Vues: 358 Created: 2014.07.28 Mis à jour: 2014.07.28

Poudlard, les annales

Drago et Pansy (les cachots de serpentard)

Poudlard, les annales

Titre : Drago et Pansy (les cachots de serpentard)

Pansy et Drago étaient de nouveau réunis dans les cachots. Comme d'habitude, les deux n'avaient fait aucun bruit pour ne pas attirer l'attention de curieux.

Cette fois-ci, Pansy était menottée les mains dans le dos : Drago avait changé de tactique, préférant l'attacher plutôt que de la tenir. En bonne soumise, Pansy avait accepté de se faire passer ces menottes. Même si les fantasmes de Drago étaient bizarre, ça restait tout de même des instant très intense, et Pansy ne demandait pas mieux.

Une fois attachée, Drago l'avait personnellement déshabillée, l'avait fessée plusieurs fois alors qu'elle avait les fesses nues, puis l'avait accroupie de force par terre avant de baisser à son tour son pantalon. Il sortit son engin tout dur et le prit dans sa main pour le porter face au visage de sa partenaire.

-Maintenant, ouvres ta bouche ! Ordonna Drago.

Pansy hésita. Jamais elle n'était aller si loin de ce côté. Drago se fit plus insistant en pressant son gland sur ses lèvres fermées.

-Allez ! On ouvre grand la bouche, insista le jeune homme d'un ton calme et posé.

Pansy desserra la mâchoire et laissa le pénis de Drago s'engouffrer dans sa bouche. Celui-ci posa ses deux mains derrière sa tête pour rythmer la fellation, enchaînant de lents vas-et-viens. Les mains menottées dans le dos, Pansy n'avait d'autres choix que de répondre aux désir de son partenaire. Elle essaya plusieurs fois de se retirer en se balançant en arrière, et finalement Drago décida de la lâcher.

-Tu veux encore un petit peu ? Demanda celui-ci en tenant toujours son pénis en érection dans sa main.

-Non, plus de ça ! Refusa Pansy.

-Bon, fit-il, puisque ta bouche n'est pas très accueillante ce soir, je vais devoir passer par un autre orifice... !

Une lueure perverse brilla dans les yeux de Drago, et il attrapa sa partenaire par les épaules pour la relever, avant de la pencher aussitôt en avant sur une table en bois. Pansy voulu résister.

-Non, pas le trou du cul ! Supplia-t-elle d'une petite voix.

Trop tard. Drago avait déjà écarté ses fesses et venait de poser le bout de son pénis sur son trou de balle bien serré. Sans discussion supplémentaire, il attrapa la jeune sorcière par la taille et commença à la pénétrer doucement et sûrement. La salive avait bien lubrifié son sexe, qui s'insérait en glissant lentement.

Pansy essaya tout d'abord de serrer les fesses, puis de pousser pour le faire sortir, mais rien ne l'arrêtait. Elle dû alors se résoudre à essayer de se détendre et attendre la fin en se laissant dominer.

-T'aimes ça, hein ? Te la prendre dans le fion ! Fit Drago en accentuant la cadence.

La jeune sorcière émit un gémissement en guise de réponse.

-C'est ça ! Serres bien les fesses, petite cochonne ! Enchaîna Drago. Voilà qui devrait te déconstiper pour un moment !

-Mais je ne suis pas constipée ! se défendit Pansy d'une petite voix.

Il lui lâcha la taille, puis se résolu à sortir son sexe du cul de sa partenaire. Son anus se referma doucement, accompagné d'un bruit gras.

-Pas constipée !? Répéta-t-il. En tout cas, tu n'échapperas pas au traitement que je te réserve.

Pansy avait déjà reçu de la part de Drago différentes potions laxatives, à boire pour la plupart, ainsi qu'un lavement qui s'était montré tout aussi efficace.

Elle tourna sa tête derrière elle pour voir ce qu'il lui préparait, et vit avec horreur qu'il tenait trois médicaments moldus qu'elle reconnut tout de suite pour en avoir déjà entendu parler : des suppositoires. Ces petites fusées jaunâtres qu'on mettait dans le derrière pour faire aller aux toilettes. Aussitôt, elle fut mal à l'aise en sachant qu'elle allait y avoir droit.

-Et oui, des suppos ! Confirma Drago. Trois devraient suffire pour t'envoyer aux toilettes !

Elle essaya de bouger, mais il l'avait fermement appuyée contre la table pour l'empêcher de bouger. Elle sentit les doigt de Drago se balader dans sa raie, entre ses fesses, et ne tarda pas à recevoir un premier suppositoire !

-Aie ! Fit-elle dans un cri.

Cela lui valut une bonne fessée qui claqua dans le couloir à côté.

-Tais-toi, fit-il. Je n'ai pas terminé !

Il enchaîna, et elle reçut deux autre suppositoires, qu'il enfonça bien profondément dans son derrière pour éviter toute expulsion.

-Voilà, fit-il. Maintenant tu peux partir.

Il lui enleva les menottes.

-Le temps que tu arrives aux toilettes de ton dortoir, il sera grand temps pour toi de te soulager, ricana-t-il en la voyant ramasser ses vêtements.

Puis il la regarda quitter la pièce, content de sa petite séance de domination.