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Vues: 877 Created: 2018.04.01 Mis à jour: 2018.11.13

Trouble...

Trouble...

(Pour une Amie)

Préambule.

Morgann roulait depuis une bonne heure mais n’était pas concentrée sur sa route, quelque chose errait en son esprit, un sentiment étrange, indiscernable, désagréable parce qu’il affaiblissait sa vigilance au volant, mais émotivement agréable par la douce chaleur qu’il faisait naitre en elle, elle s’interrogeait...

Etait-ce le soleil qui l’avait poussé à défaire quelques boutons de son top, ou le trouble qui l’envahissait... ?

Qu’avait-elle fait ou vue qui puisse l’amener à ce désir incontrôlé et savoureux de bien être... ?

Elle se rappelait avoir trainé un peu sur le net, et d’avoir répondu à ses mails avant de partir, un sans importance de son mari, un autre de son travail, quelques mots d’une amie, rien de spécial...

Si... !!! Le premier mail lu... !

Qu’elle s’était promis de venir relire, plus tard, dans l’intimité de sa chambre, à l’abri des regards car il proviennent d’un coquin qu’elle affectionne, et avec lequel elle échange des mots doux...

C’est donc ça...

Ses mots, lus rapidement, qui errent en elle, cherchant à l’émouvoir, au point qu’elle évite de peu la voiture qui vient en face...

Elle roule sur le bas côté, essoufflée par cette frayeur et la raison de son trouble...

Mon dieu... ! Cet homme me touche à distance, se dit-elle...

Ses paroles sont imprimées en moi et me font dériver vers de charnelles envies...

S’ajoute à tout cela, les images de son corps, elle l’a déjà vue nu, et s’est montrée à lui...

Morgann regarde autour d’elle, c’est la pleine campagne, un chemin sur la droite s’enfonce dans un sous bois, elle y gare sa voiture pour reprendre ses esprit, l’endroit est silencieux, elle reprend conscience de son top entrouvert et caresse ses seins, sont autre main glisse langoureusement sur la soie de ses bas...

L’homme lui a dit plusieurs fois qu’il se laissait aller à des caresses intimes en regardant les photos d’elle, et cela l’a troublée plusieurs fois, jusqu’à faire poindre, comme maintenant, une honteuse humidité à l’orée de sa vulve...

Sa main remonte en caressant l’intérieur de ses cuisses, vers la dentelle mouillée de son string...

Elle s’ouvre légèrement pour accueillir ses doigts...

Son intimité est devenue bouillante, et Morgann comprend qu’elle ne peut refuser à son corps qui frémit, ce plaisir manuel dont elle a tant envie...

Visualisant les mots, et le corps de cet homme, elle s’imagine près de lui, cédant à ses demandes...

Chapitre 1

Morgann n’a jamais cédée à cet homme, ou si peu, une fois lors d’une excitation commune, elle lui avait fait en parole, une chose qu’il apprécie, mais elle gardait quelques distances avec lui, se contentant de lire ses textes, ce qui lui procure d’intenses hontes parfois, tellement son langage est cru, argotique , autant dans ses descriptions de coïts aux plaisirs dépravés, que dans ses fantasmes humides et variés...

Des choses qu’elle refuserait à son mari, s’il les lui demandait, mais qu’elle lit d’une main, laissant l’autre vagabonder sur son corps au rythme des émotions de la lecture et des scènes lubriques dont elle s’imagine parfois être l’actrice principale tellement son entre-jambe devient humide...

Elle connait cet homme depuis presque un an, ou plus, son prénom aussi, le vrai...

Elle a même vue sa verge, par hasard la première fois, au détour d’un texte alors qu’elle en cherchait la suite, très gênée par cette vue en gros plan, ce n’est pas son genre, elle est pudique et préfère les mots que les sexes vulgairement étalés sur les profils, mais l’image de cette queue bandée est restée gravée en son esprit...

et d’autres images, plus érotiques encore, l’homme est un sodomite...

Elle se mentait parfois, faisant glisser malencontreusement ses doigts sur le clavier, “par accident”, se disait-elle, Morgann finissait toujours par retourner brièvement regarder l’objet de ses rougissements, et quelques autres choses qu’il avait posté ça et là, celles de sa femme aussi, elle en avait encore plus honte, elle qui se pensait totalement hétérosexuelle, mais cela trempait ses culottes, voir ses jean ou son fauteuil de bureau...

Alors à cet instant là, assise dans sa voiture à imaginer ce qu’il lui ferait, Morgann se laissa totalement allée à ses pulsions, l’envie était trop forte et depuis trop longtemps refoulée, déjà ses doigts glissaient dans l’échancrure de son string mouillé, le parfum de sa vulve parvenait à son nez, ajoutant aux fantasmes une réalité bien à elle...

Les vitres de l’habitacle s’embuent lentement, la coupant du dehors et cachant sa tenue, elle enlève ses chaussures et fait valser son string, puis pose ses pieds à plat sur le tableau de bord, jambes largement ouvertes pour mieux se caresser, Morgann ferme les yeux et se voit projetée dans l’univers de l’homme à qui elle veut céder...

Elle se baisse à ses pieds et lui fait ses hommages...

Chapitre 2

Alanguie jambes ouvertes et calée au fond son siège, Morgann se laisse aller à des caresses digitales vagabondes...

Dans sa rêverie érotique, elle vient de saisir le membre turgescent de cet homme entre ses mains et approche son visage pour en humer le parfum, Morgann aime cette odeur mâle et sait que sous le prépuce, elle est plus épicée, de ses paumes elle caresse la tige et ses lèvres saisissent le petit bout de chair, gouttant l’humidité qui perle du méat...

Une main enveloppe les bourses et

les masse doucement, l’autre encercle le gland, entre pouce et index, elle le branle lentement, sans le décalotter, elle réserve cette action à sa bouche gourmande, l’homme se laisse dorloter, tout en soupirant d’aise, Morgann, fellatrice émérite, souvent félicitée pour ses pipes magnifiques, enseignement reçu d’un vieux Prêtre Orthodoxe, lors d’un voyage en Grèce, avec son Lycée...

Elle sent l’homme frémir quand elle resserre les lèvres sur le pourtour du gland et qu’elle descend la peau de sa bouche en anneau, longue glissade du décalottage buccal, moment jouissif tant attendu par l’homme qui pousse un râle profond, aussi profond que la gorge qui l’avale...

Chapitre 3

Morgann aime ce moment où elle prend possession d’une verge, son parfum et son gout, l’enivre au plus haut point, elle aspire le sabre de chair comme un royale festin...

Sur son siège de voiture, elle explore sa vulve, jouant avec ses nymphes et frôlant son bouton, elle se masturbe au rythme de sa bouche sur le dard, imitant les caresses que prodigue sa langue, elle veut qu’il éjacule et jouir en même temps...

Dans son rêve de sexe, elle branle l’homme et le suce, puis la main sur ses boules, glisse vers son entre fesses, elle sait qu’il aime bien être touché par là, elle passe un doigt mouillé sur sa petite porte, la rondelle plissée répond à l’attouchement, l’homme murmure son désir de se faire doigter, elle lui met une phalange puis le doigt tout entier...

L’homme pousse encore un râle, Morgane est excitée de l’entendre gémir, elle le suce de plus belle pour le faire venir, se touchant elle aussi les plis de son œillet...

Elle agite son doigt dans l’anus de l’homme et sent entre ses lèvres, la verge palpiter, le premier jet de sperme lui arrose le palais, liqueur chaude et onctueuse au léger gout salé, puis viennes quelques autres qu’elles garde un temps en bouche, savourant le nectar tout en se faisant jouir par la vulve et l’anus, Morgann aussi gémie, surprise par l’orgasme, elle mouille par jet le tissu de son siège...

Chapitre 4

L’atmosphère de l’habitacle est devenu irrespirable, chaleur moite, vitres embuées, parfums intimes répandus, siège trempé, Morgann a maintenant un besoin d’air vif, et une petite envie de pipi lui monte du ventre, elle ramasse sa culotte jetée sans égard, la chose est honteusement mouillée, elle ne la remet pas et sort de la voiture les fesses à l’air...

Elle découvre un endroit merveilleux auquel elle n’avait pas prêtée attention, prise dans le tourbillon de son trouble charnel...

Un endroit qu’elle semblait reconnaitre, alors qu’elle n’y était jamais venue, une sensation de déjà vu la troublait, où était-ce se demandait-elle... ?

Elle reconnaissait les pierres dressées, symboles mystérieux laissés par les Celtes...

Oui... c’était cela...

Encore lui, encore son Ami de Bretagne, il lui avait envoyé cette image un jour, et Morgann se retrouvait par magie au milieu de l’endroit...

Comme elle s’accroupissait pour libérer sa vessie, elle l’aperçue tout à coup, tel un démon jaillissant nu au milieu des mégalithes, il la toisait de haut, les mains sur les hanches et la verge pendante...

La surprise provoque sa miction et Morgann se mit honteusement à faire devant lui...

Chapitre 5

Au plus loin que remontent ses souvenirs, Morgann ne se souvient pas de s’être trouvée un jour dans une telle indécente posture, devant un homme nu, autant la honte la submerge, qu’un indicible émoi s’est emparé d’elle, parce qu’il la regarde faire dans ce moment de grande intimité...

Elle reste accroupie, cherchant juste à cacher le jet qui sort d’elle, mais le chuintement mouillé trahit sa forte ondée, l’homme s’approche d’elle, son sexe se redresse, Morgann est rouge de honte mais aussi d’émotion, car sa miction devient plaisir et qu’elle sent que son antre réclame une saillie...

- Bonjour Belle Morgann... dit l’homme courtoisement, verge tendue vers elle...

- Bonjour Ami Breton, répond-elle les yeux baissés...

- Qu’elle merveilleuse journée que de vous voir ici...

- Pardonnez-moi Monsieur, d’avoir souillée vos terres...

- Ne vous excusez pas, ma chère et tendre Amie, votre présence ici me rempli de bonheur et votre humidité est fontaine de jouvence...

Et d’une main en coupe, il cueille les dernières gouttes à l’orée de sa vulve, la portant à ses lèvres comme une coupe sacrée, il en boit la rosée en poussant un soupir...

- Que vous êtes douce Madame...

- Comme un verre d’hydromel...

- Ami...

vous me gênez...

Je dois faire une toilette...

- Laissez-moi faire Morgann, je suis votre serviteur...

D’une main franche et ferme, il l’aide à se relever et l’invite à aller s’adosser à une pierre dressée, là, s’agenouillant dans l’herbe, il lui ouvre les cuisses et y met son visage, Morgann abaisse ses hanches pour lui donner accès à ses chairs intimes, que d’une langue habile, il se met à laper...

Une dernière pudeur lui traverse l’esprit, aimera-t-il le parfum de sa fente... ?

Et comme il ne dit rien et poursuit son ouvrage, Morgann se laisse aller aux effets des caresses, sentant monter en elle une nouvelle jouissance, surtout que maintenant, la langue va plus loin, et à pris le chemin de sa petite porte...

Surprise par cette audace, elle a eu un sursaut, pensant même un instant à refuser la chose, mais l’homme sait y faire et les barrières tombent, Morgann la Pudique, Morgann la Prude, où est-elle à ce moment là... ?

Voilà que maintenant elle se met à penser à la chose sodomite, à désirer le plaisir anal...

Chapitre 6

L’homme est un mangeur de femme, un brouteur émérite, Morgann n’a que rarement été si bien léchée...

Une amie d’internat est son meilleur souvenir, pensionnaires chez les sœurs, elles avaient toutes deux, goutées plusieurs fois, à ce plaisir divin...

Puis plus tard dans sa vie, quelques hommes très aimables, avaient osés descendre s’abreuver à sa grotte, mais pas doués pour beaucoup, passant très peu de temps à lui manger la motte, préférant la saillir, bien égoïstement...

Là elle en tenait un, doigts dans sa chevelure, excellent et instruit, sachant sur quels endroits faire glisser sa baveuse, se servant de ses lèvres pour étirer les siennes et masser son bouton, devenu turgescent...

IL ose même aller lui lécher l'entre-fesse et s’attarde longuement sur son anneau plissé...

Morgann en est honteuse mais ressent un plaisir qu’elle avait oubliée, seule son amie d’école lui faisait cette caresse...

Elle le sent s’ouvrir, et la langue y pénètre, la honte qu’elle ressent d’être fouillée par là s’estompe peu à peu pour devenir plaisir, elle se surprend même à pousser quelque peu pour mieux la recevoir et voila que la chose la visite en vigueur...

L’homme utilise ses doigts et masturbe ses chairs, elle s’ouvre, elle s’écarte, elle ne peux plus tenir quand l’orgasme survient, elle hurle sa jouissance et arrose son amant de jets chauds et puissants...

Chapitre 7

L’homme la savoure encore quelques instants, bouche collée à sa vulve, récoltant son miellat, mais Morgann est a vif et s’écarte de lui, il se remet debout et elle voit que son manche est encore dur et droit...

Saisissant le phallus, Morgann lui donne caresses et affections des doigts, l’homme l’invite alors à venir chez lui, elle s’inquiète de la route, est-ce près, est-ce loin... ?

Il lui montre les pierres et la prend par la main...

Morgann le suit troublée, sans lui lâcher la verge, elle ne sait où l’emmène son Ami le Breton mais veut encore gouter à son fort beau bâton (de pèlerin), elle ne l’a eu qu’en bouche et désir maintenant à être pénétrée...

L’homme la guide courtoisement entre les mégalithes et s’y arrête soudain, il tend les bras au soleil, parlant une langue étrange, il semble l’invoquer, un tourbillon surgit, venu de nulle part, un tourbillon de feu qui ne les brules pas...

Morgann voit disparaitre tout ce qui les entoure, et se sent aspirée au centre de la terre, elle étreint son amant de peur de se perdre, au milieu de ces limbes où ils semblent voler...

Chapitre 8

Morgann et son Amant traversent des galaxies aux couleurs irréelles, elle n’a ni froid ni chaud alors qu’à peine vêtue, le son de l’univers est un doux bourdonnement, semblable à une musique, qui pénètre son âme et fait vibrer son corps...

Tout s’estompe de nouveau autour d’eux et voilà qu’à présent, ils sont dans une grande salle, aux murs de granite bleu et tentures de velours, meublée d’une longue table, dressée pour le repas, un immense bouquet de genêt d'Armorique en embaume le lieu...

L'homme l'invite à s'asseoir et lui sert quelques mets, dans une coupe de cristal il verse du Chouchen, c'est la boisson des Dieux, appelée hydromel…

Morgann est sous le charme de son Breton d'Amant, mais aussi de l'endroit qui lui semble hors du temps, ils se regardent tous deux, les yeux pleins de tendresse…

Chapitre 9

Ils déjeunent sans un mot, se toisant l’un et l’autre, pas besoin de discours, ils savent ce qu’ils désirs, seul le souffle du vent passant les meurtrières, trouble le chaud silence de leurs envies charnels...

Morgann trempe ses lèvres dans l’alcool de miel et dépose un baisé sur celles de son Amant, l’homme, saisissant sa main, la pose sur sa verge...

Le phallus est dressé et Morgann en ressent toute sa dureté...

- Morgann, ma douce Amie...

lui dit-il d’une voix tendre...

- Voyez dans quel état, nôtre amitié me met...

Pourrais-je encore une fois, votre corps honorer... ?

- Je vois bien Mon Ami, et en suis très flattée...

Faites de moi votre Amante, et comblez moi d’amour, je suis votre servante pour la durée du jour...

Pour illustrer ses mots, de femme tenant parole, elle s’accoude à la table et se penche en avant...

Son cœur bat fortement, elle se sent impudique, offrant comme une chienne, sa croupe à la saillie, la dernière fois est loin, où dans cette position, son mari l’avait prise tel un soudard Saxon...

L’homme vient derrière elle et lui flatte le séant, ses mains sont caressantes et fermes à la fois, elles malaxent la chair et la griffe tour à tour, Morgann se cambre encore, montrant sa soumission,

- Punissez-moi Breton, d’avoir souillée vos terres, lui demande-t-elle alors...

- Votre jolie miction, ne mérite pas violence...

répond-t-il à son tour...

A peine une fessée, avec le martinet...

- Faites-le mon Ami, et prenez-moi ensuite, lui dit-elle dans un souffle, honteuse de lui montrer qu’elle aime être punie...

L’homme se saisit alors de son chat à neuf queues, et lui claque les fesses d’un coup vif et rapide...

Morgann ne gémit pas, attendant le suivant...

Les lanières de cuir s’abattent plusieurs fois, cinglantes et incisives, elles lui mordent la peau, Morgann maintenant gémie, son derrière est en feu, l’homme s’arrête parfois, caressant d’une main les zébrures écarlates puis passant quelques doigts sur sa vulve mouillée...

Les doux attouchements lui procurent plaisir et Morgann se répand sur le sol de granit, elle tend une main derrière pour lui saisir la verge et la dirige elle même en son sexe entrouvert...

L’homme d’un coup de rein, s’introduit au fond d’elle, lui sabrant les entrailles en déchirants ses chairs, elle lui crie sa douleur en lui disant…Encore...

Chapitre 10

Morgann subie maintenant les assauts avec délectation, la verge épaisse et noueuse la fouille au plus profond, parfois l'homme se retire et lui masturbe la vulve, lui triturant les nymphes et branlant son bouton, puis il présente son gland à l'entrée de la grotte, et la tire par les hanches pour l'emmancher encore…

Elle se sent dépravée, devenue chienne lubrique, son vagin enflammé dégoulinant de jus, lui renvoi le clapot de la queue qui la baise, Morgann n'est plus qu'un trou, et dans sa jouissive honte, une pensée la traverse…

Elle en a un deuxième, étroit et presque vierge, que son Ami Breton a tout juste effleuré…

Autant qu'elle se souvienne, cela remonte à loin, la fois où son mari était passé par là…

Pour son anniversaire, et parce qu'il insistait, elle lui avait offert ce plaisir très intime, mais prit par l'émotion de lui faire la chose, il avait jouis de suite, à la pénétration, ne lui laissant pas le temps, d'y prendre du plaisir…

Frustrée par cet échec, mais désirant connaître les plaisirs sodomite, elle avait consultée une amie

Proctologue, qui en son cabinet, l'avait très bien instruite sur la façon de s'y prendre, mais aussi auscultée…

Sa spécialiste amie, en bonne professionnelle, de quelques doigts gantés lui avait visitée sa petite rondelle, pour voir son aptitude à être sodomisée…

Une fois la chose acquise, elle avait finie la séance lui montrant des objets, de formes différentes et de tailles diverses, qu'elle essaya sur elle pour lui y faire goutter, la stimulant d'une main et l'enculant de l'autre, Morgann avait fort jouit et en rentrant chez elle, avait passée commande de quelques jouets gourmands sur un site du net…

Depuis, quand l'envie la prenait, elle se donnait plaisir par la petite porte…

Mais tout ça fait partie de son jardin secret, sa bonne éducation et sa grande pudeur font qu'elle ne peut décemment pas demander au Breton de la prendre par les fesses, comment lui faire comprendre, sans être déconsidérée, qu'elle désir l'anal et qu'il peut lui entrer son phallus dans son étroite intimité…

Chapitre 11

Mais la passion charnelle à parfois ses mystères, et comme si son Breton, lisait dans ses pensées, tout en la besognant, il lui passe des doigts au milieu de la raie, Morgann frémit alors sous l'impudique caresse, se cambrant encore plus, pour lui offrir ses fesses…

Va-t-il se rendre compte, que sa rosette quémande, la chose sodomite et qu'elle est bonne à prendre…?

L'homme avec précautions, lui masse la rondelle, se servant de sa mouille pour faire glisser ses doigts, sur les plis de l'œillet et dilater l'endroit…

Morgann sent son anus, s'ouvrir et se détendre, son amant est adroit et connait les caresses, qui font que l'orifice accepte déjà un doigt, tout en la préparant, à recevoir plus gros…

Il a sortit sa verge de son antre brulante, et en frotte le gland sur sa vulve baveuse, lui stimulant les chairs et sa perle gonflée…

Le doigt dans son sphincter lui donne du plaisir et Morgann s'ouvre à lui, le laissant s'enfoncer, de quelques va et vient, il lui fouille le rectum…

Sans enlever son doigt, le Celte se penche alors, et près de son oreille, lui demande à voix basse…

Morgann, ma douce Amie, je vous dois le respect, mais puis-je, sans vous blesser, entrer par cette porte…?

Sachez, Ami Breton, que seul mon Mari, me prend de telle façon, tant pis pour ma vertu, mais vous me rendez folle…Entrez, je vous en prie, et faites-moi jouir du cul…

Morgann vous me gâtez, vous êtes une princesse, et je vais sur vos mots, vous honorer les fesses…

Faites, mon bon Ami, sans douleurs ni violence, je suis ouverte pour vous, sachez me faire du bien…

J'agirai en douceur, soyez-en assurée, jamais un tel cadeau n'oserais maltraiter…

Sur ses mots apaisants, l'homme saisit sa verge…

Trouble...

Chapitre 12

Le Celte sodomite ne l'enfile pas de suite, il pose sa turgescence sur les chairs de sa vulve, onguent délicatement son gland rouge écarlate, aux mouillements intimes qui lui coulent du sexe…

Morgann est rassurée et apprécie le geste, sa première sodomie reste un souvenir affreux…

Elle n'avait pas vingt ans, peu instruite sur la chose, et était encore vierge de sa petite entrée, quand un jour de printemps, enivrée de désir pour un homme plus âgé, elle lui avait offert le chemin interdit, lui cédant par amour, mais aussi par envie, de connaître une jouissance qu'il lui vantait souvent…

Mais l'homme était un rustre, un goujat sans vergogne, alors sans une caresse, sans un préliminaire, il l'avait faite courber au fond d'une écurie, lui troussant ses jupons, arrachant sa culotte, avec juste un crachat sur sa rondelle intacte, il l'avait enculé d'un seul coup de rein…

Morgann avait hurlée sous l'immonde douleur, affolant les chevaux…

L'infâme sodomite n'en fut pas dérangé et lui fit son affaire, prenant seul du plaisir en s'agitant en elle, lui déchirant l'anus ainsi que le rectum, envahissant son ventre de sa verge trop grosse…

Après plusieurs ruades et des mots dégoutants, il finit par venir dans un râle bestial, et s'épanchât en elle sans aucune retenue…

Quand il se retira, Morgann eu un malaise et perdit connaissance, de honte et de douleur, d'être ainsi abusée…

Chapitre 13

Ce souvenir cuisant avait traversé l'esprit de Morgann l'espace d'un instant, il revenait souvent avant la sodomie, mais là, en cet instant, elle se sentait ouverte, prête à la recevoir, l'homme était délicat et par ses attouchements, lui en donnait l'envie…

Elle se surprit elle-même, dans un acte indécent, à s'écarter les fesses, et dire à son Amant…

Je n'en peux plus d'attendre… Venez là… maintenant…!

Quand l'homme pose son gland sur son anneau plissé,

Morgann s'ouvre en poussant et s'empale d'elle-même…

Elle la veut cette queue, elle la veut toute entière, et même si le dard l'écartèle quelque peut, de le sentir forcer dans son anus étroit, lui donne un tel plaisir qu'elle jouit d'être profanée…

Son Breton sodomite la maintient par les hanches, puis il s'enfonce en elle, il lui rentrant son gourdin jusqu'au fond du rectum, Morgann est envahie, la chose la remplit et elle est prise de honte, elle aime qu'il soit en elle, qu'il lui emplisse le cul, elle se sent moitié chienne et moitié sa soumise, elle se veut besognée, prise comme une prostituée…

Chapitre 14

Lentement, la queue s'active dans le rectum de Morgann, mouvements circulaires du bassin et petits vas et viens, la barre de chair gonflée prend place en elle, l'homme prend tout son temps pour qu'elle l'accueille pleinement…Morgann se liquéfie, de la vulve et des fesses, elle souhaite que ce coït, ne finisse jamais, elle ne touche pas son sexe, elle veut jouir par l'anus, comme lui faisait souvent, son amie proctologue…

Son amant plusieurs fois, retire sa hampe d'elle, pour la remettre encore… Et de nouveau son gland, lui perfore le sphincter, Morgann aime cela, comme un recommencement, à chaque fois qu'il l'encule, elle lui ouvre sa porte, offrant son orifice à la queue qui la baise, serrant parfois les fesses pour mieux sentir le membre, mélange de douleurs et plaisirs partagés, s'offrant consciencieusement aux plaisirs de l'anal…

Le Breton derrière elle, prend aussi son plaisir, il soupir et gémit, à chaque coup de rein, lui perforant l'anus en écartant ses fesses, puis en bougeant en elle, variant ses mouvements… alors il la besogne, tel un guerrier Gaël au retour des combats, lui déchirant le cul et la faisant crier, puis il revient au calme de doux envahissements, pendant lesquels Morgann, apprécie d'être pleine, emplie du dard de l'homme qui trouble son rectum…

Le Celte la dégrafé, pour lui griffer le dos, exquise petite torture qui électrise Morgann, ajoutée à la verge qui vas et viens en elle, elle ne résiste pas à se toucher la vulve, ses doigts sur son bouton en ajoutent au plaisir, elle sent monter en elle une vague géante, l'homme lui prend les seins et en triture les pointes, le rythme de la queue qui lui fouille le ventre, fait monter sa jouissance, elle se fait sur les doigts, des jets de sa fontaine…

L'homme grogne qu'il vient aussi, elle sent qu'il se tend, qu'il enfle et qu'il palpite en elle, il lui prend les cheveux et la cambre vers lui, ahanant des soupirs mais d'une voix polie, il demande à Morgann, si elle souhaite recevoir, sa semence au fond d'elle…

Morgann n'a plus la force de faire de belles phrases, la jouissance la submerge, les spasmes de l'orgasme ce succèdent, dans un souffle impudique elle lui dit, " - je veux tout… Faites en moi…"

Dans un extase total, l'un à l'autre soudés par l'acte de Sodome, il jouissent de concert, Morgann hurle son orgasme en urinant sous elle, son Ami le Breton lui arrose le rectum de fortes giclées de sève, qui se répandent en elle, inondant son conduit, Morgann est terrassée par l'ampleur de ses spasmes, elle se sent défaillir mais l'homme la soutient, et la ramone encore de quelques vas et viens dans son antre gluante…

Puis il se retire d'elle en la remerciant, Morgann se redresse, vacillante et comblée, elle sent à ce moment, le foutre de son amant, s'écouler de ses fesses, mais l'homme est élégant et d'une poche de sa veste, extrait un mouchoir blanc pour lui sécher la raie, et sa petite porte…

Morgann le remercie pour ce geste galant, lui demandant s'il veut, qu'elle lui rende la pareille, comme il ne répond pas, elle se penche en avant, et embouche son dard pour lui faire sa toilette…

FIN...

Comments

FDN33 Il ya 4 ans  
mondoi Il ya 5 ans  
Wila Il ya 5 ans  
mondoi Il ya 6 ans  
tursiop Il ya 6 ans  
jena Il ya 6 ans  
clyso Il ya 6 ans