Jack sort de la douche et va rejoindre sa femme Lucie dans le lit. En voyant sa petite mine, il lui demande si ça va.

-Je suis crevée, dit-elle. J'ai mal à la tête.

Jack allume sa lampe de chevet et lui pose le plat de sa main sur le front.

-Tu es brûlante, ma chérie. Attends-moi là.

Il saute hors du lit et va dans la salle de bain prendre le thermomètre.

Quand il revient avec, il demande à Lucie de se retourner.

-Tu ne veux quand même pas me le planter dans...

Elle met du temps à terminer sa phrase.

-Je vais juste prendre ta température rectale, complète-t-il.

Elle fait une grimace.

-Mais c'est dégueulasse ! Je l'ai toujours mis sous le bras depuis que je suis adolescente.

-Désolé, mais tu as vraiment pas l'air bien. Il vaut mieux te prendre la température dans le derrière.

Il ne la laisse pas discuter davantage, il soulève les draps et profite qu'elle a les fesses à l'air pour se pencher par-dessus son ventre et planter l'instrument doucement dans son orifice.

-Voilà, il est dedans. Tu n'as pas eus mal ?

-Non, mais c'est dégoûtant.

-Moi, je trouve ça plutôt mignon, dit-il en guise de réponse.

Il lui laisse le thermomètre pendant deux bonnes minutes, puis lui annonce qu'elle a de la température en le retirant.

Jack remarque également que l'instrument est tout gras, alors il en profite pour passer son doigt dans la raie de Lucie, puis dans son trou de balle. Il laisse son index tout en se couchant contre elle et en la câlinant.

-Qu'est-ce que tu fais maintenant encore ? Demande-t-elle dans une voix à moitié endormie.

-Je te titille comme ton petit trou n'est pas hermétique ce soir, dit-il en lui posant un baiser sur le front.

Comme elle ne s'y oppose pas il continue son petit geste du doigt. Mais au bout d'un moment elle se relève et sort du lit.

-Tu vas où ?

-Aux toilettes. Tu m'as donné envie maintenant avec ça.

Il se dit que c'est parce qu'elle n'a pas l'habitude, que ça a dû lui faire comme si elle était à la selle.

Une fois revenue, il replace sa main sur sa croupe et glisse un doigt dans le haut de sa raie.

-Non, réplique-t-elle doucement. Je viens d'aller faire caca.

-D'accord, mais je me demandais si ça te plairais un soir de tenter une expérience anale pour pimenter un peu la soirée ?

Elle le regarde dans les yeux pour aborder cette discussion sérieuse.

-Tu voudrais me sodomiser ?

-C'est un peu rapide. D'abord je te préparerai et tout, puis on prendra notre temps pour le faire s'il le faut.

-Il faudra acheter du gel alors, comme c'est la première fois, pense-t-elle à haute voix.

-Et quelque chose pour te faire un lavement, ajoute-t-il.

Elle lui passe la main dans les cheveux et se blottit contre son mari.

-Il reste encore des suppositoires laxatifs dans le frigo pour ça, chuchote-t-elle.

-C'est moins bien, les suppos ça va te faire aller aux toilettes mais tu sera pas complètement vidée.

Elle approuve.

-Ok, quand on sera prêt, je veux bien qu'on le fasse alors.

Ils finissent par s'endormir l'un contre l'autre.

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C'est le soir, Lucie est sous la douche. À côté d'elle, dans la salle de bain, Jack fait les préparatifs : il a rassemblé tout le matériel nécessaire pour le dépucelage anal de la jeune femme.

La vue de Lucie tout nue en train de se frotter partout l'excite autant que l'opération qui se prépare. Il suspend le ballon acheté en pharmacie et vérifie la température de l'eau, puis il attend que sa femme termine de se doucher.

Quand elle ferme le robinet, elle lui demande :

-C'est comment, un lavement ?

-On t'en a jamais fait quand t'étais malade ?

-Non, c'est ma première fois aujourd'hui.

Jack essaie de trouver les mots.

-Et bien, on se sent gonfler, puis on a de plus en plus envie d'aller aux toilettes...

Elle le coupe.

-De toute façon, je vais bien voir. On commence ?

Elle se retourne, plaque ses mains sur ses fesses et les écarte. Lui il saisit la canule souple, s'accroupit, et la plante dans son anus tout mouillé. Jusque là tout se passe sans problème, Jack déclenche le débit de liquide en retirant la pince, et continue de maintenir la canule en place en soupesant son postérieur.

-Tu trouves toujours ça sale ? Demande-t-il.

-Ben tu me l'as mis dans le petit trou, ça va pas rester tout propre maintenant.

L'eau continue d'inonder l'intestin de Lucie. Jack doit parfois changé la position de la canule en la tirant ou en la poussant.

Elle sent l'envie monter en même temps que son ventre se gonfle, et demande à son mari de rester seule pour évacuer.

-Je finirai bien toute seule, ne t'inquiète pas.

Il laisse pendre le tube de son orifice et sort de la salle de bain, puis va l'attendre sur le lit. Il en profite pour prendre le tube de gel intime.

Quelques minutes après Lucie revient dans la chambre.

-J'ai fini. Je crois qu'il reste un peu d'eau mais j'arrive plus à la faire sortir.

-Parfait, installes-toi sur le lit je vais te mettre le gel intime.

Elle s'avance et se couche sur le ventre sur le matelas. Ses fesses s'écartent et un doigt commence à venir lubrifier son anus, faisant sortir des bruits de succion. « beurk » pense-t-elle. Les mouvements de doigt de Jack deviennent plus insistant : il pousse plus profondément à chaque fois et avec plus d'intensité dans le geste. Ça lui donne envie de pousser mais le doigt ne sort pas.

Quand il s'arrête et laisse le bout de son index sur sa rondelle, il l'interroge :

-Tu veux être sodomisée couchée comme ça ?

Elle hésite, puis refuse et se retourne sur le dos en levant les cuisses.

-Voilà, tu peux entrer, dit-elle en essayant de se détendre.

Il tient son pénis et pousse sur la rondelle, son gland pénètre facilement. Il pousse encore et franchi entièrement l'anus : son ampoule rectale et chaude, il commence à remuer en elle, de plus en plus vite.

-Arrête.

Il obéit et demande pourquoi.

-J'ai besoin d'aller aux toilettes.

-Ne t'inquiète pas, c'est juste une impression parce que c'est la première fois.

Il reprend ses mouvements.

-Ça fait mal ? Demande-t-il.

-Non, tu as bien lubrifier, c'est plus gênant que douloureux. Continues doucement.

Il continue, puis accélère d'un coup.

-Pas si vite, ça brûle.

-Désolé, je sens que ça vient.

Il enchaîne et elle sent un liquide chaud asperger son rectum, par à coup, puis elle pousse pour accompagner sa sortie.

-Voilà, ton dépucelage est fini, annonce-t-il.

-Ça a été vite, et pas trop difficile pour une première fois, ajoute-t-elle.