La doctoresse arrive devant la maison et sonne à l'entrée. Après quelques secondes, une femme lui ouvre la porte.

-Bonjour, je suis le docteur Cadoux, se présenta-t-elle. Vous m'avez donné rendez-vous ici.

-Ah oui, merci de vous être déplacée. Entrez je vous prie.

Elle referme la porte derrière elle et l'accueille dans la salon.

-Donc, que puis-je faire pour vous ? Interroge la doctoresse.

-Je vous ai appelé pour ma fille, Mélanie, elle a seize ans. Je l'ai privé de sortie il y a deux jours parce qu'elle avait séché les cours, et depuis elle reste dans sa chambre et ne veut plus rien manger ni aller aux toilettes pour me faire du chantage. Alors je m'inquiète un peu pour sa santé.

-Oui, vous avez bien fait de m'appeler, il ne faut pas laisser les enfants faire ce genre de chantage à leurs parents. Heureusement ce genre de problème peut se régler assez facilement.

La mère est soulagée d'entendre ça.

-Alors, qu'est-ce que vous proposé de faire ?

-On va monter toute les deux la voir dans sa chambre, et je lui donnerai un comprimé laxatif sans lui dire ce que c'est. Elle sera obligée d'aller aux toilettes assez vite et la faim viendra toute seule, vous verrez.

Les deux femmes montent donc dans la chambre et trouvent Mélanie assise sur son lit, silencieuse.

-Bonjour, Mélanie. Je suis médecin, ta mère m'a dit que tu ne te sentais pas très bien.

La fille resta ainsi, le regard vers le sol, sans répondre.

-Et bien, tu as une petite mine. Tiens, commences par prendre ce médicament, ça va te faire aller mieux, c'est des vitamines.

Elle déballe le comprimé laxatif dans sa trousse de soin et le lui tend, ainsi qu'un verre d'eau préparé auparavant.

-Allez, ouvres bien ta bouche et tires la langue.

Mélanie se décide enfin à parler.

-Non, je ne veux pas prendre de médicament.

-Allez, Mélanie, écoutes ce que dit la doctoresse, lui dit sa mère. Elle sait ce qu'elle fait.

La fille ne veut toujours pas, alors la doctoresse décide de changer de stratégie et d'être sincère.

-Bon, ta mère m'a expliqué que tu n'avais pas voulu aller aux toilettes. Ce médicament est un laxatif, c'est très important que tu le prennes, sinon tu risques de devenir constipée.

-Non, c'est pas la peine d'insister, je ne prendrai rien du tout.

-Bon alors écoutes. On a plusieurs solutions. Il vaut mieux pour toi que tu ailles aux toilettes ou que tu avales ce comprimé, sinon il faudra bien le faire rentrer autre part.

La doctoresse a bien souligné ce dernier mot, et la mère et sa fille comprennent toutes les deux de quoi il s'agit. Mais Mélanie ne se laisse pas faire pour autant, pensant à du bluff ayant pour but de la faire accepter.

-Vous n'oserez pas, lui réplique la fille.

-Oh que si. Allez, je te laisse une dernière chance.

Elle lui tend le comprimé mais Mélanie refuse de le prendre et serre les dents pour ne pas qu'on lui fasse avaler.

-Très bien, fait la doctoresse en rangeant le médicament, tu ne me laisses pas le choix. Je vais te préparer un bon lavement.

Elle laisse la mère et la fille dans la chambre et commence les préparatifs. Quand elle ramène une bassine et un grand bock rempli d'eau quelques minutes après, Mélanie se met à avoir des doutes sur ce qui va se passer.

La doctoresse ouvre une petite boîte et commence à étaler du gel sur la canule, puis s'adresse à la mère.

-Il va falloir la coucher sur le côté et lui enlever sa culotte. Et bien la tenir jusqu'au bout.

Mélanie change alors subitement d'avis car elle ne veut pas de lavement.

-C'est bon, ok. Je vais prendre votre médicament.

-Non, réplique la doctoresse. Il fallait te décider un peu avant. Maintenant j'ai préparé ton lavement alors tu vas le prendre comme une grande.

Sa mère l'attrape et la couche sur le lit, puis lui enlève partiellement son pantalon et sa culotte, présentant son popotin à la doctoresse. Celle-ci s'approche de Mélanie et lui soulève légèrement une fesse pour voir directement son petit trou.

-Arrêtez, s'il-vous-plaît. J'ai dit que je voulais bien avaler le comprimé.

-Chut, maintenant ! Ce sera vite terminé, tu verras.

Mélanie, rouge de honte, voit la doctoresse approcher doucement la canule vers ses fesses sans pouvoir bouger. Elle sent alors quelque chose toucher son anus et se crispe pour l'empêcher d'entrer.

-C'est inutile de te crisper, j'ai mis de la vaseline.

Sur ce, elle pousse et fait rentrer la canule de dix bon centimètres dans le cul de Mélanie.

-Aie ! Ça fait mal, arrêtez !

Mais elle sent rapidement l'eau tiède commencer à remplir son ventre.

-Tenez-la bien, fais la doctoresse à l'intention de la mère.

Les deux femmes continuent de maintenir la fille en place et injectent en tout un litre d'eau dans son derrière. Vers la fin, la doctoresse installe la bassine sous ses fesses et prévint qu'elle va retirer la canule.

Toujours honteuse, Mélanie sent qu'elle n'arrivera pas à se retenir. Une fois le canule enlevée, la doctoresse masse son ventre et elle ne tient pas plus longtemps, laissant un grand flot inonder la bassine.

Mélanie termine de libérer ses selles sous les regards de sa mère et de la doctoresse.

-Et bien voilà, lui dit la doctoresse en essuyant son anus avec une serviette hygiénique, tu vois, ça ne sert à rien de se retenir.

Les deux femmes quittent alors la chambre avec la bassine, laissant Mélanie seule.

-Merci beaucoup, madame Cadoux.

-Oh, ce n'est rien. C'est une opération de routine. Surveillez quand même son alimentation et ses selles pendant les prochains jours, et n'hésitez pas à lui mettre un suppositoire si éventuellement elle recommençait, mais je pense qu'elle a comprit.

-Très bien. Merci encore docteur.

Elle remercie la doctoresse, règle les frais et la raccompagne dehors.