dans la faible lumière du sous-sol, plus elle pensait que ce machin n’était pas un simple appareil passé de mode, n’ayant plus aucune utilité médicale.

Il en émanait quelque chose de fascinant et de légèrement troublant quelque chose de suggestif dans son apparence et dans sa forme qui provoqua un délicieux frisson qui lui parcourut tout le corps. Sans plus réfléchir, elle décida de l’emporter. Elle referma le carton, le posa sur un chariot et le roula jusqu’à l’ascenseur. De retour dans son bureau, elle cacha le carton et retourna au travail. Curieusement l’irritation qu’avait provoquée la disparition de ses dossiers avait disparu , la seule chose qui occupait son esprit était cet appareil qu’elle venait de trouver. Elle ne cessait de se demander à quel usage il était destiné et était bien résolue à le découvrir.

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Le docteur serait-elle clystérophyle? ???

Les jours suivants, la question de l’appareil continua à occuper l’esprit du docteur. Elle l’examina superficiellement, mais ne trouva rien qui put en indiquer l’usage ni de quand il datait. Elle pensa à chercher dans les vieux livres qu’elle avait vus dans l’autre carton et retourna au sol-sol. Il y avait un tas de vieux bouquins médicaux d’avant-guerre dans lesquels elle ne trouva rien. Perdues au milieu des livres, elle trouva quelques brochures. Elle les sortit, en souffla la poussière et en lut les titres. Toutes traitaient du lavement, sa préparation, les ingrédients, les dosages, les divers techniques d’insertion, des tableaux des modèles et taille de canules selon l’âge et la morphologie du receveur, longueur et forme des tuyaux, d’autres tableaux donnant les pressions acceptable en fonction de la capacité intestinale ainsi que d’autres données plus ou moins compréhensibles. En fait tous les fascicules avaient de près ou de loin trait à l’administration de lavements. Il n’est pas étonnant que le docteur en conclut qu’elle avait affaire à un dispositif ancien et sophistiqué servant à administrer des lavements. Cela correspondait exactement à ses plus secrets espoirs. Elle n’avait jamais eu l’occasion d’utiliser ou d’observer ce type d’objet, mais après examen des brochures et de l’appareil, elle fut persuadée qu’elle avait affaire à un dispositif de ce genre. Elle n’avait aucune idée de la façon dont il avait pu échouer au sous-sol de la clinique alors qu’il paraissait nettement plus ancien que la clinique elle-même.

Mais, à la vérité, elle avait deviné (espéré ?) quelle était sa fonction quand elle l’avait aperçu, pas vraiment disposée à admettre la fascination qu’il exerçait sur elle, mais pas capable, non plus, d'ignorer cette fascination. Dès lors, son origine et son parcours n’eurent plus beaucoup d’intérêt. De façon irrationnelle, après avoir étudié l’appareil et laissez vagabonder son imagination, elle se rendit compte qu’elle envisageait de le remettre en service.

Penser à ce type d'usage semble la troubler. Peut-on conclure si vite? 😳

Note du traducteur : j'ai conservé le titre de "docteur" pour cette femme médecin qui est "docteur en médecine" et non pas "doctoresse" même si l'évocation du sexe du titulaire de la fonction est de nature à l'érotiser pour les lecteurs mâles.

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Comment ça marche?

Mais comment en l’absence de manuel trouver le mode d’emploi? Elle parcourut les ouvrages sur le sujet mais ne trouva rien de concluant. Elle avait bien une certaine idée de la façon dont les lavements se donnaient au siècle dernier ; pour quels genres de maladie ou de troubles ils étaient prescrits et la façon dont on procédait. Les semaines qui suivirent, elle passa son temps libre à la remise à neuf de l’appareil : nettoyant les parties métalliques, testant la robinetterie, remplaçant les tuyaux, vérifiant les récipients et astiquant les moindres éléments.

Après tout, le liquide contenu devait être introduit dans le colon du patient, il devait être aussi stérile que possible. Elle ne voulait qu’il ne subsiste aucun résidus ou impureté dans quel coin de l’appareil. Elle y réussit parfaitement. C’était un appareil qui avait été fabriqué à une époque où l’on croyait religieusement à l’avancée de la médecine. Son aspect confortait cette foi. Elle semblait dire : je sais ce qui est bon pour vous, et je vais le mettre en œuvre.

Il fallut un certain temps pour que le docteur comprenne comment la machine pouvait fonctionner. Elle fit l’hypothèse que la pompe manuelle enverrait le liquide du réservoir principal dans l’un des plus petits réservoirs en verre et de là par un gros tuyau dans le rectum du patient. Mais pourquoi deux récipient de verre? Le plus petit était fixé sur un support qui pouvait être monté ou baissé selon les intentions de l’opérateur. La question était : en quoi pouvaient consister les dites intentions ?

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Euréka! Elle a trouvé.

Elle joua un moment avec l’appareil après avoir raccordé la pompe manuelle remise à neuf au récipient principal.

Spontanément, elle versa une solution assez concentrée de deux ingrédients pour lavement dans chacun des deux réservoirs en verre.

Dans l’un elle mit une solution savonneuse chaude et dans l’autre un mélange doux d’huiles laxatives. Elle s’aperçut, qu’en réglant l’ouverture du robinet entre les deux récipients de verre et en jouant sur la position en hauteur des ces récipients, elle pouvait régler le débit des deux solutions et envoyer dans le tuyau débouchant dans le rectum du patient soit une seule des solutions, soit un mélange variable des deux. C’était, elle en était certaine, ce à quoi était destiné cet appareil : permettre l’administration de différentes solutions au cours d’une même séance de lavement. Suivant la condition du patient, il pouvait être plus bénéfique de lui injecter d’abord une bonne giclée d’huile pour préparer un rectum réfractaire et de continuer par un flôt d’une solution savonneuse irritante concentrée.

Il existait dans les brochures qu’elle avait trouvées un grand nombre de solutions de lavage, de rinçage, des solutions rajeunissantes, irritantes et même des décoctions d’herbes parmi lesquelles elle pourrait choisir les plus adaptées.

A ce point de sa réflexion, la suite lui parut s’imposer. Elle était certaine d’avoir découvert l’usage de l’appareil. Mais, il fallait maintenant en prouver l’utilité. La démonstration de l’utilisation du pudding se faisait en le mangeant, celle de l’appareil se ferait en trouvant un cobaye volontaire pour recevoir le lavement dans son ventre.

Ce qui n’était pas si simple, car dans cette clinique elle s’occupait plus de tâches administratives que de soins aux patients bien que ceux-ci soient aussi dans son domaine de compétences. Elle devait juste trouver qui serait son premier cobaye. Il lui fallait éviter d’interférer avec un traitement en cours. Elle ne pouvait pas non plus prendre une personne ne présentant aucun trouble. Mais en fin de compte, elle décida que même s’il n’apportait rien pas d’amélioration notable, un bon lavement ne pouvait pas faire de mal. Elle avait lu que la majorité des médecins était de manière générale favorable aux lavements. Elle pensa que la meilleure façon de trouver un patient était de faire part de sa trouvaille à un confrère et de lui faire prescrire une séance avec le « lavementier à double action » (ainsi avait-elle baptisé l’appareil rénové) Il ne restait plus qu’à trouver ce confrère qui serait intéressé par l’appareil et le traitement et qui serait à même de fournir le patient approprié..

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A deux c'est mieux! 🌹

Le docteur passa mentalement en revue la liste de ses confrères, mais comme c’était prévisible aucun ne semblait convenir. En fin de compte, un nouvel attaché, le Dr Karen Anderson spécialisée dans les troubles nerveux lui parut sa meilleure option. Le docteur Anderson avait terminé son internat il y avait déjà quelques années et avaient en charge plusieurs patients dans ce qu’on pouvait appeler «l’aile psychiatrique » de la clinique. Aucun de ses patients ne souffrait de troubles psychiatriques sévères, mais plutôt d’asthénie et d’attitude dépressive.

On pourrait certainement en trouver un parmi eux qui même s’il ne tirait pas bénéfice du double lavement, ne serait pas affecté d’effets indésirables.

Restait à présenter la chose au Dr Anderson sans passer pour une exotique excentrique. Le docteur se lança et appela le bureau du Dr Anderson pour résoudre avec celle un banal problème administratif. Elle posa l’appareil maintenant rutilant avec ses robinets de cuivre poli, ses réservoirs en verre limpides son tuyau rouge vif sur une console derrière elle de façon que le Dr Anderson ne puisse manquer de le voir au cours de leur conversation.

Quand fut réglé le petit problème prétexte, le Dr Anderson ne put s’empêcher de s’enquérir de l’étonnant appareil qu’elle n’avait pas quitté des yeux. Le docteur feignant la surprise se retourna ayant l’air légèrement surprise que cette antiquité eût retenu l’attention du Dr Anderson. Pour entretenir l’intérêt du Dr Anderson pour l’appareil, le docteur dût lui promettre de le laisser l’examiner plus longuement.

La curiosité du Dr Anderson était si grande qu’elle aurait pu rivaliser avec celle du docteur si cela eût été possible. Les jours qui suivirent, le Dr Anderson revint plusieurs fois dans le bureau du docteur sans cacher la raison de sa venue. Tournat autour du pot aucune des deux n’abordait franchement le sujet. Le jeune Dr Anderson pressait sa confrère de questions sur l’appareil et sur ce qu’elle comptait en faire. Elle était emballée, et déclara qu’il serait très intéressant de le voir fonctionner. Le docteur lui répondit qu’elle aussi était très curieuse de voir l’appareil fonctionner et d’en constater les effets, mais elle n’avait pas de patient à qui elle pouvait de bonne foi présenter comme bénéfique d’être traité avec l’appareil. Peut-être, le Dr Anderson en avait-il un?

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Le choix de deux derrières pour la canule. 🌹

En y réfléchissant, le Dr Anderson répondit qu’elle voyait plusieurs patients qui lui semblaient pouvoir relever de ce traitement.

Le premier Alex G. un jeune homme de 23 ans ne souffrant d’aucune maladie avérée mais d’une indolence persistante aggravée par des accès dépressifs légers et un manque d’estime de soi.

Il faisait le désespoir de sa riche famille qui l’avait placé temporairement dans la clinique en espérant que des soins pourraient améliorer son humeur.

L’autre patient envisagé était une femme de 30 ans, Debra L. Son état psychique voisin de celui d’Alex avait pour cause, selon le Dr Anderson, son incapacité à trouver du plaisir dans les rapports sexuels.

Une éducation rigoureuse avait conduit à un blocage qui l’empêchait d’arriver à la jouissance sexuelle qu’elle soit solitaire ou avec un partenaire.

D’un point de vue médical, il eut mieux valu qu’elle fût suivie par un médecin sexologue, solution inenvisageable pour sa famille qui l’avait confiée aux soins de la clinique.

. Après examen des deux cas, il fut décidé que le cas d’Alex relevait plus nettement du traitement. Les deux femmes planifièrent une séance pour le vendredi après-midi. Les deux médecins attendraient dans une des salles d’examen. Elles procéderaient à des essais les jours précédents afin de déterminer quelles solutions il convenait d’administrer.

Elles attendirent le vendredi avec impatience mal dissimulée. Toute la matinée le docteur fut en proie à une grande nervosité. Elle expédia le travail courant et alla rejoindre le Dr Anderson dans la salle d’examen qu’elles avaient réservée. L’appareil était là posé sur un chariot la pompe à main accrochée dessus. Sur un autre chariot étaient posés une multitude de accessoires auxiliaires comme des canules de toutes formes et dimensions, le tuyau supplémentaire, des pinces, des gants de Latex, des sondes, des dilatateurs et des spéculums. Rangés sur la même table on voyait de nombreuses fioles, flacons et tubes contenant des diverses substances qui seraient utilisées pendant la session. Les deux femmes avaient passé de courtes blouses blanches et affichaient un air très professionnel quand une infirmière poussa dans la pièce le lit roulant sur lequel était allongé Alex.

Alors, les ami(e)s qui aimerait être Alex?

Qui aimerait être le docteur?

Qui aimerait tenir successivement les deux rôles? 😉

Devinez ce qu'il en est pour moi. 😃

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La canule va bientôt trouver un rectum!!!

Alex ne portait pas son pyjama personnel, mais une blouse d’examen permettant un accès aisé aux différentes parties du corps. Alex avait toute confiance dans le Dr Anderson, mais il sentait que cet après-midi, il s’annonçait quelque chose de différent. Il en eut l’intuition en voyant ces deux femmes qui l’attendaient. Depuis qu’il était à la clinique, rien ne semblait l’intéresser, il était retranché derrière un mur d’indifférence. Karen Anderson avait même une fois essayé de le réveiller en abordant des thèmes érotiques, lui faisant miroiter la possibilité de certaines récompenses assez chaudes s’il manifestait tant soit peu d’intérêt, mais cela en vain. Elle doutait même qu’il se masturbe en cachette. Depuis qu’il était à la clinique, aucune trace de résultat d’activité sexuelle solitaire, aucune tâche de sperme sur ses draps et linges.

Le docteur renvoya l’infirmière, elle et Karen étaient maintenant seules avec Alex. Elle se remémora la procédure envisagée pendant que Karen conduisait le jeune homme à la table d’examen. Elle expliqua qu’elles allaient essayer un nouveau traitement et qu’il devait rester détendu pendant son déroulement. Alex pencha la tête et haussa les épaules comme pour signifier « comme vous voulez ». Il avala le sédatif léger qu’elle lui tendait sans demander ce que c’était. Il s’assit au bord de la table pendant que les deux médecins attendaient que le médicament agisse. Quand elle jugea que c’était fait, Karen ouvrit la blouse d’Alex et fit coucher Alex sur le dos. Au cours des jours précédents les deux médecins avaient décidé qu’il serait nécessaire d’utiliser une certaine forme de contention pour éviter les mouvements indésirables du patient. Le docteur plaça les étriers au bout de la table, elles saisirent ses jambes et y placèrent ses chevilles et les attachèrent avec des sangles.

Elles réglèrent les étriers de façon qu’Alex eut les jambes bien écartées, les genoux près de la poitrine. Dans cette position Alex exposait complètement ses organes génitaux et le trou brun deson anus, les rendant ainsi accessibles sans aucune restriction aux deux docteurs. Le docteur Anderson décida de passer outre à toute pudeur mal placée et ôta la blouse le laissant ainsi exposé complètement nu.

Amis lecteurs! si Alex vit ça un peu de l'extérieur, je pense que dans cette situation pas mal d'entre vous aurait déjà le sexe tendu dans une énorme érection (qui ne déplairait peut-être pas à nos 2 docteurs) 😉

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Mets de l'huile!

A cette vue, le Docteur peu habituée de par ses activités à examiner des patients, sentit son pouls s’accélérer, la chose s’annonçait encore plus excitante que prévue, car Alex, abstraction faite de son problème psychique était un jeune homme très bien fait de sa personne. Il avait des cheveux blonds et comme c’est souvent le cas chez les blonds une toison pubienne peu fournie. Bien qu’à l’examen visuel son pénis et ses testicules paraissent en parfait état, le docteur Anderson préféra quand même contrôler par une palpation. Elle ne décela aucune anomalie si ce n’est qu’Alex ne montrait aucun signe d’excitation sexuelle alors qu’elle le palpait, le serrait, le décalottait, malaxait ses testicules dans un examen si approfondi qu’il frôlait la masturbation. Son pénis restait flasque et sans réaction. Elle nota ce symptôme qui, elle en était certaine, n’était pas dû à un extraordinaire self-contrôle du jeune homme. Ceci la fit réfléchir, car, avec son apathie, c’était la seule manifestation de sa maladie, tout le reste allait bien. Avant de passer à l’administration du lavement à double effet, Karen jugea prudent de prendre sa température afin de voir si rien ne s’y opposait. Elle enfila une paire de gants en latex et, avec un plaisir non dissimulé, elle y déposa une grande quantité de gel lubrifiant et en enduisit généreusement l’anus d’Alex. Elle enfonça profondément son index dans le petit trou brun étoilé qui s’offrait à elle, le faisant tourner à l’intérieur. Rien n’obstruait le passage, elle nota simplement que le passage était étroit et serré. Elle demanda au Docteur d’enfoncer le gros thermomètre rectal dans l’anus du garçon. Frémissant d’avance d’excitation, le Docteur avait les mains un peu tremblantes quand il prit le tube de verre. Le Dr Anderson écarta largement les fesses d’Alex, les ouvrant bien en plaçant son pouce et son index de chaque côté de l’anus du garçon et en poussant vers l’extérieur. Le Docteur y enfonça le thermomètre dans le petit trou qui s’offrait et toutes deux attendirent le cœur battant.

Je me demande vraiment si ces deux docteurs agissent seulement par intérêt médical. :-\

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Une introduction qui vient à son heure

Le thermomètre sorti de l’anus n’indiquant pas de fièvre, les docteurs décidèrent de passer au lavement. Karen désirait que la voie soit bien dégagée, aussi pendant que le docteur portait la première solution de lavement à bonne température, elle prit un rasoir et supprima toute pilosité de la région annale du garçon. Elle procéda si vite et avec tant de conviction qu’elle ne put s’empêcher d’aller plus haut. Les testicules d’Alex et son périnée étaient déjà dégagés et elle attaquait le pubis quand le docteur annonça que les solutions étaient prêtes. L’eau était à un confortable 40°, juste un peu au dessus de la température du corps.

Elle en versa une bonne quantité dans le réservoir principal, le docteur y ajouta une cuillère à café de sel et de levure pour éviter les déséquilibres électrolytiques. Elle versa aussi un concentré de savon de Ph neutre dans l’un des petits réservoirs de verre. Le second fut rempli d’une solution irritante de glycérine et d’huile minérale additionnée d’extraits de noix de cola. Il s’agissait là de la plus singulière des solution que le docteur avait trouvées dans les brochures. C’était Karen Anderson qui avait choisi le traitement, sa personnalité dominante s’étant naturellement affirmée. Le Docteur était troublée par ce renversement de la hiérarchie. Elle était délicieusement excitée par l’évolution de la situation et pour être honnête elle devait bien reconnaître qu’elle avait pressenti ce qui arrivait. Seulement son excitation était à un niveau qu’elle n’aurait pas cru possible. Le Dr Anderson choisit une canule noire en bakélite de taille moyenne. Longue d’une vingtaine de centimètres, elle était légèrement incurvée et percée de plusieurs trous en multiples couronnes à son extrémité. Elle l’emboita sur le tuyau principal et l’enduisit d’une bonne couche de gel. Elle laissa au docteur le soin de procéder à la première introduction. Celle-ci prit la canule, la tint au dessus d’une petite bassine et ouvrit le robinet principal provoquant ainsi l’écoulement d’une petite quantité d’eau qui purgea le tube de l’air qu’il contenait.

Satisfaite du résultat, elle enfonça cet objet étranger dans l’anus sans aucun doute vierge d’Alex.

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La canule c'est pas nul !!!

Elle eut besoin de pousser plus fort que pour le thermomètre, la canule étant d’un diamètre sensiblement plus gros, mais en le faisant tourner et osciller, il réussit à trouver son chemin et à s’enfoncer d’une manière naturelle. Le Docteur se rendit compte qu’Alex essayait de bouger ses fesses mais ses jambes attachées par les sangles et Karen qui lui appuyait sur les hanches empêchaient tout mouvement. Le Docteur enfonça la canule dans le rectum du jeune homme jusqu’à ce que renflement de raccordement au tuyau appuie sur son sphincter frémissant. La canule était maintenant bien fiché dans l’anus d’Alex, la partie intérieur du coude vers le haut, le renflement de la partie avant avait massé sa prostate en le pénétrant.

Le Docteur pompa pour faire monter la pression dans le réservoir principal au niveau approprié surveillant le manomètre. La pression atteinte, elle ouvrit la valve ouvrant ainsi la voie à un filet d’eau de couler dans le ventre d’Alex. Elle ouvrit alors la liaison avec le premier récipient de verre et le concentré de savon se mélangea alors avec le flux continu d’eau chaude. Les deux femmes fascinées regardaient le niveau du bocal baisser lentement. L’appareil fonctionnait comme attendu. Quand environ un litre fut passé dans les intestins d’Alex,, elles décidèrent de fermer l’arrivée de solution savonneuse et attendirent un peu pour observer quels en étaient les effets sur Alex. Etrangement, le traitement n’entraîna aucune agitation ou soubresaut pour le patient qui parut plus relaxé et poussa à même plusieurs reprises des soupirs de plaisir. Les yeux fermés, il acceptait le traitement qui violait son intimité. Les deux femmes médecins se regardèrent un peu étonnées, analysant ce qui se passait. Comme tout allait bien, elles pouvaient passer à la suite des opérations. Le réservoir d’eau fut rempli et le flot recommença à s’écouler. La valve du second bocal fut ouverte et le mélange glycérine, huile, extrait de noix de cola passa dans le rectum d’Alex. Le ventre du patient était maintenant bien gonflé et visiblement les ingrédients avaient commencé à irriter le tissu intestinal provoquant des crampes qui tordaient un peu le ventre du garçon. Mais, outre ces effets prévus, elles constatèrent une autre manifestation, elle inattendue, chez Alex. Alors que précédemment son sexe n’avait pas réagi à toutes leurs manipulations, il était maintenant dressé et turgescent dans une énorme érection. Elles se regardèrent en souriant. Il était clair qu’Alex répondait parfaitement au traitement.

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Délire orgasmique.

Le lavement continua jusqu’à ce qu’il eut quelques 3 litres dans son colon, la quasi-totalité du contenu des deux réservoirs. Le Dr Anderson ne put s’empêcher de vérifier manuellement ce qu’il en était de l’état du pénis du patient. Elle le faisait coulisser, le serrait encore beaucoup plus intensément que lors du premier examen. Maintenant la manipulation était vraiment de nature sexuelle, en fait elle le masturbait ou pour utiliser un mot plus sexuel : elle le branlait. Le Docteur observait fascinée, elle remarqua le bel aspect et la douceur du sexe d’Alex. Karen lui fit signe de se joindre à elle pour masturber le pénis érigé. Les deux femmes continuèrent à branler de concert la queue sur toute sa longueur des testicules au gland jusqu’au moment prévisible de l’orgasme. Alex qui éjacula violemment plusieurs giclées de sperme qui aspergèrent les mains et la poitrine des deux praticiennes. Il poussait des gémissements de plaisir en déchargeant sa semence. Karen laissa au jeune homme le temps de récupérer puis, ayant placé un bassin sous ses fesses, elle sortit la canule de son fondement pour qu’il puisse expulser le tout ce liquide qui gonflait son ventre. Quand il se fut vidé, elles détachèrent ses jambes, elles lui enfilèrent sa blouse et permirent qu’il s’allonge sur le lit. Il sombra aussitôt dans un profond sommeil. Les docteurs le firent reconduirent à sa chambre et nettoyèrent le matériel. Les deux femmes quittèrent la clinique dans un grand état d’excitation et allèrent au restaurant fêter leur réussite. Aucun doute l’utilisation de l’appareil donnait des résultats. Le Dr Anderson surveillerait bien sur l’état d’Alex les jours suivants, mais elle était certaine que le traitement avait eu sur lui des effets bénéfiques en provoquant cette réponse sexuelle. En fonction de l’évolution, elle programmerait peut-être de nouvelles séances. Toutes deux discutèrent du traitement envisageant de possibles légères modifications. Elles quittèrent le restaurant toujours sur un petit nuage et rentrèrent chez elles. Le soir, le Docteur était dans un tel état d’excitation sexuelle qu’elle se fit jouir plusieurs fois en se masturbant d’abord avec les doigts puis en se frottant contre son drap en gémissant. Elle s’endormit avec des images de canules de fesses tendues, et de flots d’eau plein la tête.

Elle qui ne se masturbait pas régulièrement avait ressenti ce soir des orgasmes d’une telle intensité qu’elle ne pouvait en ignorer la raison : l’appareil avait sur elle un effet qu’elle n’avait pas vu venir.

Là je dois confesser que j'ai traduit cette partie en m'imaginant à la place d'Alex la canule dans l'anus me remplissant pendant que les deux docteurs me masturbaient 😜

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Un peu de parité ne peut pas nuire. 🌹

Au cours des séances suivantes, l’idée vint au Docteur qu’il pouvait y avoir d’autres manières d’organiser les échanges entre les réservoirs. Elle décida avec le Dr Anderson de les examiner. Elles se demandèrent s’il était possible au lieu d’utiliser une seule canule d’en utiliser deux simultanément, chacune reliée à un des réservoirs en verre par des tuyaux séparés.

Elle en dessinèrent le schéma et conclurent que c’était réalisable. En ajoutant des tuyaux supplémentaire et en réorganisant les branchements existants elle s’aperçurent que la transformation était assez aisée. En bricolant, en déplaçant deux ou trois tuyaux et en ajoutant une valve, elles furent à même envoyer de façon indépendante et en même temps le liquide dans deux canules séparées. Dans ce dispositif on ne pouvait plus mélanger les solutions, mais chaque tuyau pouvait être utilisé avec son propre type de solution. Ce montage ne pouvait être destiné qu’à un seul usage : traiter deux orifices ou cavités simultanément

Il leur traversa la tête d’administrer un lavement en même temps à deux patients, l’idée était assez excitante, mais elles la rejetèrent pour des raisons d’hygiène. De ces raisons ; il résultait qu’un tel dispositif ne pouvait servir qu’à traiter un seul patient de sexe féminin, une canule introduite dans l’anus, l’autre dans le vagin. Elles convinrent que, certes, si l’idée n’était pas franchement révolutionnaire, il convenait de la creuser et elles décidèrent de la mettre en œuvre sur un sujet féminin approprié.

Se souvenant de leur précédente recherche de patients potentiels, elles décidèrent d’organiser une séance de lavement pour Deborah L. avec l’appareil dans sa nouvelle configuration.

Est-ce que la suite vous intéresse? Ou je passe à la traduction des oeuvres de Michael Walzer. 😶

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On change de sujet.

Quand vint la séance, Deborah fut de prime abord un peu étonnée par la présence de deux médecins. Elles lui administrèrent la potion sédative et l’installèrent sur la table d’examen. Elle renâcla un peu quand elle dut se mettre nue, mais elle s’apaisa et s’étendit jambes bien ouvertes permettant ainsi qu’on lui attache les chevilles aux étriers avec des sangles. En tant que femme elle connaissait les modalités d’un examen gynécologique qu’elle avait déjà subi.

Karen voulut, de nouveau, vérifier la température de la patiente et procéder au rasage du pubis. La raison invoquée était de faciliter le nettoyage de la zone après le lavement, mais elle voulait aussi troubler Le Docteur chez qui elle devinait obscurément une fascination un peu perverse pour les organes génitaux lisses. Elle s’occupa donc de de Deborah et se mit en devoir de débarrasser la zone pubo-anale de tous ses poils, laissant apparaître une chair agréablement jeune et lisse.

Pour le lavement anal, les docteurs optèrent pour une formule traditionnelle : savon de Ph neutre, avec une addition de sel et d’un peu d’huile d’olive. Pour l’irrigation vaginale, elles choisirent un cocktail parfumé de diverses plantes, camomille, thym, lavande et menthe avec de l’essence de cédrat et quelques adjuvants stimulants comme la caféine et la théine. C’était un mélange surprenant, un peu exotique tiré directement d’une des vieilles brochures.

Quand tout fut prêt pour l’insertion, Karen suggéra

Que chacune d’entre elles prenne une canule et qu’elles les enfoncent simultanément dans les deux orifices respectifs.

Ce qui fut dit, fut fait. Le Docteur fixa une très grosse canule vaginale à son tuyau et le lubrifia avec beaucoup de gel. Karen fit de même avec une canule rectale qui bien que de moindres proportions était de bonne taille et se mit en position. Quand elle eut pompé pour amener l’eau chaude à la pression convenable, les deux femmes enfoncèrent doucement mais fermement les canules bien au fond du vagin et de l’anus de la jeune fille.

Deborah ne pouvait ignorer une telle intrusion. Elle écarquilla les yeux, étonnée, ne comprenant pas immédiatement ce qui arrivait. Les vannes furent ouvertes et un flot de liquide chaud passa doucement dans ses deux orifices. Quand, sentant le liquide chaud passer en elle, elle comprit ce qu’il en était, elle cessa de se débattre. Le Docteur constata avec étonnement qu’elle appréciait le traitement. Les yeux clos, elle remuait son bassin en gémissant. Karen échangea avec le Docteur un sourire de connivence. Quand les valves furent fermées, Karen avait pris des deux côtés, vagin et anus, sans une seule plainte tout le contenu des deux réservoirs.

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Deborah climax

Sous l’excuse de soulager les crampes susceptibles de tordre le ventre de Deborah, Karen Anderson commença à lui masser l’abdomen descendant progressivement jusqu’à ce que ses doigts atteignent le clitoris de la jeune fille qu’elle titilla longuement. Elle utilisa de son autorité de médecin, pour calmer les réticences de la jeune fille et lui demander de collaborer pleinement au traitement. Elle continua ses frottements sur le bourgeon de Deborah qui était maintenant bien dégagé et tout gonflé, dressé de tout sa longueur sous le regard à la fois approbateur et envieux du Docteur. L’opération dura plus longtemps qu’avec Alex, était-ce en raison des différences inhérentes à la physiologie des hommes et des femmes, ou de l’inexpérience relative de Deborah dans le domaine des activités sexuelles. En tout état de cause, et comme c’était prévisible elle arriva à un orgasme qui la secoua. Elle jouit criant son plaisir. Elle put ensuite expulser ensuite le liquide qui était en elle et se détendit. Une infirmière la conduisit ensuite sur son chariot vers sa chambre où elle sombra dans un sommeil profond. Les deux médecins se félicitèrent de nouveau et partirent fêter ce succès au restaurant par un repas bien arrosé au cours duquel elles discutèrent longuement élaborant de nouveaux projets.

Bon sang! Que vont elles faire maintenant?

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Je rappelle que je ne suis pas l'auteur de cette histoire, je n'en suis que le traducteur. Je suis donc contraint de suivre la trame voulue par son auteur et non de laisser libre cours à mes fantasmes. Le grand Architecte sait pourtant que je n'en manque pas, mêmes des inavouables.

Ce qui devait arriver, arriva. 😉

Au moment de se séparer, le Docteur, poussée par une pulsion incontrôlable, en souhaitant bonne nuit à Karen, la prit dans ses bras et l’embrassa sur la bouche. Effrayée par son audace, elle voulut se dégager, mais Karen lui sourit, posa ses mains sur sa nuque et lui rendit son baiser avec tendresse et sensualité. Leurs langues se cherchèrent et s’emmêlèrent avidement. Elles passèrent la nuit ensemble, partageant désir et passion dans une succession de caresses et d’ébats amoureux. Chacune découvrit le corps de l’autre. Le Docteur avait vu juste en ce qui concernait la pilosité de Karen dont la vulve et l’anus soigneusement rasés était une source de plaisir pour sa langue et ses lèvres. Karen Anderson assura le rôle dominant et à son étonnement le Docteur fut comblée qu’il en soit ainsi. Ce fut entre elle le début d’une passion amoureuse. Elles continuèrent à administrer le traitement chaque semaine aux deux patients avec les mêmes résultats en terme d’orgasmes et notèrent une amélioration assez nette de leur état.

Au bout d’un certain temps, Alex et Deborah quittèrent la clinique et reprirent une vie presque normale n’ayant plus rien à voir avec leur état antérieur. .Dans le petit monde de la clinique, les docteurs ne purent garder secret longtemps la nature de leurs séances de thérapie avec l’appareil.

Personne ne leur reprocha une conduite inconvenante ou une attitude non professionnelle mais leurs collègues estimaient que ce mode de soins s’apparentait à du charlatanisme. Ceci ajouté au fait que leur relation était évidente ne pouvait que conduire à leur départ. Elles furent poliment mais fermement priées de démissionner de leurs postes faute de quoi elles seraient licenciées. Elles comprirent parfaitement la situation et ne voulant pas avoir de traces sur leurs dossiers, elles décidèrent de partir d’elles mêmes. Elles emportèrent l’appareil, ce qui n’était pas tout à fait légal, mais à dire vrai personne ne se plaignit ne voulant rien avoir à faire avec cet instrument.

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Le Docteur et Karen cherchèrent un autre emploi dans diverses cliniques, mais ne trouvant rien qui leur convienne, elles franchirent le pas et décidèrent d’ouvrir leur propre centre de soin. Il va de soi que l’appareil constituait le noyau central de leur thérapie. Après des débuts modestes, l’activité augmentant, elles embauchèrent du personnel et firent fabriquer plusieurs répliques de l’appareil. Avec le succès, elles s’installèrent dans un quartier plus huppé, accueillant des patients de milieu aisé venant jouir sans honte, puisque dans le cadre d’un traitement médical, du plaisir sexuel provoqué par les lavements

Comme cette histoire n’est pas un conte de fée, on ne conclura pas en disant qu’elles vécurent heureuses et eurent beaucoup d’enfants. Mais elles gagnèrent beaucoup d’argent avec la machine et ne lassèrent pas l’une de l’autre.

Imaginez amis lecteurs, ce que furent les séances de soin dans cet institut dédié au lavement.

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Epilogue.

Des années après le départ des deux médecins, le conseil d’administration vota une rénovation du bâtiment et pendant plusieurs mois, la clinique allait traverser une période de transformation de toutes sortes. Avant que ne commencent les travaux, le personnel d’entretien fut prié de débarrasser le sous-sol et tous les lieux de stockage de toutes les vieilleries qui les encombraient. Un e infirmière fut chargée d’examiner tout ce qui sortait avant que ce ne soit envoyé à la décharge. Au milieu d’une masse de documents, elle repéra un vieux manuel sur lequel figurait l’image d’un appareil qui lui parut familier. En y réfléchissant elle se souvint de l’étrange appareil qu’elle vu plusieurs fois utiliser par les deux médecins qui avaient quitté la clinique. C’était bien la même machine, elle en était sure. Elle feuilleta l’ouvrage et découvrit qu’il s’agissait d’un dispositif appelé « appareil de Kuss » qui selon le manuel servait au examens pulmonaires. Il servait principalement à injecter de l’air dans la cavité pleurales pour en faire ressortir les anomalies lors de la radiographie. En rapprochant l’utilisation originale de l’appareil de celle qu’en avaient fait les deux docteurs, elle ne put s’empêcher de rire sous cape. Elle pensa chercher leur nouvelle adresse pour leur envoyer le manuel, mais finalement elle décida de n’en rien faire.